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"Je suis persuadé que nous allons nous qualifier pour les quarts de finale (...) On a juste fait un mauvais match contre la Croatie (défaite 2-1, ndlr)", a plaidé le milieu de terrain du Werder Brême.
La défaite contre la Croatie a-t-elle laissé des traces au niveau du moral du groupe?
"L'ambiance est bien sûr plus tendue en raison de la situation dans laquelle nous nous sommes mis avec notre mauvais match contre la Croatie, mais c'est une tension positive. Nous sommes toujours persuadés d'avoir une bonne équipe qui peut remporter le match contre l'Autriche. Si tout le monde fait son boulot, on sait qu'on n'a pas à craindre beaucoup d'équipes. Contre la Croatie, on a juste fait un mauvais match. Beaucoup de choses n'ont pas fonctionné, on en a parlé entre nous. Le sélectionneur a aussi beaucoup discuté avec chacun d'entre nous, mais maintenant, c'est du passé. On se concentre sur l'Autriche et sur nos forces. Je suis convaincu qu'on se qualifiera pour les quarts."
Est-ce que le spectre d'une élimination dès la phase de poules comme en 2000 et 2004 vous empêche de dormir?
"On ne peut pas comparer la situation avec 2004, car l'équipe actuelle est bien meilleure que celle de l'époque. En 2004, notre élimination était logique, car notre niveau n'était pas suffisant pour jouer dans un tel tournoi. Aujourd'hui, c'est différent. On a une meilleure équipe, nous l'avons montré souvent dans le passé et on va le montrer lundi. Je crois même que se retrouver sous pression va nous servir pour le reste du tournoi. Je pars du principe qu'on va éliminer le pays-hôte et encore disputer d'autres matches à fort enjeu lors de cet Euro."
Comprenez-vous les critiques qui ont visé le sélectionneur et le style de jeu mis en place après la défaite contre la Croatie?
"Je trouve cela un peu risible qu'il y ait une discussion sur le sélectionneur. Deux ans de travail positif ne peuvent pas être effacés par 90 minutes et un mauvais match. Quant au système, je ne vois pas de raisons d'en changer. Il est en place depuis quatre ans et il nous a permis de gagner souvent. Lancer une discussion après un seul mauvais match est vraiment inopportun."
La défaite contre la Croatie a-t-elle laissé des traces au niveau du moral du groupe?
"L'ambiance est bien sûr plus tendue en raison de la situation dans laquelle nous nous sommes mis avec notre mauvais match contre la Croatie, mais c'est une tension positive. Nous sommes toujours persuadés d'avoir une bonne équipe qui peut remporter le match contre l'Autriche. Si tout le monde fait son boulot, on sait qu'on n'a pas à craindre beaucoup d'équipes. Contre la Croatie, on a juste fait un mauvais match. Beaucoup de choses n'ont pas fonctionné, on en a parlé entre nous. Le sélectionneur a aussi beaucoup discuté avec chacun d'entre nous, mais maintenant, c'est du passé. On se concentre sur l'Autriche et sur nos forces. Je suis convaincu qu'on se qualifiera pour les quarts."
Est-ce que le spectre d'une élimination dès la phase de poules comme en 2000 et 2004 vous empêche de dormir?
"On ne peut pas comparer la situation avec 2004, car l'équipe actuelle est bien meilleure que celle de l'époque. En 2004, notre élimination était logique, car notre niveau n'était pas suffisant pour jouer dans un tel tournoi. Aujourd'hui, c'est différent. On a une meilleure équipe, nous l'avons montré souvent dans le passé et on va le montrer lundi. Je crois même que se retrouver sous pression va nous servir pour le reste du tournoi. Je pars du principe qu'on va éliminer le pays-hôte et encore disputer d'autres matches à fort enjeu lors de cet Euro."
Comprenez-vous les critiques qui ont visé le sélectionneur et le style de jeu mis en place après la défaite contre la Croatie?
"Je trouve cela un peu risible qu'il y ait une discussion sur le sélectionneur. Deux ans de travail positif ne peuvent pas être effacés par 90 minutes et un mauvais match. Quant au système, je ne vois pas de raisons d'en changer. Il est en place depuis quatre ans et il nous a permis de gagner souvent. Lancer une discussion après un seul mauvais match est vraiment inopportun."
