Au cours de cette édition, l'athlétisme a confirmé une nouvelle fois qu'il est la locomotive du 114 marocain, aux côtés du tennis avec notamment la brillante prestation de Bahia Mouhtassine, Mahdi Tahiri et Mounir Laâraj. Ces jeunes constitueraient sans doute la relève du trio, Younès El Aynaoui, Karim Alami et Hicham Arazi.
Le public marocain attendaient une grande prestation des 114ifs marocains, notamment dans des jeux collectifs et plus précisément le football, mais le Onze olympique avait des pieds de beurre. Le 114 marocain a tout simplement raté cette édition.
Seulement cinq disciplines, l'athlétisme, le tennis, le karaté, le judo et le handi114 qui ont pu s'imposer et accéder au podium, au moment où les autres disciplines ont trébuché.
L'athlétisme marocain qui a brillé lors de toutes les précédentes éditions, a ajouté à son palmarès, à Tunis, 10 médailles, dont 4 d'or signées Asmae Laghzaoui (10.000m), Soultana Aït Hammou (800m), Abdelkader Hachlaf (1500m) et Jawad Gharib (10.000m), ainsi que 5 autres d'argent et une de bronze.
L'athlétisme n'a pas pu dépasser la barre de 12 médailles récoltées lors des quatre dernières éditions. Ce nombre pouvait augmenter si la participation de Nezha Bidouane (400m haies), Mustapha Asdad (400m haies) et Brahim Boulami (3000m steeple) était confirmée.
Le tennis était à l'honneur, notamment avec la brillante prestation de Bahia Mouhtassine (individuel) qui a arraché de l'or et de Mahdi Tahiri Mounir Laâraj qui ont obtenu du bronze, une en individuel et une en duo. Le tennis a ainsi totalisé au cours des éditions méditerranéennes, trois médailles d'or, une d'argent et quatre de bronze.
Dans sa première participation, le handi114 a pu monter au podium grâce à Aïcha Azizi médaillée d'argent en 800m. L'athlète marocaine a disputé cette discipline sur une chaise roulante, don d'un citoyen canadien.
Pour sa part, le judoka marocain Adil Chorfi El Idrissi est venu à la rescousse du judo 110nal en décrochant la médaille de bronze, après l'élimi110n de ses collègues notamment Adel Belgaid dans la catégorie des moins de 81 kg. Cette réalisation port à 9 le nombre de médailles récoltées par le judo marocain depuis le lancement des Jeux Méditerranéens, deux d'argent et neuf de bronze.
Le karaté a réalisé les mêmes performances que celles de l'édition de Bari (Italie 1997), notamment avec la médaille de bronze décrochée par Driss Lemnani. A rappeler que cette discipline a été représentée par 13 karatékas (hommes et dames).
Si certains 114ifs marocains avaient pleuré de joie, d'autres, victimes du mauvais arbitrage, avaient par contre versé des larmes de tristesse. Il s'agit du pugiliste Abdellah Benbiar, du lutteur Ali Belachiri et du karatéka Taleb El Bakali.
La boxe marocaine absente depuis l'édition de Beyrouth (1959), la lutte gréco-romaine elle aussi n'a réalisé aucun titre, depuis l'édition de Lataquie (1987) et le gymnase n'a rien ajouté à son actif, à l'exception d'une médaille d'or et une autre d'argent signée Khalid Sader. Le football qui a quitté les Jeux tôt, n'a à son actif que deux médaille, une d'or décrochée à Casablanca (1983) et l'autre de bronze obtenu à Athènes (1991).
Les autres disciplines, à savoir, la pétanque, l'haltérophilie, la natation, le golf et le basket-ball féminin ont su maintenir leur modeste prestation, tout comme le handball qui a trébuché au premier tour, mais face à des adversaires de taille.
Le public marocain attendaient une grande prestation des 114ifs marocains, notamment dans des jeux collectifs et plus précisément le football, mais le Onze olympique avait des pieds de beurre. Le 114 marocain a tout simplement raté cette édition.
Seulement cinq disciplines, l'athlétisme, le tennis, le karaté, le judo et le handi114 qui ont pu s'imposer et accéder au podium, au moment où les autres disciplines ont trébuché.
L'athlétisme marocain qui a brillé lors de toutes les précédentes éditions, a ajouté à son palmarès, à Tunis, 10 médailles, dont 4 d'or signées Asmae Laghzaoui (10.000m), Soultana Aït Hammou (800m), Abdelkader Hachlaf (1500m) et Jawad Gharib (10.000m), ainsi que 5 autres d'argent et une de bronze.
L'athlétisme n'a pas pu dépasser la barre de 12 médailles récoltées lors des quatre dernières éditions. Ce nombre pouvait augmenter si la participation de Nezha Bidouane (400m haies), Mustapha Asdad (400m haies) et Brahim Boulami (3000m steeple) était confirmée.
Le tennis était à l'honneur, notamment avec la brillante prestation de Bahia Mouhtassine (individuel) qui a arraché de l'or et de Mahdi Tahiri Mounir Laâraj qui ont obtenu du bronze, une en individuel et une en duo. Le tennis a ainsi totalisé au cours des éditions méditerranéennes, trois médailles d'or, une d'argent et quatre de bronze.
Dans sa première participation, le handi114 a pu monter au podium grâce à Aïcha Azizi médaillée d'argent en 800m. L'athlète marocaine a disputé cette discipline sur une chaise roulante, don d'un citoyen canadien.
Pour sa part, le judoka marocain Adil Chorfi El Idrissi est venu à la rescousse du judo 110nal en décrochant la médaille de bronze, après l'élimi110n de ses collègues notamment Adel Belgaid dans la catégorie des moins de 81 kg. Cette réalisation port à 9 le nombre de médailles récoltées par le judo marocain depuis le lancement des Jeux Méditerranéens, deux d'argent et neuf de bronze.
Le karaté a réalisé les mêmes performances que celles de l'édition de Bari (Italie 1997), notamment avec la médaille de bronze décrochée par Driss Lemnani. A rappeler que cette discipline a été représentée par 13 karatékas (hommes et dames).
Si certains 114ifs marocains avaient pleuré de joie, d'autres, victimes du mauvais arbitrage, avaient par contre versé des larmes de tristesse. Il s'agit du pugiliste Abdellah Benbiar, du lutteur Ali Belachiri et du karatéka Taleb El Bakali.
La boxe marocaine absente depuis l'édition de Beyrouth (1959), la lutte gréco-romaine elle aussi n'a réalisé aucun titre, depuis l'édition de Lataquie (1987) et le gymnase n'a rien ajouté à son actif, à l'exception d'une médaille d'or et une autre d'argent signée Khalid Sader. Le football qui a quitté les Jeux tôt, n'a à son actif que deux médaille, une d'or décrochée à Casablanca (1983) et l'autre de bronze obtenu à Athènes (1991).
Les autres disciplines, à savoir, la pétanque, l'haltérophilie, la natation, le golf et le basket-ball féminin ont su maintenir leur modeste prestation, tout comme le handball qui a trébuché au premier tour, mais face à des adversaires de taille.