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Un tableau de la criminalité, macabre et combien percutant des conséquences directes et néfastes de la Violence, surtout lorsque celle-ci se solde par des faits devenus quotidiens ces dernières décennies, et dont les comptes rendus en matière d'agressivités remplissent journellement une grande partie des premières pages de certains journaux.S'étant orientés sur le phénomène du crime et son impact sur notre société marocaine, dont le caractère idéologique est basé sur les préceptes fondamentaux de l'Islam, un Islam qui, d'ailleurs, ne semble pas apporter le «remède miracle» et les solutions immédiates et adéquates dans le but essentiel est éradiquer le mal, là où il se trouve... N'est-ce pas désolant et ahurissant de lire par exemple qu'»un homme a fini par tuer sa femme à coup de hache» ou bien qu'«un jeune adolescent vient de commettre un crime odieux pour quelques «sous» seulement» ou encore qu' «un père a abusé de sa propre fille en accomplissant une inceste : crime impardonnable!».
Alors, l'on se demande «où va le monde?» l'écrivain Norman Mailer n'a t-il pas révélé que «la Violence est uniquement une réaction face à la tendance de notre civilisation, toutes ethnies confondues, à se déshumaniser!».
Certes, la Violence, se manifeste chez nous chaque jours de façon sporadique éclatant sous toutes ses formes, aussi bien dans les bas quartiers de pauvres que sur les écrans de nos salles cinématographiques ces derniers justifiant la triste et cruelle réalité dans laquelle nous avons appris à vivre, et cela, à travers même une «culture de la violence» développée par une tension d'insécurité sociale, et la mauvaise volonté de la Société à diminuer ses causes.
En vérité, ne sommes-nous pas Tous plus ou moins coupable? Car observer et ne pas réagir, c'est déjà un signe de complicité et de désintéressement total, quant à la quiétude et la sécurité du citoyen marocain !
Or, les gens ne naissent pas criminels, mais en revanche, ils peuvent le devenir n'importe quand, n'importe où et pour maintes raisons ! Telles, la pauvreté, l'injustice, l'analphabétisme, l'insécurité, l'esclavagisme, les drogues, l'alcoolisme, la délinquance, et j'en passe!!! L'heure est grave à tout point de vue ! et pour ne parler que de délinquance, celle-ci est de toute évidence un phénomène de dégradation ancrée dans la nouvelle génération de notre société en pleine mutation vers un mode de vie basée sur le modernisme et les technologies de pointes.
Or, nous constatons avec amertume qu'elle s'est propagée rapidement dans la capitale Rabat, en fonction de la poussée démographique d'une manière démesurée et disproportionnée en rapport avec l'habitat insuffisant, le manque de débouchés et d'opportunités d'emplois et des établissements scolaires saturés depuis quelques années déjà...
Ainsi cette délinquance a provoqué le syndrome de l'insécurité sociale dans certaines régions et quartiers pauvres ou riches de la ville de Rabat, dans laquelle se sont installés curieusement des bidonvilles ayant émergé comme des champignons venimeux, faisant ainsi la «honte» de la ville impériale. Dès lors, pourquoi donc cette nouvelle forme de délinquance qui a frappé malheureusement les générations actuelles, tout particulièrement parmi les jeunes adolescents détruits progressivement par les méfaits de toutes sortes de drogues (véritables poisons destructeurs et néfastes) ou encore des boissons alcooliques, ces derniers étant à la portée de tout le monde, hélas, et mille fois hélas ! car combien d'entre eux ont perdu la raison pour devenir des névrosés, des alcooliques, des drogués, des psychopathes, bref des criminels en puissance mettant en danger la stabilité de notre société musulmane.
Or, combien d'entre eux sont candidats pour purger leurs crimes dans de sinistres prisons, ou condamnés à passer le restant de leur vie dans des hôpitaux psychiatriques, où tout simplement appelés à vivre en tant que clochards-S.D.F (sans domicile fixe)! N'est-ce pas là un triste sort?
Mais toute réflexion faite, ces victimes du mauvais sort et du mauvais choix auraient pu s'éviter cette calamité sociale qu'est la délinquance.
