Lancé il y a un mois à Paris au profit de quatre pays, dont le Maroc, le projet «Prévention de l'extrémisme violent par l'autonomisation des jeunes» vise à accompagner la jeunesse, à développer ses compétences et son esprit critique afin de lui éviter de tomber dans le piège de l’endoctrinement. Pour Mme Azoulay, «on ne naît pas extrémiste, on le devient». D’où la nécessité de désamorcer en amont les spirales qui mènent à l’intolérance et à la haine. «C’est avec les jeunes, en misant sur leur énergie, leur inventivité, leur capacité à mobiliser leurs pairs, que nous pourrons gagner notre combat contre l’extrémisme».
Vous retrouverez l'intégralité de cet entretien dans l'édition du «Matin», demain 22 mai et sur notre site : https://lematin.ma/