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Industrie automobile : ouverture de l’École supérieure de technologie pour 2017-2018

L’Université Ibn Tofaïl de Kénitra a procédé à la signature d’une convention-cadre de coopération avec l’École des mines d’Alès (France), ainsi que d’un avenant spécifique avec l’École nationale des sciences appliquées (ENSAK).

Industrie automobile : ouverture de l’École supérieure de technologie pour 2017-2018
Les conventions ont été paraphées par Azzeddine El Midaoui, président de l’Université Ibn Tofaïl, et Bruno Gourbet, directeur de l’École des mines d’Alès.

La dynamique d'excellence et d'ouverture de l’Université Ibn Tofaïl de Kénitra s’est consolidée par la signature d’une convention-cadre de coopération avec l’École des mines d’Alès (France), ainsi que d’un avenant spécifique avec l’École nationale des sciences appliquées de Kénitra.
Ces deux accords visent à répondre aux attentes des étudiants et aux besoins du marché de l’emploi dans un monde globalisé où l’excellence est le maître mot.

Le président de l’Université Ibn Tofaïl, Azzeddine El Midaoui, a tiré une conclusion très positive de cette nouvelle coopération. Il a précisé, à cet effet, que les conventions signées avec l’École des mines d’Alès englobent plusieurs domaines dont la double diplomation en faveur des étudiants de l’ENSAK, la mise en place d’une nouvelle filière de la mécatronique et l’accompagnement de l’Université pour le lancement, à partir de l’année prochaine, de l’École supérieure de technologie, plus particulièrement dans le secteur de l’industrie automobile. «Ce sont des formations qui vont ouvrir de nouvelles perspectives aux étudiants, notamment avec l’implantation de grandes multinationales au niveau d’Atlantic Free Zone de Kénitra», a-t-il conclu.

Dans une déclaration à la presse, Bruno Gourbet, directeur de l’École des mines d’Alès, a indiqué que la signature de la convention-cadre de coopération avec l’Université Ibn Tofaïl concernera à la fois des échanges d’étudiants, la formation continue et la préparation des cadres pour intégrer le monde du travail, notamment au niveau de la nouvelle plateforme industrielle de Kénitra.

«En plus des échanges d’étudiants, le second accord avec l’ENSAK permettra la mise en place du système de double diplomation qui constitue un avantage pour l’insertion professionnelle des étudiants», a-t-il souligné. Il a, de même, émis le souhait que la coopération avec l’Université de Kénitra et l’ENSAK puisse se développer davantage pour englober d’autres secteurs tels que les télécoms, un domaine de recherche très développé au sein de cette grande école française. Bruno Gourbet n’a pas manqué de rappeler que l’École des mines d’Alès travaille depuis plusieurs années avec l’École Hassania des travaux publics de Casablanca dans le cadre d’un programme bi-diplomant.

Selon le directeur de l’ENSAK, Nabil Hmina, cette convention s’inscrit dans le cadre d’une stratégie de consolidation de la coopération internationale avec plusieurs institutions étrangères, notamment françaises.
«À la lumière de cette convention avec l’École des mines d’Alès, le programme du double diplôme concernera les domaines du génie informatique et les réseaux et systèmes de télécommunication. Ce sont des formations extrêmement importantes pour préparer nos étudiants à leur future vie active dans une région en pleine expansion économique et industrielle», a-t-il conclu.

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