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Le bilan est mitigé: 3 points en deux matches, une belle victoire contre l'Algérie (5-2) et une défaite contre l'Italie (1-2).
Contre toute attente, les lionceaux ont raté la coche à Tunis car ils avaient la capacité de faire partie du quator d'or.
D'ailleurs, des spécialistes et observateurs 114ifs à Tunis et à Sfax, séduits par les qualités techniques des jeunes joueurs marocains, n'en disconviennent pas.
Le staff technique aura du pain sur la planche pour combler les lacunes et bâtir une équipe compétitive, et homogène.
Comment en est on arrivé là ? Des facteurs endogènes et exogènes en sont la cause. Après sa médaille d'or amplement méritée aux Jeux de la Francophonie au Canada, le Maroc, devenu le cheval à battre, était privé des services de talentueux joueurs tels Armoumen, Mesloub, Bouab, Ben Kaouer ayant dépassé les 21 ans. Cette absence n'a pas manqué d'influer négativement sur le rendement de l'équipe, l'homogeinité, les automatismes.
Il est très difficile de jouer avec une équipe remaniée contre l'Algérie ambitieuse et surtout contre l'Italie, bien organisée, venue en Tunisie pour défendre son titre remporte aux Jeux méditerranéens de Bari en 1997.
Le changement du programme (le match Maroc-Italie a eu lieu samedi 8 septembre à 18h au lieu du dimanche) n'a pas arrangé les affaires de l'équipe quoiqu'il ne constitue pas un facteur déterminant dans sa défaite face à l'Italie qui jouait son premier match.
Le manque de fraîcheur physique de plusieurs joueurs après leur match contre l'Algérie, disputé le jeudi 6 septembre 2001, était le grain de sable dans le moteur en plus des maladresses du gardien de but, de la fragilité de l'axe central, des ratages des buts, des déchets dans le jeu, des abus de dribbles, de la nervosité de certains joueurs etc...
L'équipe marocaine a enchanté à deux reprises: la deuxième mi-temps contre l'Algérie et la première contre l'Italie. Cette situation paradoxale incite à tirer les leçons qui s'imposent. A quelques chose malheur est bon. L'apport du coach Mustapha Madih permettra à l'équipe d'exploiter à bon escient sa marge de progression pour améliorer son rendement, constituer un bloc homogène et reprendre son envol.
Quant à la condition physique, le défaut de la cuirasse de cette équipe, elle est l'affaire des clubs. La préparation physique est étroitement liée à la participation régulière des joueurs aux séances d'entraînement, à la discipline, à la diététique, aux heures de sommeil, à la fréquence des compétitions etc... L'une des solutions réside dans la continuité. Le coach algérien, Rabeh Madjer avait déclaré à l'agence MAP, après le match Maroc-Algérie, que c'est grâce au travail à long terme qu'on peut construire une équipe 110nale solide et éviter les hauts et les bas. Selon lui, on obtient des résultats contraires, si on continue de changer des responsables, des entraîneurs et des joueurs après chaque défaite. Le coach, Mustapha Madih est optimiste quant à l'avenir du onze 110nal. Pour lui, il faut continuer à travailler en prévision des Jeux Olympiques de 2004.
Les lionceaux n'ont pas à rougir de leur prestation surtout contre l'Italie réputée pour son cadenas et qui joue en 4-5-1 si elle perd le ballon en misant sur les contres rapides. Elle pratique un jeu simple et réaliste, alors que le football marocain est spectaculaire et idéaliste. L'entraîneur de la Squadra Azzura, Rocca a souligné le rôle de la condition physique. Il a déclaré au journal du comité d'organisation des Jeux Méditerranéens ‘'Med 2001'' qu'il avait ‘'table aussi, au cours du match, sur ce plan précis, sachant que les marocains ne pouvaient soutenir le même rythme jusqu'à la fin. Et puis, a-t-il ajouté, nous avions beaucoup mise sur le marquage et le bloc pour éviter de concéder des espaces à une équipe aux individualités marquantes et qui savent comment en profiter''. La participation aux Jeux Méditerranéens a permis aux lionceaux d'acquérir plus d'expérience et aux responsables de mettre le doigt sur les lacunes et de prévoir les solutions adéquates.
