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Décidément, à deux jours de la clôture de la liste des candidats à la présidence de la CGEM, un seul nom est officiel, celui de Moulay Hafid Alalamy, président du groupe Saham. Face à celui qui a annoncé publiquement sa candidature, d'autres, pressentis pour le poste, se sont retirés. C'est le cas de Bouchaïb Benhamida, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics, qui vient d'adresser hier un courrier à toutes les personnes qui lui ont demandé de se présenter aux élections de la Confédération.
En voici un extrait : «Après une réflexion mûre et responsable, et pour des raisons strictement personnelles, je ne peux répondre à cette sollicitation et j'ai donc décidé de ne pas présenter ma candidature au scrutin du 30 juin prochain. Fidèle à mon engagement associatif depuis 1979, je continuerai à militer, comme par le passé, pour le renforcement de la CGEM et pour les objectifs et les valeurs qui ont guidé son action (…)».
Le contenu de la lettre ne restitue pas les raisons réelles du recul du président de la FNBTP. Ce qui est sûr, c'est que l'engouement de jadis et la mise en compétition de plusieurs candidats ne sont plus d'actualité. Ceci dénote-t-il des différents malaises sociaux recensés l'année dernière ?
Et du côté de Moulay Hafid Elalamy ? Sa mise en avant est-elle spontanée ou vient-elle seulement répondre au vide constaté dans cette pauvre liste électorale de la CGEM ?
Décidément, le système patronal marocain est particulier.
En voici un extrait : «Après une réflexion mûre et responsable, et pour des raisons strictement personnelles, je ne peux répondre à cette sollicitation et j'ai donc décidé de ne pas présenter ma candidature au scrutin du 30 juin prochain. Fidèle à mon engagement associatif depuis 1979, je continuerai à militer, comme par le passé, pour le renforcement de la CGEM et pour les objectifs et les valeurs qui ont guidé son action (…)».
Le contenu de la lettre ne restitue pas les raisons réelles du recul du président de la FNBTP. Ce qui est sûr, c'est que l'engouement de jadis et la mise en compétition de plusieurs candidats ne sont plus d'actualité. Ceci dénote-t-il des différents malaises sociaux recensés l'année dernière ?
Et du côté de Moulay Hafid Elalamy ? Sa mise en avant est-elle spontanée ou vient-elle seulement répondre au vide constaté dans cette pauvre liste électorale de la CGEM ?
Décidément, le système patronal marocain est particulier.
