Participant, jeudi, aux côtés d'experts en économie et de cadres du ministère de l'Economie et des Finances, à une journée d'étude organisée par le groupe parlementaire Al Ahd, les conseillers ont souligné les retombées positives de ces réductions tant sur l'encouragement de l'investissement que sur l'augmentation de la productivité des entreprises à même d'améliorer leur compétitivité.
La généralisation de la réduction fiscale sur toutes les sociétés est de nature à influer négativement sur le tissu entrepreneurial, ont noté les intervenants, ajoutant que le grand bénéficiaire de cette opération sont les grandes sociétés aux dépens des petites et moyennes entreprises (PME).
Ils ont souligné, dans ce sens, la nécessité de "rationaliser la réduction fiscale" en désignant les entreprises bénéficiaires dans le cadre d'une politique fiscale intégrée visant à soutenir celles qui opèrent dans les secteurs prometteurs.
Le projet de Loi de fiances 2008, rappelle-t-on, a été élaboré sur la base de trois axes complémentaires, à savoir la création des conditions d'une croissance économique forte et durable, la poursuite des réformes structurelles et sectorielles, qui visent à donner à l'économie nationale la force et la souplesse nécessaires pour renforcer sa capacité à faire face aux chocs internes et externes et le développement des secteurs sociaux pour garantir la prospérité des différentes catégories sociales.
La généralisation de la réduction fiscale sur toutes les sociétés est de nature à influer négativement sur le tissu entrepreneurial, ont noté les intervenants, ajoutant que le grand bénéficiaire de cette opération sont les grandes sociétés aux dépens des petites et moyennes entreprises (PME).
Ils ont souligné, dans ce sens, la nécessité de "rationaliser la réduction fiscale" en désignant les entreprises bénéficiaires dans le cadre d'une politique fiscale intégrée visant à soutenir celles qui opèrent dans les secteurs prometteurs.
Le projet de Loi de fiances 2008, rappelle-t-on, a été élaboré sur la base de trois axes complémentaires, à savoir la création des conditions d'une croissance économique forte et durable, la poursuite des réformes structurelles et sectorielles, qui visent à donner à l'économie nationale la force et la souplesse nécessaires pour renforcer sa capacité à faire face aux chocs internes et externes et le développement des secteurs sociaux pour garantir la prospérité des différentes catégories sociales.