Connexion
Un début de semaine mitigé, à la Bourse de Casablanca, qui affiche un indice sans orientation réelle. Loin d'être déstabilisée par les frappes aériennes anglo-américaines ou plutôt marquée par l'inquiétude des investisseurs institutionnels, la place de Casablanca est tout simplement malade de son marasme. L'IGB a osé enregistrer, à quelques minutes seulement de la clôture, une variation positive de 0,04%, à 614,71 points, alors qu'il fluctuait entre 613 et 614 points. Ce n'est pas méchant. Car, le moindre recul aurait balayé tout l'effort de la semaine dernière, et par la même, pousser la contre-performance au delà de -7%.
Avec un volume des transactions de seulement 11 MDH (on one way), dopé essentiellement pas le titre Wafabank dont les échanges ont représenté près de 46%, la journée d'hier prouve, si besoin s'en fait sentir, que le marché casablancais éprouve, aujourd'hui plus qu'hier, des difficultés à sortir de l'ornière. Pourquoi l'attentisme et comment sommes-nous arrivés à cultiver le “désamour”? Qu'importe! Rien qu'avec ces deux éléments, on est tenté de dire que la Bourse de Casablanca est en train de creuser sa propre tombe.
Avec un volume des transactions de seulement 11 MDH (on one way), dopé essentiellement pas le titre Wafabank dont les échanges ont représenté près de 46%, la journée d'hier prouve, si besoin s'en fait sentir, que le marché casablancais éprouve, aujourd'hui plus qu'hier, des difficultés à sortir de l'ornière. Pourquoi l'attentisme et comment sommes-nous arrivés à cultiver le “désamour”? Qu'importe! Rien qu'avec ces deux éléments, on est tenté de dire que la Bourse de Casablanca est en train de creuser sa propre tombe.
