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Ce projet, qui s'inscrit dans le cadre de la coopération entre les deux pays pour le renforcement des capacités de la société civile, prévoit la participation de plus de 200 jeunes à travers cinq villes du Royaume.
Il est réalisé en collaboration avec les associations ''Chouala pour l'éducation et la culture'' de Casablanca, le Réseau des associations de développement (RADEV) de Larache et l'association ''Wifaq'' de Marrakech. «L'atelier a débuté par des jeux d'éveil pour permettre aux différents participants d'être à l'aise. Mais le dernier jeu allait leur permettre de rentrer dans le vif du sujet. Nous avons demandé à l'un parmi eux de décrire un billet de 20 DH pour démontrer que ce que nous pensons connaître n'est pas toujours évident», explique Reda Bajoudi, chargé de projets de coopération à l'ambassade de Grande-Bretagne à Rabat. Puis d'autres questions ont suivi : qu'est-ce qu'une association ? Que pensez-vous du travail associatif ? Quels sont les obstacles rencontrés quand il s'agit de faire du volontariat? «Pendant deux heures, ce groupe, constitué de jeunes filles et garçons lycéens, chômeurs et actifs, a répondu à ces interrogations.
Au fur et à mesure que les discussions avancent, les jeunes se sont aperçus de leur manque de connaissances pratiques: outils de travail, capacités de développement de projets et recherche de bailleurs de fonds», ajoute R. Bajoudi.
Pour ce qui est des obstacles, les participants ont cité le manque d'encouragement de la part des institutions, l'absence de financement et l'inexistence d'informations sur les intervenants sociaux. Toujours selon eux, la formation et l'éducation au travail associatif représentent des faiblesses de ce secteur.
Il est réalisé en collaboration avec les associations ''Chouala pour l'éducation et la culture'' de Casablanca, le Réseau des associations de développement (RADEV) de Larache et l'association ''Wifaq'' de Marrakech. «L'atelier a débuté par des jeux d'éveil pour permettre aux différents participants d'être à l'aise. Mais le dernier jeu allait leur permettre de rentrer dans le vif du sujet. Nous avons demandé à l'un parmi eux de décrire un billet de 20 DH pour démontrer que ce que nous pensons connaître n'est pas toujours évident», explique Reda Bajoudi, chargé de projets de coopération à l'ambassade de Grande-Bretagne à Rabat. Puis d'autres questions ont suivi : qu'est-ce qu'une association ? Que pensez-vous du travail associatif ? Quels sont les obstacles rencontrés quand il s'agit de faire du volontariat? «Pendant deux heures, ce groupe, constitué de jeunes filles et garçons lycéens, chômeurs et actifs, a répondu à ces interrogations.
Au fur et à mesure que les discussions avancent, les jeunes se sont aperçus de leur manque de connaissances pratiques: outils de travail, capacités de développement de projets et recherche de bailleurs de fonds», ajoute R. Bajoudi.
Pour ce qui est des obstacles, les participants ont cité le manque d'encouragement de la part des institutions, l'absence de financement et l'inexistence d'informations sur les intervenants sociaux. Toujours selon eux, la formation et l'éducation au travail associatif représentent des faiblesses de ce secteur.