Contre toute attente, les lionceaux ont raté la coche à Tunis car ils avaient la capacité de faire partie du quator d'or.
D'ailleurs, des spécialistes et observateurs 114ifs à Tunis et à Sfax, séduits par les qualités techniques des jeunes joueurs marocains, n'en disconviennent pas.
Le staff technique aura du pain sur la planche pour combler les lacunes et bâtir une équipe compétitive, et homogène.
Comment en est on arrivé là ? Des facteurs endogènes et exogènes en sont la cause. Après sa médaille d'or amplement méritée aux Jeux de la Francophonie au Canada, le Maroc, devenu le cheval à battre, était privé des services de talentueux joueurs tels Armoumen, Mesloub, Bouab, Ben Kaouer ayant dépassé les 21 ans. Cette absence n'a pas manqué d'influer négativement sur le rendement de l'équipe, l'homogeinité, les automatismes.
Il est très difficile de jouer avec une équipe remaniée contre l'Algérie ambitieuse et surtout contre l'Italie, bien organisée, venue en Tunisie pour défendre son titre remporte aux Jeux méditerranéens de Bari en 1997.
Le changement du programme (le match Maroc-Italie a eu lieu samedi 8 septembre à 18h au lieu du dimanche) n'a pas arrangé les affaires de l'équipe quoiqu'il ne constitue pas un facteur déterminant dans sa défaite face à l'Italie qui jouait son premier match.
Le manque de fraîcheur physique de plusieurs joueurs après leur match contre l'Algérie, disputé le jeudi 6 septembre 2001, était le grain de sable dans le moteur en plus des maladresses du gardien de but, de la fragilité de l'axe central, des ratages des buts, des déchets dans le jeu, des abus de dribbles, de la nervosité de certains joueurs etc...
L'équipe marocaine a enchanté à deux reprises: la deuxième mi-temps contre l'Algérie et la première contre l'Italie. Cette situation paradoxale incite à tirer les leçons qui s'imposent. A quelques chose malheur est bon. L'apport du coach Mustapha Madih permettra à l'équipe d'exploiter à bon escient sa marge de progression pour améliorer son rendement, constituer un bloc homogène et reprendre son envol.
Quant à la condition physique, le défaut de la cuirasse de cette équipe, elle est l'affaire des clubs. La préparation physique est étroitement liée à la participation régulière des joueurs aux séances d'entraînement, à la discipline, à la diététique, aux heures de sommeil, à la fréquence des compétitions etc... L'une des solutions réside dans la continuité. Le coach algérien, Rabeh Madjer avait déclaré à l'agence MAP, après le match Maroc-Algérie, que c'est grâce au travail à long terme qu'on peut construire une équipe 110nale solide et éviter les hauts et les bas. Selon lui, on obtient des résultats contraires, si on continue de changer des responsables, des entraîneurs et des joueurs après chaque défaite. Le coach, Mustapha Madih est optimiste quant à l'avenir du onze 110nal. Pour lui, il faut continuer à travailler en prévision des Jeux Olympiques de 2004.
Les lionceaux n'ont pas à rougir de leur prestation surtout contre l'Italie réputée pour son cadenas et qui joue en 4-5-1 si elle perd le ballon en misant sur les contres rapides. Elle pratique un jeu simple et réaliste, alors que le football marocain est spectaculaire et idéaliste. L'entraîneur de la Squadra Azzura, Rocca a souligné le rôle de la condition physique. Il a déclaré au journal du comité d'organisation des Jeux Méditerranéens ‘'Med 2001'' qu'il avait ‘'table aussi, au cours du match, sur ce plan précis, sachant que les marocains ne pouvaient soutenir le même rythme jusqu'à la fin. Et puis, a-t-il ajouté, nous avions beaucoup mise sur le marquage et le bloc pour éviter de concéder des espaces à une équipe aux individualités marquantes et qui savent comment en profiter''. La participation aux Jeux Méditerranéens a permis aux lionceaux d'acquérir plus d'expérience et aux responsables de mettre le doigt sur les lacunes et de prévoir les solutions adéquates.
