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Le dernier test qui a eu lieu mercredi à Settat a permis aux Lions de l'Atlas de disputer un match amical face à un sparring-partner de valeur, le Mali en l'occurrence qui se trouve être le pays organisateur de la CAN 2002.
Le nul concédé par le onze 110nal aux hommes d'Henri Kaspeczak n'est guère de nature à rassurer avant le coup d'envoi du prochain rendez-vous africain. Non pas par le résultat en lui-même mais à cause de la piètre exhibition de nos représentants incapables d'ébaucher la moindre combinaison cohérente susceptible de leur ouvrir le chemin des filets.
Le seul et unique but du onze 110nal fut obtenu sur penalty ce qui démontre l'inefficacité criarde d'une ligne d'attaque appelée à se montrer autrement plus entreprenante face à des équipes athlétiques qui constitueront le groupe où évoluera le Maroc. Le Ghana, l'Afrique du Sud et le Burkina Faso sont en effet de sérieux clients, postulants au sacre africain.
Et ce n'est pas eu évoluant comme il l'ont fait devant le Mali que les Lions de l'Atlas tireront leur épingle du jeu. Certes Humberto Coelho a invoqué le jeûne pour expliquer le faible niveau de jeu déployé par nos représentants.
Nous ajouterons que les conditions climatiques qui sévissaient sur le stade d'honneur de Settat n'ont également guère favorisé l'évolution des joueurs mais cela n'excuse guère le jeu insipide et inefficace des coéquipiers de Salaheddine.
Difficile vainqueur de la Zambie (1-0) lors du premier match de préparation, le onze 110nal aura à effectuer du 7 au 18 janvier prochain un stage à El Jadida entrecoupé de deux rencontres préparatoires respectivement face à l'Angola (12 janvier) et la Gambie (15 janvier).
Ces deux derniers tests devraient permettre à Coelho d'effectuer les derniers réglages et de procéder aux ultimes retouches avant de rallier Bamako où les Lions de l'Atlas auront la lourde tâche du renouer avec un sacre qui nous fuit depuis 1976, année de la glorieuse épopée écrite par Faras, Acila, Dolmy, Baba et autre Zahraoui.
Coelho a affirmé récemment qu'il était confiant et comptait bien réaliser un bon résultat à cette CAN 2002. On veut bien partager son optimisme mais sans tomber dans la béatitude car les faiblesses, surtout en attaque sont trop criardes pour donne bien à trop d'espérances.
Le nul concédé par le onze 110nal aux hommes d'Henri Kaspeczak n'est guère de nature à rassurer avant le coup d'envoi du prochain rendez-vous africain. Non pas par le résultat en lui-même mais à cause de la piètre exhibition de nos représentants incapables d'ébaucher la moindre combinaison cohérente susceptible de leur ouvrir le chemin des filets.
Le seul et unique but du onze 110nal fut obtenu sur penalty ce qui démontre l'inefficacité criarde d'une ligne d'attaque appelée à se montrer autrement plus entreprenante face à des équipes athlétiques qui constitueront le groupe où évoluera le Maroc. Le Ghana, l'Afrique du Sud et le Burkina Faso sont en effet de sérieux clients, postulants au sacre africain.
Et ce n'est pas eu évoluant comme il l'ont fait devant le Mali que les Lions de l'Atlas tireront leur épingle du jeu. Certes Humberto Coelho a invoqué le jeûne pour expliquer le faible niveau de jeu déployé par nos représentants.
Nous ajouterons que les conditions climatiques qui sévissaient sur le stade d'honneur de Settat n'ont également guère favorisé l'évolution des joueurs mais cela n'excuse guère le jeu insipide et inefficace des coéquipiers de Salaheddine.
Difficile vainqueur de la Zambie (1-0) lors du premier match de préparation, le onze 110nal aura à effectuer du 7 au 18 janvier prochain un stage à El Jadida entrecoupé de deux rencontres préparatoires respectivement face à l'Angola (12 janvier) et la Gambie (15 janvier).
Ces deux derniers tests devraient permettre à Coelho d'effectuer les derniers réglages et de procéder aux ultimes retouches avant de rallier Bamako où les Lions de l'Atlas auront la lourde tâche du renouer avec un sacre qui nous fuit depuis 1976, année de la glorieuse épopée écrite par Faras, Acila, Dolmy, Baba et autre Zahraoui.
Coelho a affirmé récemment qu'il était confiant et comptait bien réaliser un bon résultat à cette CAN 2002. On veut bien partager son optimisme mais sans tomber dans la béatitude car les faiblesses, surtout en attaque sont trop criardes pour donne bien à trop d'espérances.
