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Le conférencier a affirmé dans son intervention que les liens entre l'expérience soufie et le vécu spirituel de la Oumma sont une constante historique et souligne que les racines du soufisme au Maroc remontent au IVème siècle de l'hégire avec cheikh Ibn Massarra Al-Jabali.
Le conférencier a abordé l'étape concomitante avec la dynastie Almoravide, il y a près de mille ans, à travers la traduction de livres du soufisme, faisant référence à Youssef Ben Tachfine, en tant que grand dirigeant Almoravide ayant occupé une place médiane entre le prince et le saint, ce qui a amené ses successeurs à le vénérer et à lui vouer une grande déférence comme aucun prince ne l'a jamais été.
L'intervenant a traité en troisième lieu des circonstances ayant présidé à l'émergence des Almohades et l'inspiration qu'a trouvée leur Imam Mohamed Ben Toumert dans les écrits du maître du soufisme Abou Hamid Al Ghazali, pour contester l'autorité établie.
Le conférencier a évoqué comme quatrième axe la situation du soufisme sous la dynastie mérinide, qui a assis son pouvoir au 7ème siècle de l'Hégire, à une époque de grands bouleversements, marquée par la floraison du soufisme et l'apparition de grands maîtres, qui ont laissé une œuvre prolifique tels Mohieddine Ibn Arabi, Cheikh Abdelhaq Ben Sabiine, El Fassi Ibn Abbad Ar-rondi, outre l'émergence de zaouiya et tariqas, qui ont fleuri partout dans le pays.
Par ailleurs, M. Kansoussi a consacré un chapitre à la dynastie saâdienne qui ne s'est intéressée au pouvoir et pris les destinées du pays qu'après avis des maîtres et cheikhs soufis de cette lignée, et en leur nom.
Lors de cette soirée organisée, par le centre Tarik Ibn Ziyad pour les recherches, le public a également suivi une troupe de “dakirine” qui a déclamé des morceaux de l'art du samae et des panégyriques du Prophète, conduite par Mohamed Thami Harraq.
Le conférencier a abordé l'étape concomitante avec la dynastie Almoravide, il y a près de mille ans, à travers la traduction de livres du soufisme, faisant référence à Youssef Ben Tachfine, en tant que grand dirigeant Almoravide ayant occupé une place médiane entre le prince et le saint, ce qui a amené ses successeurs à le vénérer et à lui vouer une grande déférence comme aucun prince ne l'a jamais été.
L'intervenant a traité en troisième lieu des circonstances ayant présidé à l'émergence des Almohades et l'inspiration qu'a trouvée leur Imam Mohamed Ben Toumert dans les écrits du maître du soufisme Abou Hamid Al Ghazali, pour contester l'autorité établie.
Le conférencier a évoqué comme quatrième axe la situation du soufisme sous la dynastie mérinide, qui a assis son pouvoir au 7ème siècle de l'Hégire, à une époque de grands bouleversements, marquée par la floraison du soufisme et l'apparition de grands maîtres, qui ont laissé une œuvre prolifique tels Mohieddine Ibn Arabi, Cheikh Abdelhaq Ben Sabiine, El Fassi Ibn Abbad Ar-rondi, outre l'émergence de zaouiya et tariqas, qui ont fleuri partout dans le pays.
Par ailleurs, M. Kansoussi a consacré un chapitre à la dynastie saâdienne qui ne s'est intéressée au pouvoir et pris les destinées du pays qu'après avis des maîtres et cheikhs soufis de cette lignée, et en leur nom.
Lors de cette soirée organisée, par le centre Tarik Ibn Ziyad pour les recherches, le public a également suivi une troupe de “dakirine” qui a déclamé des morceaux de l'art du samae et des panégyriques du Prophète, conduite par Mohamed Thami Harraq.
