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La FAO et la Banque mondiale signent un accord de coopération

La FAO et la Banque mondiale ont signé un accord-cadre pour faciliter leur coopération grâce à de nouveaux outils dont l'objectif est de transmettre l'expertise technique de la FAO aux gouvernements dans le cadre des projets financés par la Banque mondiale.

La FAO et la Banque mondiale signent un accord de coopération
Daniel Gustafson (à droite) et Hartwig Schafer le 10 mai 2017 à Rome. Ph. FAO

Daniel Gustafson, directeur général adjoint de l'agence des Nations unies pour l’alimentation et l'agriculture (FAO), et Hartwig Schafer, vice-président de la Banque mondiale (BM), ont signé, le 10 mai à Rome, un accord-cadre de lutte contre la faim à la pauvreté à l'échelle mondiale.

Sur le portail électronique de la FAO, il est souligné que les deux organisations travailleront en étroite collaboration afin d'aider les pays membres à réaliser les Objectifs de développement durable (ODD), à améliorer les moyens d'existence ruraux, l'efficacité de la production agricole et à assurer une gestion durable des ressources naturelles à travers le monde. Cet accord vise à faciliter la coopération entre les deux entités, grâce notamment à de nouveaux outils dont l'objectif est de transmettre l'expertise technique de la FAO aux gouvernements dans le cadre des projets financés par la BM. «Face au défi de la réalisation des ODD, la pression qui pèse sur nous pour mieux collaborer et mieux aider les pays à accomplir leurs objectifs est de plus en plus importante.

Les outils adoptés aujourd'hui par la FAO et la Banque mondiale ouvrent la voie à de nouvelles opportunités et de nouveaux moyens de travailler ensemble», a indiqué Gustafson. Pour Hartwig Schafer, cet accord représente une étape importante en vue de renforcer notre engagement mutuel visant à fluidifier l'aide aux projets et à la rendre plus efficace pour chaque pays. «Nous ne travaillons pas seulement à uniformiser nos procédés, nous souhaitons également tirer avantage de l'expertise de nos organisations en vue de réduire les lacunes au niveau des capacités qui existent dans certains pays», a déclaré Schafer. 

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