Connexion
Réunissant des chercheurs, universitaires marocains et européens, des dirigeants d'entreprises, des journalistes et des membres de la société civile, cette table ronde a examiné les moyens et les mécanismes à même d'amorcer une véritable stratégie de développement local.
Mettant en exergue l'importance des programmes MEDA dont bénéficie le Maroc, les participants ont souligné que l'accord de Barcelone de 1995 n'a pas pu réaliser ses principaux objectifs notamment la gestion des flux migratoires.
Les intervenants ont de même insisté sur l'introduction de la dimension recherche et développement au sein de l'entreprise marocaine pour que celle-ci puisse assurer sa pérennité et relever le pari de l'ouverture et de la mondialisation.
Ils ont fait savoir que le secteur privé devrait s'armer de compétences technologiques et de ressources humaines qualifiées pour poursuivre son rôle d'acteur majeur dans le développement socio-économique du pays.
Ils ont souligné la nécessité de l'utilisation des nouvelles technologies de l'information pour créer et fructifier les possibilités d'échange entre les pays de la Méditerranée, et l'adoption des stratégies d'accompagnement pour amorcer un véritable partenariat et un réel développement local et régional.
Les intervenants ont estimé que la huitième rencontre augure d'un nouveau type de coopération plus bénéfique aux pays de la Méditerranée.
Il n'est pas nécessaire d'établir un cadre institutionnel sur le rôle de la petite et moyenne entreprise (PME), mais il faut désormais développer davantage l'esprit de partenariat, créer des modes de décloisonnement de l'université et lancer des “structures d'incubation” au sein des grandes écoles, ont-ils estimé.
Les participants à cette table ronde ont également traité de la formation alternée en tant qu'instrument de professionnalisation des compétences, de l'importance du management des ressources humaines pour l'épanouissement économique et pour la cohésion sociale de l'entreprise et de la question des financements publics, privés et européens pour le développement local.
Mettant en exergue l'importance des programmes MEDA dont bénéficie le Maroc, les participants ont souligné que l'accord de Barcelone de 1995 n'a pas pu réaliser ses principaux objectifs notamment la gestion des flux migratoires.
Les intervenants ont de même insisté sur l'introduction de la dimension recherche et développement au sein de l'entreprise marocaine pour que celle-ci puisse assurer sa pérennité et relever le pari de l'ouverture et de la mondialisation.
Ils ont fait savoir que le secteur privé devrait s'armer de compétences technologiques et de ressources humaines qualifiées pour poursuivre son rôle d'acteur majeur dans le développement socio-économique du pays.
Ils ont souligné la nécessité de l'utilisation des nouvelles technologies de l'information pour créer et fructifier les possibilités d'échange entre les pays de la Méditerranée, et l'adoption des stratégies d'accompagnement pour amorcer un véritable partenariat et un réel développement local et régional.
Les intervenants ont estimé que la huitième rencontre augure d'un nouveau type de coopération plus bénéfique aux pays de la Méditerranée.
Il n'est pas nécessaire d'établir un cadre institutionnel sur le rôle de la petite et moyenne entreprise (PME), mais il faut désormais développer davantage l'esprit de partenariat, créer des modes de décloisonnement de l'université et lancer des “structures d'incubation” au sein des grandes écoles, ont-ils estimé.
Les participants à cette table ronde ont également traité de la formation alternée en tant qu'instrument de professionnalisation des compétences, de l'importance du management des ressources humaines pour l'épanouissement économique et pour la cohésion sociale de l'entreprise et de la question des financements publics, privés et européens pour le développement local.
