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Les Barcelonais, en concédant le nul à domicile face à Valence (2-2), manquaient, comme le Betis, une occasion d'accrocher la tête du classement.
Deux buts de Diego Tristan ont permis à La Corogne de déloger samedi le Betis de la première place provisoire. Les Sévillans, pressés de reprendre leur bien, ont entamé dimanche de façon très agressive leur rencontre à Vigo. Mais le Celta, bien que dominé, a pu compter sur le trio magique composé par les Russes Mostovoï et Karpin et sur l'Argentin Gustavo Lopez pour inverser la tendance.
Valence abordait son déplacement au Camp Nou avec un esprit de revanche.
Les Catalans avaient en effet obtenu leur place en Ligue des champions au détriment des Valenciens lors de l'ultime rencontre entre les deux équipes.
Confrontés à la furia andalouse, concrétisée par un but de Salva Ballesta à la 26ème minute, les Barcelonais étaient atones jusqu'au but égalisateur de Javier Saviola (42). En seconde période, Valence marquait à nouveau le premier (Marchena, 72), rattrapé une minute plus tard par Barcelone (Gabri, 73). En l'absence de Rivaldo, mis au repos pour affronter Leverkusen dans les meilleures conditions, mercredi en Ligue des champions, Saviola jouait sa meilleure partie depuis son arrivée au Barça, malgré la vigilance de Ayala et Pellegrino, ses compatriotes argentins de Valence.
Samedi sur le terrain d'Alavés, le Real a continué de balbutier son début de saison (trois défaites, trois nuls et deux victoires). Sans Zidane (victime d'une gastro-entérite) ni Roberto Carlos, les champions d'Espagne ont manqué de lustre, seul le gardien Iker Casillas se mettant en valeur sur un tir de Fabricio Collocini, l'Argentin d'Alavés.
Deux buts de Diego Tristan ont permis à La Corogne de déloger samedi le Betis de la première place provisoire. Les Sévillans, pressés de reprendre leur bien, ont entamé dimanche de façon très agressive leur rencontre à Vigo. Mais le Celta, bien que dominé, a pu compter sur le trio magique composé par les Russes Mostovoï et Karpin et sur l'Argentin Gustavo Lopez pour inverser la tendance.
Valence abordait son déplacement au Camp Nou avec un esprit de revanche.
Les Catalans avaient en effet obtenu leur place en Ligue des champions au détriment des Valenciens lors de l'ultime rencontre entre les deux équipes.
Confrontés à la furia andalouse, concrétisée par un but de Salva Ballesta à la 26ème minute, les Barcelonais étaient atones jusqu'au but égalisateur de Javier Saviola (42). En seconde période, Valence marquait à nouveau le premier (Marchena, 72), rattrapé une minute plus tard par Barcelone (Gabri, 73). En l'absence de Rivaldo, mis au repos pour affronter Leverkusen dans les meilleures conditions, mercredi en Ligue des champions, Saviola jouait sa meilleure partie depuis son arrivée au Barça, malgré la vigilance de Ayala et Pellegrino, ses compatriotes argentins de Valence.
Samedi sur le terrain d'Alavés, le Real a continué de balbutier son début de saison (trois défaites, trois nuls et deux victoires). Sans Zidane (victime d'une gastro-entérite) ni Roberto Carlos, les champions d'Espagne ont manqué de lustre, seul le gardien Iker Casillas se mettant en valeur sur un tir de Fabricio Collocini, l'Argentin d'Alavés.