Une délinquance qui ne pardonne pas, surtout lorsqu'elle d'innocents orphelins sans père ni mère, des enfants de la rue ayant quitté leurs parents pour une raison ou pour une autre, ou encore de jeunes adolescents en fugue, ont recours au vol ou à la prostitution pour leur survie ou leurs besoins quotidiens en matière de drogues dans le seul but d'oublier leurs souffrances, leur marginalisation de la société qui apparemment ne leur apporte aucun soutien, ni confort, ni clémence ! alors, de là-au-crime ! il n'y a qu'un pas ! un pas fatal pour ces malheureux délinquants de la capitale.
Alors, l'on se demande «où va le monde?» l'écrivain Norman Mailer n'a t-il pas révélé que «la Violence est uniquement une réaction face à la tendance de notre civilisation, toutes ethnies confondues, à se déshumaniser!».
Certes, la Violence, se manifeste chez nous chaque jours de façon sporadique éclatant sous toutes ses formes, aussi bien dans les bas quartiers de pauvres que sur les écrans de nos salles cinématographiques ces derniers justifiant la triste et cruelle réalité dans laquelle nous avons appris à vivre, et cela, à travers même une «culture de la violence» développée par une tension d'insécurité sociale, et la mauvaise volonté de la Société à diminuer ses causes.
En vérité, ne sommes-nous pas Tous plus ou moins coupable? Car observer et ne pas réagir, c'est déjà un signe de complicité et de désintéressement total, quant à la quiétude et la sécurité du citoyen marocain !
Or, les gens ne naissent pas criminels, mais en revanche, ils peuvent le devenir n'importe quand, n'importe où et pour maintes raisons ! Telles, la pauvreté, l'injustice, l'analphabétisme, l'insécurité, l'esclavagisme, les drogues, l'alcoolisme, la délinquance, et j'en passe!!! L'heure est grave à tout point de vue ! et pour ne parler que de délinquance, celle-ci est de toute évidence un phénomène de dégradation ancrée dans la nouvelle génération de notre société en pleine mutation vers un mode de vie basée sur le modernisme et les technologies de pointes.
Or, nous constatons avec amertume qu'elle s'est propagée rapidement dans la capitale Rabat, en fonction de la poussée démographique d'une manière démesurée et disproportionnée en rapport avec l'habitat insuffisant, le manque de débouchés et d'opportunités d'emplois et des établissements scolaires saturés depuis quelques années déjà...
Ainsi cette délinquance a provoqué le syndrome de l'insécurité sociale dans certaines régions et quartiers pauvres ou riches de la ville de Rabat, dans laquelle se sont installés curieusement des bidonvilles ayant émergé comme des champignons venimeux, faisant ainsi la «honte» de la ville impériale. Dès lors, pourquoi donc cette nouvelle forme de délinquance qui a frappé malheureusement les générations actuelles, tout particulièrement parmi les jeunes adolescents détruits progressivement par les méfaits de toutes sortes de drogues (véritables poisons destructeurs et néfastes) ou encore des boissons alcooliques, ces derniers étant à la portée de tout le monde, hélas, et mille fois hélas ! car combien d'entre eux ont perdu la raison pour devenir des névrosés, des alcooliques, des drogués, des psychopathes, bref des criminels en puissance mettant en danger la stabilité de notre société musulmane.
Or, combien d'entre eux sont candidats pour purger leurs crimes dans de sinistres prisons, ou condamnés à passer le restant de leur vie dans des hôpitaux psychiatriques, où tout simplement appelés à vivre en tant que clochards-S.D.F (sans domicile fixe)! N'est-ce pas là un triste sort?
Mais toute réflexion faite, ces victimes du mauvais sort et du mauvais choix auraient pu s'éviter cette calamité sociale qu'est la délinquance.
Une délinquance qui ne pardonne pas, surtout lorsqu'elle d'innocents orphelins sans père ni mère, des enfants de la rue ayant quitté leurs parents pour une raison ou pour une autre, ou encore de jeunes adolescents en fugue, ont recours au vol ou à la prostitution pour leur survie ou leurs besoins quotidiens en matière de drogues dans le seul but d'oublier leurs souffrances, leur marginalisation de la société qui apparemment ne leur apporte aucun soutien, ni confort, ni clémence ! alors, de là-au-crime ! il n'y a qu'un pas ! un pas fatal pour ces malheureux délinquants de la capitale.
