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Réalisée par l'Office 110nal de l'eau potable (ONEP), avec le soutien financier de la Belgique, la station de purification de Tarfaya a mis un terme à plusieurs années de pénurie d'eau potable, dont souffrait la ville.
Jusqu'à une date récente, l'eau qui était produite, au moyen d'une petite station d'un débit de 80 m3 par jour, était distribuée par l'intermédiaire des colporteurs et des camions citernes. Un réseau de distribution d'eau saumâtre à travers des conduites individuelles (8 km de longueur) assurait cependant les besoins domestiques des habitants de cette cite.
La réalisation de cette station, dont le coût s'élève à 50 millions de dirhams, en plus du nouveau réseau de distribution d'eau de 12 km de longueur, ont eu des impacts positifs en particulier au niveau du développement social de cette cité historique, située sur la côte atlantique, à environ 100 km au nord de Laâyoune.
Selon les services de l'ONEP à Laâyoune, cette réalisation s'inscrit dans le cadre de la politique suivie par l'office et visant à assurer aux habitants de Tarfaya la qualité de l'eau et des prestations améliorées, à travers une généralisation de l'approvisionnement en eau potable répondant aux demandes et besoins actuels de la région.
La réalisation en 1995 de la station de dessalement d'eau de mer, qui produit 7.000 m3 par jour, capacité qui sera étendue prochainement à 13.000 m3/j, en plus des 6.000 m3/j assurés par les puits de Foum El Oued, ont doté la ville de Laâyoune d'une alimentation eau potable, mettant un terme à l'usage domestique de l'eau saumâtre.
Si dans un temps, le recours à l'eau saumâtre et à l'usage de diverses sources hydriques faisait partie d'une stratégie visant à répondre aux besoins domestiques des habitants, les impératifs d'un nouveau style de vie, accentue par l'élévation du rythme de développement ont contribué à l'accomplissement de cette importante réalisation hydrique à Tarfaya, qui vient renforcer les autres projets d'équipement réalisés dans la région.
Actuellement, l'on procède au renouvellement de 700 conduites individuelles, dont le nombre sera porté dans trois à quatre mois à 800 abonnés, et qui seront approvisionnés en eau potable, à partir d'un nouveau réseau de distribution et de branchements individuels.
A signaler que l'eau produite à la station de Tarfaya est extraite à partir de deux puits, de débit de 14 litres par seconde, avec un taux de salinité avoisinant 5 à 6 grammes par litre. Traitée selon la méthode de l'osmose inverse, procédé utilisé également dans la station de dessalement d'eau de mer de Laâyoune, l'eau extraite des puits de Tarfaya est débarrassée des divers sels minéraux.
La station de purification de Tarfaya est dotée d'un laboratoire, employant plusieurs cadres de l'ONEP, qui y travaillent en étroite collaboration avec ceux de Laâyoune.
Par ailleurs, un accord de partenariat a été conclu entre l'ONEP et le conseil municipal de Tarfaya en vue de l'extension du réseau d'assainissement, de la réalisation d'une station de traitement des eaux usées, dont la première phase est en cours de préparation, et dont le coût s'élève à 16 millions de dirhams.
Ces projets seront financés dans la cadre de la coopération maroco-belge.
Jusqu'à une date récente, l'eau qui était produite, au moyen d'une petite station d'un débit de 80 m3 par jour, était distribuée par l'intermédiaire des colporteurs et des camions citernes. Un réseau de distribution d'eau saumâtre à travers des conduites individuelles (8 km de longueur) assurait cependant les besoins domestiques des habitants de cette cite.
La réalisation de cette station, dont le coût s'élève à 50 millions de dirhams, en plus du nouveau réseau de distribution d'eau de 12 km de longueur, ont eu des impacts positifs en particulier au niveau du développement social de cette cité historique, située sur la côte atlantique, à environ 100 km au nord de Laâyoune.
Selon les services de l'ONEP à Laâyoune, cette réalisation s'inscrit dans le cadre de la politique suivie par l'office et visant à assurer aux habitants de Tarfaya la qualité de l'eau et des prestations améliorées, à travers une généralisation de l'approvisionnement en eau potable répondant aux demandes et besoins actuels de la région.
La réalisation en 1995 de la station de dessalement d'eau de mer, qui produit 7.000 m3 par jour, capacité qui sera étendue prochainement à 13.000 m3/j, en plus des 6.000 m3/j assurés par les puits de Foum El Oued, ont doté la ville de Laâyoune d'une alimentation eau potable, mettant un terme à l'usage domestique de l'eau saumâtre.
Si dans un temps, le recours à l'eau saumâtre et à l'usage de diverses sources hydriques faisait partie d'une stratégie visant à répondre aux besoins domestiques des habitants, les impératifs d'un nouveau style de vie, accentue par l'élévation du rythme de développement ont contribué à l'accomplissement de cette importante réalisation hydrique à Tarfaya, qui vient renforcer les autres projets d'équipement réalisés dans la région.
Actuellement, l'on procède au renouvellement de 700 conduites individuelles, dont le nombre sera porté dans trois à quatre mois à 800 abonnés, et qui seront approvisionnés en eau potable, à partir d'un nouveau réseau de distribution et de branchements individuels.
A signaler que l'eau produite à la station de Tarfaya est extraite à partir de deux puits, de débit de 14 litres par seconde, avec un taux de salinité avoisinant 5 à 6 grammes par litre. Traitée selon la méthode de l'osmose inverse, procédé utilisé également dans la station de dessalement d'eau de mer de Laâyoune, l'eau extraite des puits de Tarfaya est débarrassée des divers sels minéraux.
La station de purification de Tarfaya est dotée d'un laboratoire, employant plusieurs cadres de l'ONEP, qui y travaillent en étroite collaboration avec ceux de Laâyoune.
Par ailleurs, un accord de partenariat a été conclu entre l'ONEP et le conseil municipal de Tarfaya en vue de l'extension du réseau d'assainissement, de la réalisation d'une station de traitement des eaux usées, dont la première phase est en cours de préparation, et dont le coût s'élève à 16 millions de dirhams.
Ces projets seront financés dans la cadre de la coopération maroco-belge.
