Selon le dernier numéro de l'hebdomadaire français “Paris Match”, qui consacre un reportage à ce sujet, des conclusions allant dans ce sens ont été présentées, cette semaine, par des scientifiques de l'Institut français des sciences de l'univers devant le Congrès annuel de la météoritical à Rome.
L'histoire commence vers la fin de l'année dernière, lorsque deux chasseurs de météorites, Carine Bidaut et Bruno Fectay, ont découvert dans le désert marocain un petit fraguement de mars que le CNES leur a acheté 370.000 francs. Ils créent alors une 116iété baptisée “la mémoire de la terre” ou quatorze personnes abord de 4/4 quadrillent en permanence le désert découpe en secteurs. Trois mois de travail pour chaque carré de 100 kilomètres de côte.
Les deux chasseurs découvrent par la suite trois autres cailloux de la même provenance et qualifiés de “merveilles de la nature et de trésors pour la science”.
“les chercheurs en extraient quelques grammes, aussitôt transformés en sections poliés ou lames minces. La pierre identifiée N.W.A 817 (North West Africa) fait de multiples allers et retours entre les principaux laboratoires français, Lyon, Paris, Angers”, rapporte “Paris Match” qui précise que, d'après les premières recherches effectuées sur la pierre, il s'avère qu'elle contient de l'eau “comme celle qui a donné la vie à tous les êtres animés de la terre”.
Il rappelle qu'avant ce jour, on parlait de fluide, d'écoulement et de traces d'eau sur la planète mars que l'on savait séché et froide, en surface tout au moins. Mais, ajoute-t-il, “cette goutte d'eau du désert, d'un coût infiniment modeste, est une trouvaille scientifique sans précédent”.
La poursuite des recherches sur les pierres du désert marocain va nous renseigner sur la formation du cœur de Mars, depuis son noyau jusqu'à la croûte. Les recherches renseigneront également sur l'existence de réservoirs et d'un Océan qui aurait couvert une grande partie de l'hémisphère nord, souligne enfin le magazine français.
L'histoire commence vers la fin de l'année dernière, lorsque deux chasseurs de météorites, Carine Bidaut et Bruno Fectay, ont découvert dans le désert marocain un petit fraguement de mars que le CNES leur a acheté 370.000 francs. Ils créent alors une 116iété baptisée “la mémoire de la terre” ou quatorze personnes abord de 4/4 quadrillent en permanence le désert découpe en secteurs. Trois mois de travail pour chaque carré de 100 kilomètres de côte.
Les deux chasseurs découvrent par la suite trois autres cailloux de la même provenance et qualifiés de “merveilles de la nature et de trésors pour la science”.
“les chercheurs en extraient quelques grammes, aussitôt transformés en sections poliés ou lames minces. La pierre identifiée N.W.A 817 (North West Africa) fait de multiples allers et retours entre les principaux laboratoires français, Lyon, Paris, Angers”, rapporte “Paris Match” qui précise que, d'après les premières recherches effectuées sur la pierre, il s'avère qu'elle contient de l'eau “comme celle qui a donné la vie à tous les êtres animés de la terre”.
Il rappelle qu'avant ce jour, on parlait de fluide, d'écoulement et de traces d'eau sur la planète mars que l'on savait séché et froide, en surface tout au moins. Mais, ajoute-t-il, “cette goutte d'eau du désert, d'un coût infiniment modeste, est une trouvaille scientifique sans précédent”.
La poursuite des recherches sur les pierres du désert marocain va nous renseigner sur la formation du cœur de Mars, depuis son noyau jusqu'à la croûte. Les recherches renseigneront également sur l'existence de réservoirs et d'un Océan qui aurait couvert une grande partie de l'hémisphère nord, souligne enfin le magazine français.