Dans une allocution lue en son nom par le secrétaire général de la préfecture, Houcine Aghejdam, le wali de la région de Souss-Massa-Drâa et gouverneur de la préfecture d'Agadir Ida Ou Tanane, Rachid Filali a rappelé que la région a exporté les premières tomates biologiques en 1992 et qu'elle exporte également des fruits, du safran de Taliouine, l'huile d'Argane et les plantes médicinales et aromatiques.
Certains voient dans la culture biologique une nécessité, d'autres une alternative, a estimé M. Filali, précisant qu'un nombre grandissant de marchés et de consommateurs de part le monde s'intéressent à cette culture qui constitue une opportunité aux PME marocaines de réaliser des progrès.
Dans les traditions marocaines, les produits "beldi" (traditionnels) sont préférés à ceux conventionnels en raison de leur goût et de leur qualité sanitaire, a affirmé le Wali, appelant les entreprises à élaborer une bonne stratégie de marketing pour faire du produit Bio un produit accessible pour le consommateur.
Pour sa part, le président de l'Union régionale des entreprises marocaines de Souss-Massa-Drâa, Khair Eddine Soussi a indiqué que cette rencontre se veut une occasion pour encadrer et orienter les producteurs et exportateurs sur les modalités d'accès aux produits "Bio" aux niveaux national et international.
De son côté, Lahcen Kenni, enseignant chercheur à l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan II a souligné que les produits "Bio" est un moyen de valoriser la production locale et d'inciter à la rénovation, précisant qu'ils permettent de réduire l'utilisation des engrais de 77% et des pesticides de 60 %, protègent les ressources naturelles de la pollution et emploient un grand nombre de main d'œuvre.
Les produits "Bio" couvrent 25 mille hectares de terres agricoles au Maroc depuis 1986, répartis sur 54 produits (légumes, fruits et plantes médicinales et aromatiques). Au niveau international, le taux de croissance annuelle du secteur varie entre 10 et 20%.
Certains voient dans la culture biologique une nécessité, d'autres une alternative, a estimé M. Filali, précisant qu'un nombre grandissant de marchés et de consommateurs de part le monde s'intéressent à cette culture qui constitue une opportunité aux PME marocaines de réaliser des progrès.
Dans les traditions marocaines, les produits "beldi" (traditionnels) sont préférés à ceux conventionnels en raison de leur goût et de leur qualité sanitaire, a affirmé le Wali, appelant les entreprises à élaborer une bonne stratégie de marketing pour faire du produit Bio un produit accessible pour le consommateur.
Pour sa part, le président de l'Union régionale des entreprises marocaines de Souss-Massa-Drâa, Khair Eddine Soussi a indiqué que cette rencontre se veut une occasion pour encadrer et orienter les producteurs et exportateurs sur les modalités d'accès aux produits "Bio" aux niveaux national et international.
De son côté, Lahcen Kenni, enseignant chercheur à l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan II a souligné que les produits "Bio" est un moyen de valoriser la production locale et d'inciter à la rénovation, précisant qu'ils permettent de réduire l'utilisation des engrais de 77% et des pesticides de 60 %, protègent les ressources naturelles de la pollution et emploient un grand nombre de main d'œuvre.
Les produits "Bio" couvrent 25 mille hectares de terres agricoles au Maroc depuis 1986, répartis sur 54 produits (légumes, fruits et plantes médicinales et aromatiques). Au niveau international, le taux de croissance annuelle du secteur varie entre 10 et 20%.