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Dans un entretien jeudi au bureau de l'agence MAP à Genève, M. Honore Vignon, chef de l'unité de la réforme sectorielle au sein du bureau de développement des télécommunications de l'UIT (BDT) a indiqué que 175 personnes, en provenance de la quasi-totalité des pays africains et arabes, ont confirmé à ce jour leur participation à ce forum, augurant ainsi du succès que devrait connaître la rencontre.
Le forum, qui fait suite à une série de séminaires de sensibilisation sur les défis de la restructuration du secteur des télécommunications, précise l'UIT, est destiné à approfondir les discussions en se concentrant sur deux thèmes particuliers:
L'interconnexion et la gestion des fréquences. Il s'adresse tout particulièrement aux hauts responsables en matière de réglementation des télécommunications, dans les organes de régulation, les ministères et les opérateurs de réseaux.
Selon l'UIT, chacune des deux sessions (interconnexion et gestion des fréquences) s'appuiera sur une sélection de présentation par les participants, destinée à éclairer les différents aspects du thème, à partir des réalités des pays africains. Dans chacune des sessions, est-il ajouté, il est également prévu une ou deux interventions de consultants, en vue de prendre en compte les tendances et comparaisons au niveau continental et mondial.
Outre ces deux thèmes centraux, indique encore l'UIT, les participants à ce forum arabo-africain discuteront des propositions du comité chargé de proposer un mécanisme de consultation entre les organismes de réglementation africains.
Les progrès réalisés par le Maroc en matière de réglementation et de libéralisation des Télécoms, à savoir la mise en place de l'ANRT, ainsi que l'adoption de toutes les mesures qui visent à libéraliser et à développer le secteur des Télécoms (qu'il s'agisse des mesures et réformes entreprises dans les cadres législatifs et réglementaires, où des actions concrètes et positives qui ont eu un grand impact, comme l'octroi d'une seconde licence GSM, où le processus de privatisation de l'opérateur historique marocain), témoignent qu'au Maroc, et contrairement à d'autres pays en développement, il existe un plan cohérent visant la libéralisation et le développement du secteur des Télécoms, a estimé M. Vignon.
Selon lui, ces mesures et actions ont largement donné leurs fruits aujourd'hui : les résultats sont là, notamment dans le domaine de la téléphonie mobile.
Le responsable de l'UIT a, par ailleurs, souligné l'intérêt du forum de Rabat pour les pays en développement. Cette manifestation, a-t-il précisé, vise à aider les pays en développement à mieux appréhender les enjeux et défis liés aux réformes et à la réglementation du secteur des télécommunications, dans un contexte de mondialisation et de libéralisation accrues, et à savoir y faire face.
Le forum, qui fait suite à une série de séminaires de sensibilisation sur les défis de la restructuration du secteur des télécommunications, précise l'UIT, est destiné à approfondir les discussions en se concentrant sur deux thèmes particuliers:
L'interconnexion et la gestion des fréquences. Il s'adresse tout particulièrement aux hauts responsables en matière de réglementation des télécommunications, dans les organes de régulation, les ministères et les opérateurs de réseaux.
Selon l'UIT, chacune des deux sessions (interconnexion et gestion des fréquences) s'appuiera sur une sélection de présentation par les participants, destinée à éclairer les différents aspects du thème, à partir des réalités des pays africains. Dans chacune des sessions, est-il ajouté, il est également prévu une ou deux interventions de consultants, en vue de prendre en compte les tendances et comparaisons au niveau continental et mondial.
Outre ces deux thèmes centraux, indique encore l'UIT, les participants à ce forum arabo-africain discuteront des propositions du comité chargé de proposer un mécanisme de consultation entre les organismes de réglementation africains.
Les progrès réalisés par le Maroc en matière de réglementation et de libéralisation des Télécoms, à savoir la mise en place de l'ANRT, ainsi que l'adoption de toutes les mesures qui visent à libéraliser et à développer le secteur des Télécoms (qu'il s'agisse des mesures et réformes entreprises dans les cadres législatifs et réglementaires, où des actions concrètes et positives qui ont eu un grand impact, comme l'octroi d'une seconde licence GSM, où le processus de privatisation de l'opérateur historique marocain), témoignent qu'au Maroc, et contrairement à d'autres pays en développement, il existe un plan cohérent visant la libéralisation et le développement du secteur des Télécoms, a estimé M. Vignon.
Selon lui, ces mesures et actions ont largement donné leurs fruits aujourd'hui : les résultats sont là, notamment dans le domaine de la téléphonie mobile.
Le responsable de l'UIT a, par ailleurs, souligné l'intérêt du forum de Rabat pour les pays en développement. Cette manifestation, a-t-il précisé, vise à aider les pays en développement à mieux appréhender les enjeux et défis liés aux réformes et à la réglementation du secteur des télécommunications, dans un contexte de mondialisation et de libéralisation accrues, et à savoir y faire face.
