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On aurait bien souhaité mettre cela sur le compte de cette première journée ramanadesque mais vu le niveau de notre championnat depuis son coup d'envoi, on se dit que finalement, on a pris l'habitude d'une telle situation. Les stadistes avaient fait courir le bruit d'un probable forfait, encore une fois, faute de moyens, mais à l'heure de l'appel au vestiaire des arbitres, ils étaient tous là. Sur le visage des joueurs se lisait une certaine appréhension et surtout cette impression d'être livrés à eux-mêmes. Un souci qui ne prête guère à l'optimisme et cela s'est traduit sur le terrain. Car les stadistes ont été incapables de profiter de leur surnombre après l'expulsion de Baha et ce depuis la 27ème minute.
Les Bidaouis, eux, ont donné le ton dès l'entame de la partie par l'entremise de Sadri qui fit frémir le gardien Doukkali après un puissant tir qui rasa le poteau. Avec un 3-5-2, les Tihadis semblaient bien partis pour un festival offensif mais qui mis bien du temps à se dessiner. En face l'arrière garde stadiste tenait bon avec un Guerrouh impérial sur les balles aériennes et surtout un Bouhssouss, toujours prêt pour la relance mais qui ne trouva qu'une attaque bien fébrile pour la concrétisation. Les Tihadis ont dû patienter une vingtaine de minutes avant d'ouvrir la marque par Zaouit qui reprit victorieusement de la tête un centre bien travaillé de Baha. Ce dernier sera expulsé quelques minutes plus tard après une agression gratuite sur un adversaire. Les stadistes vont tenter de prendre d'assaut la surface adverse mais sans trop de conviction. Seule une action de Zerrouk inquiétera le gardien Sarouf qui dévie le lob. Le reste de cette première manche se déroula dans une indifférence totale, tant le jeu se stabilisa en milieu de terrain.
Curieusement, la seconde période n'apporta aucun changement au rythme du jeu. Le stade marocain avec ses deux attaquants Benmbarek et Zerrouk, soutenu par Bouhssouss, avait beaucoup de mal à percer une défense bidaoui où Mouaddab et Rok faisait le ménage. Pour les Tihadis, la mission des attaquants étaient de plus en plus difficile, malgré la rentrée de Jardane qui n'a plus son rendement habituel.
Visiblement, l'expulsion de Baha a quelque peu perturbé le compartiment offensif. A dix minutes du coup de sifflet final, le stade bénéficie d'un coup franc indirect dans la surface de réparation, lequel est botté par Bouhassouss mais le ballon est dévié de la main par Sadri; L'arbitre désigne le point de penalty. Les R'batis égalisent par le même Bouhssouss et ont même failli aggraver le score deux minutes plus tard par Boufardous qui rata lamentablement face au gardien Sarouf.
Les Bidaouis, eux, ont donné le ton dès l'entame de la partie par l'entremise de Sadri qui fit frémir le gardien Doukkali après un puissant tir qui rasa le poteau. Avec un 3-5-2, les Tihadis semblaient bien partis pour un festival offensif mais qui mis bien du temps à se dessiner. En face l'arrière garde stadiste tenait bon avec un Guerrouh impérial sur les balles aériennes et surtout un Bouhssouss, toujours prêt pour la relance mais qui ne trouva qu'une attaque bien fébrile pour la concrétisation. Les Tihadis ont dû patienter une vingtaine de minutes avant d'ouvrir la marque par Zaouit qui reprit victorieusement de la tête un centre bien travaillé de Baha. Ce dernier sera expulsé quelques minutes plus tard après une agression gratuite sur un adversaire. Les stadistes vont tenter de prendre d'assaut la surface adverse mais sans trop de conviction. Seule une action de Zerrouk inquiétera le gardien Sarouf qui dévie le lob. Le reste de cette première manche se déroula dans une indifférence totale, tant le jeu se stabilisa en milieu de terrain.
Curieusement, la seconde période n'apporta aucun changement au rythme du jeu. Le stade marocain avec ses deux attaquants Benmbarek et Zerrouk, soutenu par Bouhssouss, avait beaucoup de mal à percer une défense bidaoui où Mouaddab et Rok faisait le ménage. Pour les Tihadis, la mission des attaquants étaient de plus en plus difficile, malgré la rentrée de Jardane qui n'a plus son rendement habituel.
Visiblement, l'expulsion de Baha a quelque peu perturbé le compartiment offensif. A dix minutes du coup de sifflet final, le stade bénéficie d'un coup franc indirect dans la surface de réparation, lequel est botté par Bouhassouss mais le ballon est dévié de la main par Sadri; L'arbitre désigne le point de penalty. Les R'batis égalisent par le même Bouhssouss et ont même failli aggraver le score deux minutes plus tard par Boufardous qui rata lamentablement face au gardien Sarouf.
