La Commission a annoncé vendredi prévoir pour l'Italie une croissance du produit intérieur brut (PIB) de seulement 1,4% en 2008, soit de très loin la plus faible progression de la zone euro, qui enregistrera une croissance moyenne de 2,2%.
Même prévision pour l'année 2009, avec 1,6% de croissance prévue, soit une nouvelle fois la progression la plus faible de la zone euro.
"L'Italie, à cause de ses divisions, est une société devenue immobile, nous avons le devoir de la remettre en marche", a souligné Romano Prodi, cité par l'Ansa, en intervenant à Bologne (nord) lors de l'assemblé constituante locale du Parti démocrate, la nouvelle formation de centre-gauche.
"Le devoir du Parti démocrate et du gouvernement est de remettre en mouvement la société. Nous avons commencé à remplir ce devoir. Si l'Italie ne se remet pas à avancer comme les autres pays, la crise sera irréversible", a-t-il prévenu.
Le budget 2008, actuellement en discussion au Parlement, prévoit une croissance comprise entre 1,3% et 1,6%. Romano Prodi a promis que l'Italie tiendrait ses engagements pris avec Bruxelles pour ramener le déficit public à 2,2% du Produit intérieur brut (PIB) l'an prochain.
Même prévision pour l'année 2009, avec 1,6% de croissance prévue, soit une nouvelle fois la progression la plus faible de la zone euro.
"L'Italie, à cause de ses divisions, est une société devenue immobile, nous avons le devoir de la remettre en marche", a souligné Romano Prodi, cité par l'Ansa, en intervenant à Bologne (nord) lors de l'assemblé constituante locale du Parti démocrate, la nouvelle formation de centre-gauche.
"Le devoir du Parti démocrate et du gouvernement est de remettre en mouvement la société. Nous avons commencé à remplir ce devoir. Si l'Italie ne se remet pas à avancer comme les autres pays, la crise sera irréversible", a-t-il prévenu.
Le budget 2008, actuellement en discussion au Parlement, prévoit une croissance comprise entre 1,3% et 1,6%. Romano Prodi a promis que l'Italie tiendrait ses engagements pris avec Bruxelles pour ramener le déficit public à 2,2% du Produit intérieur brut (PIB) l'an prochain.