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Le diplomate français, qui s'exprimait lundi au cours d'une rencontre avec la presse organisée par la Chambre française de commerce et d'industrie du Maroc, en prélude à la semaine française au Maroc France-Expo 2001 (2/5 octobre à Casablanca), a précisé que 320 entreprises (contre les 250 prévues initialement) représentant 13 régions sur les 18 régions que compte l'hexagone, prennent part à cette manifestation. Cela montre, si besoin était, l'intérêt que portent les opérateurs français au Maroc et au développement de ce pays et la qualité des relations entre la France et le Maroc, a-t-il souligné. Et d'ajouter que le Maroc est considéré comme le
meilleur client de la France et cette tendance est de nature à s'améliorer à l'avenir, d'autant plus que le Royaume, dit-il, a adopté ces dernières années
une ligne positive qui plaît aux investisseurs étrangers.
Par ailleurs, un document distribué à cette occasion souligne que la France est le premier partenaire commercial du Maroc, tant comme premier fournisseur, avec 24 % des importations marocaines, que comme premier client, en accueillant 34 % des exportations du pays.
Avec un chiffre d'affaire annuel de 19,5 milliards de FF (1 franc=1,57 dh) en 2000, le Maroc est le 17ème client de la France, mais son premier partenaire parmi les pays tiers méditerranéens (Turquie non comprise) et son troisième après la Chine et la Russie, pour les pays hors ONDE.
Les échanges commerciaux franco-marocains ont progressé en 2000, selon les chiffres de la douane française, à un rythme plus soutenu qu'au cours des dernières années (+10,4 % en 2000 contre +5,7 % en moyenne sur la période 1991-2000). Les échanges commerciaux franco-marocains ont ainsi atteint en 2000, 36,0 MDS FF, contre 32,6 MDS FF en 1999.
La progression des échanges commerciaux franco-marocains s'explique principalement, selon la même source, par la très forte croissance des exportations qui atteignent 19,5 MDS FF, en hausse de 18,9 % (+2,7 % en 1999 et +6,6 % en moyenne sur la période 1991-2000). Le solde commercial, qui était traditionnellement équilibré (taux de couverture compris entre 93 et 106 % au cours des dix dernières années) a dégagé, en 2000, un excèdent en faveur de la France de 2,99 MDS FF, qui s'explique essentiellement par l'accroissement des importations de céréales, lié à la persistance de la sécheresse au Maroc et au ralentissement du rythme de progression des exportations marocaines vers la France, note le document. La France a principalement exporté en 2000 des biens intermédiaires (49 %), des biens d'équipements (22 %), des produits agro-alimentaires (11 %). Elle a importé principalement des biens de consommation (43 %), des biens intermédiaires (31%) et des produits agro-alimentaires. La France, note le document, a aussi conservé en 2000 et surtout en 2001 sa première place d'investisseur étranger au Maroc, avec le rachat de 35 % du capital de Maroc Telecom par Vivendi Universal pour un montant de 23 milliards de dirhams. Les groupes Lafarge, Auchan, Club Méditerranée et Accor viennent également d'annoncer des projets pour un montant global de 4,5 milliards de dirhams.
meilleur client de la France et cette tendance est de nature à s'améliorer à l'avenir, d'autant plus que le Royaume, dit-il, a adopté ces dernières années
une ligne positive qui plaît aux investisseurs étrangers.
Par ailleurs, un document distribué à cette occasion souligne que la France est le premier partenaire commercial du Maroc, tant comme premier fournisseur, avec 24 % des importations marocaines, que comme premier client, en accueillant 34 % des exportations du pays.
Avec un chiffre d'affaire annuel de 19,5 milliards de FF (1 franc=1,57 dh) en 2000, le Maroc est le 17ème client de la France, mais son premier partenaire parmi les pays tiers méditerranéens (Turquie non comprise) et son troisième après la Chine et la Russie, pour les pays hors ONDE.
Les échanges commerciaux franco-marocains ont progressé en 2000, selon les chiffres de la douane française, à un rythme plus soutenu qu'au cours des dernières années (+10,4 % en 2000 contre +5,7 % en moyenne sur la période 1991-2000). Les échanges commerciaux franco-marocains ont ainsi atteint en 2000, 36,0 MDS FF, contre 32,6 MDS FF en 1999.
La progression des échanges commerciaux franco-marocains s'explique principalement, selon la même source, par la très forte croissance des exportations qui atteignent 19,5 MDS FF, en hausse de 18,9 % (+2,7 % en 1999 et +6,6 % en moyenne sur la période 1991-2000). Le solde commercial, qui était traditionnellement équilibré (taux de couverture compris entre 93 et 106 % au cours des dix dernières années) a dégagé, en 2000, un excèdent en faveur de la France de 2,99 MDS FF, qui s'explique essentiellement par l'accroissement des importations de céréales, lié à la persistance de la sécheresse au Maroc et au ralentissement du rythme de progression des exportations marocaines vers la France, note le document. La France a principalement exporté en 2000 des biens intermédiaires (49 %), des biens d'équipements (22 %), des produits agro-alimentaires (11 %). Elle a importé principalement des biens de consommation (43 %), des biens intermédiaires (31%) et des produits agro-alimentaires. La France, note le document, a aussi conservé en 2000 et surtout en 2001 sa première place d'investisseur étranger au Maroc, avec le rachat de 35 % du capital de Maroc Telecom par Vivendi Universal pour un montant de 23 milliards de dirhams. Les groupes Lafarge, Auchan, Club Méditerranée et Accor viennent également d'annoncer des projets pour un montant global de 4,5 milliards de dirhams.
