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Le ras le bol est quasi général puisqu'outre les clubs de lutte ceux du tai ji tsu se sont également ralliés à cette noble cause pour dénoncer la mauvaise marche de leur instance dirigeante.
Sur les 37 clubs affiliés dans les deux disciplines, 25 ont exprimé leur mécontentement en saisissant le département de tutelle, lequel devant l'ampleur de la grogne a donné ses instructions pour la tenue des assises de cette fédération.
Et c'est donc le 27 octobre que se tiendra cette assemblée générale extraordinaire. Mais auparavant les deux ligues, du Centre-Sud et du Centre-Nord tiendront leur assemblée générale ordinaire, le 20 courant, la première à El Jadida et la seconde à Kénitra.
Deux candidats en lice à la présidence de ces deux ligues, M. Mohamed Saiboub (Sud) et M. Mohamed Benslimane (Nord). De l'issue de ces deux assemblées se précisera la volonté des clubs de tourner une page dans leur histoire. Evidemment des tractations sont en cours pour empêcher ce virage que l'on veut historique en lutte et on signale çâ et là des tentatives de subor110n de dirigeants de clubs pour retarder ce tournant qui ne fait pas l'affaire de tout le monde et surtout ceux qui ont bien profité des mannes et des honneurs de l'instance fédérale. D'où la dénonciation de ces pratiques malhonnêtes, propres, si l'on peut dire, aux campagnes… communales.
Gloire perdue
Le recul de la lutte selon les signataires de la double pétition est lié à la mauvaise gestion de la fédération transformée en agence de voyages et donc profitant à quelques privilégiés. Forcément le suivi de la sélection 110nale est délaissé et les résultats peu glorieux sont là pour l'attester.
Et dire qu'au niveau du bassin méditerranéen les représentants du Royaume s'étaient toujours admirablement comportés avec des places aux podiums.
Le programme 110nal et international dans le domaine de l'encadrement et la formation est des plus discrets, manquant manifestement d'ambition à long terme. De tout cela les clubs n'en veulent plus et c'est pourquoi ils en appellent à une profonde mutation de leur instance pour redynamiser une discipline qui a toujours honoré le 114 marocain. Au ministère de la Jeunesse et des 114s le mot d'ordre est de veiller au redressement de cette discipline et cela passe par un déroulement démocratique de ces assises. Est-ce trop demander aux pratiquants de lutte et de tai ji tsu ?
Sur les 37 clubs affiliés dans les deux disciplines, 25 ont exprimé leur mécontentement en saisissant le département de tutelle, lequel devant l'ampleur de la grogne a donné ses instructions pour la tenue des assises de cette fédération.
Et c'est donc le 27 octobre que se tiendra cette assemblée générale extraordinaire. Mais auparavant les deux ligues, du Centre-Sud et du Centre-Nord tiendront leur assemblée générale ordinaire, le 20 courant, la première à El Jadida et la seconde à Kénitra.
Deux candidats en lice à la présidence de ces deux ligues, M. Mohamed Saiboub (Sud) et M. Mohamed Benslimane (Nord). De l'issue de ces deux assemblées se précisera la volonté des clubs de tourner une page dans leur histoire. Evidemment des tractations sont en cours pour empêcher ce virage que l'on veut historique en lutte et on signale çâ et là des tentatives de subor110n de dirigeants de clubs pour retarder ce tournant qui ne fait pas l'affaire de tout le monde et surtout ceux qui ont bien profité des mannes et des honneurs de l'instance fédérale. D'où la dénonciation de ces pratiques malhonnêtes, propres, si l'on peut dire, aux campagnes… communales.
Gloire perdue
Le recul de la lutte selon les signataires de la double pétition est lié à la mauvaise gestion de la fédération transformée en agence de voyages et donc profitant à quelques privilégiés. Forcément le suivi de la sélection 110nale est délaissé et les résultats peu glorieux sont là pour l'attester.
Et dire qu'au niveau du bassin méditerranéen les représentants du Royaume s'étaient toujours admirablement comportés avec des places aux podiums.
Le programme 110nal et international dans le domaine de l'encadrement et la formation est des plus discrets, manquant manifestement d'ambition à long terme. De tout cela les clubs n'en veulent plus et c'est pourquoi ils en appellent à une profonde mutation de leur instance pour redynamiser une discipline qui a toujours honoré le 114 marocain. Au ministère de la Jeunesse et des 114s le mot d'ordre est de veiller au redressement de cette discipline et cela passe par un déroulement démocratique de ces assises. Est-ce trop demander aux pratiquants de lutte et de tai ji tsu ?
