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Éric, Catherine et les autres ...

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L’interpellation d’Éric Laurent et Catherine Graciet jeudi dernier à Paris pour chantage et tentative d’extorsion de fonds du Maroc est un fait-divers révélateur à plus d’un égard.
D’abord, cela a le mérite de mettre à nu toute la trame d’escrocs qui ont fait du Maroc un fonds de commerce depuis l’avènement du nouveau règne.

Ces escrocs qui ont agi et navigué dans la même sphère, mais sous différentes formes tantôt sous l’étiquette d’un prétendu journalisme d’investigation, tantôt sous l’enseigne des droits de l’Homme, ont surfé sur la vague des campagnes antimarocaines menées par les adversaires du Royaume. Ces derniers, ayant remarqué la rapidité du rythme d’évolution du Maroc vers un État moderne, démocratique et émergent, avaient décidé d’entraver cet élan en recourant à des mercenaires de la plume dont la mission était, essentiellement, de jeter le discrédit sur cette transition marocaine. C’est ainsi que nous avons assisté à la publication de plusieurs livres calomnieux, d’articles diffamatoires, de pseudo enquêtes, de fausses informations, etc.

Les plumes à la solde ne manquaient pas. Elles étaient disponibles en France, en Espagne, en Algérie, au Maroc et ailleurs. L’argent coulait à flots et il suffisait à un mercenaire de compiler des articles calomnieux parus ici et là pour aller se faire payer auprès des commanditaires de l’antimarocanisme avec des centaines de milliers, voire des millions d’euros.

Toutefois, il est clair, aujourd’hui, que, suite à l’essoufflement des adversaires du Maroc et qui étaient les principaux bailleurs de fonds des mercenaires du genre d’Éric Laurent et tous les autres, ces derniers se sont retrouvés face à l’arrêt d’une situation de rente à laquelle ils s’étaient habitués. Il fallait donc qu’ils sortent avec un nouveau modus operandi pour continuer à mener le train de vie que leur garantissaient leurs bailleurs de fonds.

Éric Laurent et Catherine Graciet, n’ayant pas pu obtenir de fonds de l’autre partie, essoufflée et ayant compris que le Royaume du Maroc est trop solide pour être déstabilisé par un pamphlet, quel qu’il soit, se sont tournés vers le Maroc croyant pouvoir le faire chanter. Ils se sont trompés. Ils ont commis l’erreur fatale. Le Royaume du Maroc n’est pas une république bananière. Le Royaume est un pays d’institutions qui ont une légitimité constitutionnelle, traditionnelle, religieuse, et par-dessus tout populaire.

Aussi, la fin caricaturale des deux journalistes français à laquelle on vient d’assister est en fait la fin de toute une trame et pas seulement de ces deux maîtres chanteurs aujourd’hui sous les verrous…

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