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Après ses expositions à Washington, en France à la salle du Patrimoine à Longué-Jumelles et au Vieux Logis, à Barcelone où elle s’est vue attribuer un Prix de reconnaissance, Najat El Baz s’envole pour New York où elle présente actuellement ses œuvres au Siège de l’ONU. Un parcours brillant pour cette année où elle a été sollicitée par plusieurs espaces prestigieux, aussi bien au Maroc qu’à l’étranger.
Et pour cause, son talent perceptible à travers ses travaux, dans lesquels le Maroc est mis en exergue, avec ses paysages, ses maisons traditionnelles, ses souks de la médina, sans oublier la femme marocaine qui prend une place importante dans les créativités de Najat El Baz.
Une vraie ambassadrice du patrimoine ancestral marocain. Ce qui lui a valu d’être récompensée par l’Association union des frères du monde, et ce à la troisième édition du Festival culturel marocain à Barcelone où l’Arabie saoudite était l’invité d’honneur.
«J’ai été très touchée par cette récompense. Je saisis cette occasion pour remercier son président, le professeur Noureddine Tzouni, pour cet hommage à Barcelone aux côtés de mes collègues qui l’ont aussi mérité pour leur dévouement et la qualité de leurs travaux. C’est une reconnaissance très importante dans ma carrière artistique. Elle ne peut que m’encourager pour aller de l’avant dans la quête d’autres horizons plastiques», souligne l’artiste El Baz.
Cette jeune artiste, talentueuse et très passionnée par son art, n’arrête jamais de travailler, afin d’atteindre à son rêve : accéder à une renommée internationale.
Beaucoup de critiques lui prédisent un bel avenir dans ce qu’elle entreprend, car ils notent chez elle une grande passion et un langage plastique très sincère qui touche les plus fins connaisseurs. Dans ce discours pictural émotionnel, Najat a opté pour des thématiques qui abordent le patrimoine et la tradition., en plus des beaux paysages de toutes les régions du Maroc.
Un patrimoine et des paysages qui ne sont pas étrangers à cette jeune artiste, puisqu’elle a vécu dans la ville de Meknès et s'est abreuvée de toute l’essence de cette cité impériale. «Je suis attirée par tout ce qui est patrimonial et traditionnel dans notre pays. Ma fierté est de faire connaître toutes ces splendeurs aussi bien aux Marocains qu’aux autres nationalités», renchérit Najat
El Baz, très fière de sa culture et de sa civilisation, qu’elle ne manque pas d’exhiber dans ses toiles, à travers sa riche palette, y faisant passer ses sentiments et ses sensations les plus nobles. Les Prix et reconnaissances qu’elle a eus ne sont que le fruit d’un parcours de plus en plus prometteur.
