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Initiées par «Beyt Chiir» (maison de la poésie), en collaboration avec la communauté urbaine du Grand-Fès, la délégation du ministère de la Culture et de la Communication et l'Université Sidi Mohammed Ben Abdellah, ces soirées ont été marquées par des lectures poétiques.
Intervenant en ouverture de la rencontre, M. Abderrahim Filali Baba, président de la communauté urbaine, a exprimé sa satisfaction pour l'organisation de ces soirées, qui font revivre le patrimoine culturel et historique de Fès, précisant à cet égard que la cité était dans le passé le terroir et le lieu de rencontre de grands poètes. Ainsi, a-t-il ajouté, cette manifestation qui tente de renouer avec un glorieux passé est une expérience originelle.
«A l'heure de la mondialisation en cours, la culture doit préserver son authenticité, son originalité et ses composantes plurielles», a dit M. Filali Baba, estimant que la poésie doit pour ce faire être revisitée et revivifiée pour sauvegarder le temps dans lequel elle évolue, l'espace ou elle vit et l'inconnu auquel elle s'adresse.
M. Mohamed Bennis, président de «Beyt Chiir», a pour sa part,indiqué, que cette initiative est le prolongement d'un passé culturel vers un avenir poétique et créatif, soulignant que l'organisation de ces soirées vise à redonner à la ville sa gloire poétique et à rendre hommage à sa mémoire d'antan.
M. Bennis a également émis le souhait de voir ce genre culturel intégrer les autres formes artistiques, notamment le théâtre et la photograhie, et a appelé à leur généralisation dans les autres villes marocaines.
Il est à noter que Dar Adyel abrite à cette occasion une exposition photographique de l'artiste Souad Guenoun intitulée:
«L'image du poète marocain», parallèlement à une autre exposition de l'artiste-peintre Khadija Tnana à la nouvelle galerie de la communauté urbaine sous le thème : «Le cimetière marin», en rapport avec les naufrages des candidats à l'émigration clandestine.
Intervenant en ouverture de la rencontre, M. Abderrahim Filali Baba, président de la communauté urbaine, a exprimé sa satisfaction pour l'organisation de ces soirées, qui font revivre le patrimoine culturel et historique de Fès, précisant à cet égard que la cité était dans le passé le terroir et le lieu de rencontre de grands poètes. Ainsi, a-t-il ajouté, cette manifestation qui tente de renouer avec un glorieux passé est une expérience originelle.
«A l'heure de la mondialisation en cours, la culture doit préserver son authenticité, son originalité et ses composantes plurielles», a dit M. Filali Baba, estimant que la poésie doit pour ce faire être revisitée et revivifiée pour sauvegarder le temps dans lequel elle évolue, l'espace ou elle vit et l'inconnu auquel elle s'adresse.
M. Mohamed Bennis, président de «Beyt Chiir», a pour sa part,indiqué, que cette initiative est le prolongement d'un passé culturel vers un avenir poétique et créatif, soulignant que l'organisation de ces soirées vise à redonner à la ville sa gloire poétique et à rendre hommage à sa mémoire d'antan.
M. Bennis a également émis le souhait de voir ce genre culturel intégrer les autres formes artistiques, notamment le théâtre et la photograhie, et a appelé à leur généralisation dans les autres villes marocaines.
Il est à noter que Dar Adyel abrite à cette occasion une exposition photographique de l'artiste Souad Guenoun intitulée:
«L'image du poète marocain», parallèlement à une autre exposition de l'artiste-peintre Khadija Tnana à la nouvelle galerie de la communauté urbaine sous le thème : «Le cimetière marin», en rapport avec les naufrages des candidats à l'émigration clandestine.
