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Il est très difficile de lutter contre la concurrence de l'image aujourd'hui pour introduire la lecture dans le programme d'un enfant, conquis d'avance par la télévision et les jeux vidéo. Pourtant, il ne faut pas baisser les bras et fournir tous les efforts afin d'initier nos bambins à l'amour des livres.
Pour ce, toutes les occasions et bonnes intentions sont à saluer. Ainsi, et dans le but d'encourager la lecture chez les jeunes élèves marocains, et promouvoir la littérature marocaine et le patrimoine local, l'Institut français de Casablanca a organisé cette année, le Prix du Jeune Lecteur 2002.
Quelque 400 élèves de CE5 et de CE6 de 11 écoles marocains et une école française de Casablanca, Benslimane et Khouribga ont eu à choisir un ouvrage de littérature jeunesse marocaine 2002 parmi une liste de 6 titres (Éditions Yomad : Zaina et le fils du vent, Pommes de grossesse, Lounja Lghzala, La révolte du 30 février ; édition La croisée des chemins: Le mariage de Tata Keltoum ; édition Nouiga Images : Casse-mômes ».
L'écrit participe activement à la structuration de l'esprit de l'enfant. Il le fait travailler tout en lui donnant la sensation de se détendre .
Dans l'écrit, l'esprit humain s'investit réellement : parce que le texte a été choisi volontairement et parce qu'il doit être décodé pour être compris.
Il fait aussi travailler l'imagination.
Donner des qualités
Si un enfant ne veut pas lire, il faut l'aider progressivement. Commencer par lire avec lui un texte simple, puis un peu plus long. Lui offrir un livre en lui demandant de raconter l'histoire… Il faut savoir que faire lire les enfants, c'est leur donner des qualités d'expression, enrichir leur vocabulaire, et leur permettre de découvrir des styles littéraires et d'enrichir le leur. Il est très important de choisir des histoires qui répondent aux aspirations profondes de l'enfant. Il désire connaître le monde et découvrir le sens de son existence. N'hésitons donc pas à jeter notre dévolu sur des histoires belles, riches de signification et qui apportent une réponse à leurs interrogations. C'est très important. Des livres insignifiants ou «noirs» peuvent les dégoûter de la lecture. L'enfant doit pouvoir trouver des réponses aux questions qui l'habitent. Il devrait aborder l'apprentissage de la lecture habité d'un désir pressant : «Enfin, je vais pouvoir étancher tout seul ma soif de connaissance et ma quête de sens !». Il faut savoir ne pas le décevoir en lui proposant des ouvrages de qualité.
Une action comme ce prix de littérature jeunesse, destinée à encourager la lecture chez les jeunes élèves n'est pas sans intérêt. Il pourrait servir d'exemple.
Pour ce, toutes les occasions et bonnes intentions sont à saluer. Ainsi, et dans le but d'encourager la lecture chez les jeunes élèves marocains, et promouvoir la littérature marocaine et le patrimoine local, l'Institut français de Casablanca a organisé cette année, le Prix du Jeune Lecteur 2002.
Quelque 400 élèves de CE5 et de CE6 de 11 écoles marocains et une école française de Casablanca, Benslimane et Khouribga ont eu à choisir un ouvrage de littérature jeunesse marocaine 2002 parmi une liste de 6 titres (Éditions Yomad : Zaina et le fils du vent, Pommes de grossesse, Lounja Lghzala, La révolte du 30 février ; édition La croisée des chemins: Le mariage de Tata Keltoum ; édition Nouiga Images : Casse-mômes ».
L'écrit participe activement à la structuration de l'esprit de l'enfant. Il le fait travailler tout en lui donnant la sensation de se détendre .
Dans l'écrit, l'esprit humain s'investit réellement : parce que le texte a été choisi volontairement et parce qu'il doit être décodé pour être compris.
Il fait aussi travailler l'imagination.
Donner des qualités
Si un enfant ne veut pas lire, il faut l'aider progressivement. Commencer par lire avec lui un texte simple, puis un peu plus long. Lui offrir un livre en lui demandant de raconter l'histoire… Il faut savoir que faire lire les enfants, c'est leur donner des qualités d'expression, enrichir leur vocabulaire, et leur permettre de découvrir des styles littéraires et d'enrichir le leur. Il est très important de choisir des histoires qui répondent aux aspirations profondes de l'enfant. Il désire connaître le monde et découvrir le sens de son existence. N'hésitons donc pas à jeter notre dévolu sur des histoires belles, riches de signification et qui apportent une réponse à leurs interrogations. C'est très important. Des livres insignifiants ou «noirs» peuvent les dégoûter de la lecture. L'enfant doit pouvoir trouver des réponses aux questions qui l'habitent. Il devrait aborder l'apprentissage de la lecture habité d'un désir pressant : «Enfin, je vais pouvoir étancher tout seul ma soif de connaissance et ma quête de sens !». Il faut savoir ne pas le décevoir en lui proposant des ouvrages de qualité.
Une action comme ce prix de littérature jeunesse, destinée à encourager la lecture chez les jeunes élèves n'est pas sans intérêt. Il pourrait servir d'exemple.
