"Nous avons reçu le rapport de la compagnie, nous allons le lire et le gouvernement décidera rapidement, d'ici la mi-janvier (...) sans tenir compte des protestations ni des pressions" des syndicats ou autres catégories professionnelles ou politiques, a assuré M. Prodi au cours de sa conférence de fin d'année.
Le Conseil d'administration d'Alitalia a donné vendredi dernier sa préférence au projet de rachat d'Air France-KLM au détriment du transporteur privé italien Air One mais le gouvernement italien, divisé entre les deux candidats, a pris jusqu'au 15 janvier pour entériner ou non la décision.
Des syndicats italiens et dirigeants politiques du nord du pays ont protesté contre la décision du Conseil d'administration d'Alitalia, détenue à 49,9% par l'Etat, craignant que le projet Air France-KLM ne porte préjudice à l'aéroport de Milan-Malpensa, le hub de la capitale économique du pays.
Le Conseil d'administration d'Alitalia a donné vendredi dernier sa préférence au projet de rachat d'Air France-KLM au détriment du transporteur privé italien Air One mais le gouvernement italien, divisé entre les deux candidats, a pris jusqu'au 15 janvier pour entériner ou non la décision.
Des syndicats italiens et dirigeants politiques du nord du pays ont protesté contre la décision du Conseil d'administration d'Alitalia, détenue à 49,9% par l'Etat, craignant que le projet Air France-KLM ne porte préjudice à l'aéroport de Milan-Malpensa, le hub de la capitale économique du pays.