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Cette participation s'inscrit dans le cadre de l'opérationnalisation des recommandations de la COP 21, notamment l'article 12 de l'Accord de Paris, qui a appelé les États membres à prendre les mesures nécessaires afin de développer l'éducation et la formation dans les domaines liés aux changements climatiques et à la sensibilisation à l'importance de la contribution du public et de faciliter l'accès à l'information dans ce domaine. La participation du département de la Formation professionnelle a ainsi été marquée par l'organisation de conférences et d’atelier-débats en partenariat avec différents acteurs dans le domaine de la formation professionnelle, au niveau national et international, dont la Confédération générale des entreprises du Maroc, la conférence des présidents des universités, l'Union européenne, l'Agence allemande de coopération internationale, l'Agence française de développement, l'Agence suisse de coopération et les professionnels dans les domaines liés à la production d'énergie propre et le développement durable.
À cette occasion, les axes de la Stratégie nationale de la formation professionnelle 2021 ont été présentés. Cette stratégie, qui prévoit la formation pour tous, partout et tout au long de la vie, est en cohérence avec les orientations et piliers de la Vision stratégique 2015-2030 de la réforme du système d'éducation et de formation. Les activités du département de la Formation professionnelle dans les deux Zones bleue et verte de la COP 22 ont retenu l'attention des participants. Le nombre de visiteurs des trois stands mis en place par ce département a dépassé les 77.000 visiteurs, dont des ministres et de hauts responsables marocains et étrangers. Les débats ont été axés sur la présentation des programmes de formation professionnelle, en particulier ceux liés aux énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, l'information des visiteurs et les participants de différents pays sur les efforts déployés dans le domaine de la formation professionnelle et la valorisation du capital humain comme levier clé du développement durable, ainsi que la mise en valeur de l'expérience marocaine réussie dans le domaine du partenariat public-privé qui consiste à déléguer la gestion des instituts de formation aux professionnels.
