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S'exprimant lors d'un point de presse à l'issue de ces travaux, M. Bouh a indiqué que la délégation des provinces du Sud s'est employée lors des rencontres qu'elle a eues et de la conférence débat organisée à cette occasion, à dévoiler la réalité du conflit du Sahara qui dure depuis plus de trente ans.
"Nous avons aussi mis en relief, a-t-il poursuivi, le développement économique et social que connaissent les provinces du Sud, car, a-t-il ajouté, on ne parle que du volet politique de la question du Sahara, alors que ces provinces bénéficient d'un développement soutenu et d'un climat de démocratie à travers la participation des élus à la gestion de la chose publique". "Nous avons également souligné que l'autonomie proposée par le Maroc est la seule solution qui permettrait de mettre fin au conflit du Sahara et signalé que le polisario n'a rien proposé et que l'Algérie est partie prenante au conflit", a-t-il dit.
M. Bouh a, en outre, indiqué que la participation de la délégation des provinces de sud aux travaux du CDH était importante par le nombre et la qualité des interventions faites lors de cette session. "Nous avons présenté trois interventions lors de la plénière en plus de celle du secrétaire général de l'ONG internationale Interfaith Interational, qui a désigné l'Algérie comme étant une partie prenante au conflit et montré que c'est sur le territoire de ce pays que des crimes ont été commis contre les populations sahraouies", a-t-il précisé dans ce sens.
Il a également cité la conférence débat organisée par la délégation dans le cadre de cette session et à laquelle ont participé des ONG de différentes sensibilités.
L'ancien dirigeant du polisario a affirmé que le Maroc se trouve aujourd'hui dans une position très confortable, puisque le Royaume est le seul à prendre l'initiative au plan international, évoquant dans ce même ordre d'idées le retrait par plusieurs pays de leur reconnaissance de la pseudo Rasd.
Il a en outre dénoncé le drame humain qu'endurent les populations des camps de Tindouf, appelant à la levée du blocus imposé à ces camps afin de permettre à ces populations de regagner la mère patrie.
Moulay Ahmed Mghizlate, membre du Conseil royal consultatif pour les Affaires sahariennes (Corcas), a pour sa part, indiqué avoir évoqué lors des travaux du CDH les trois missions fondamentales dont le Conseil a été chargé, à savoir la réconciliation, le développement et la préparation du plan d'autonomie, soulignant que le plan d'autonomie avait été élaboré avec la contribution des instances représentatives des régions, des notables. Il a, à cet égard, rappelé la vaste campagne de consultations menée à cet effet par le Corcas en avril 2006 auprès des citoyens sahraouis favorisant, ainsi une réflexion collective, qui est, a-t-il dit, à la base de toute démocratie de proximité.
"Nous avons aussi mis en relief l'effort de développement que connaissent les provinces du Sud où l'on assiste depuis leur récupération à des mutations radicales dans tous les domaines et à tous les niveaux, précisant que la ville de Laayoune a été déclarée ville sans bidonvilles".
Outre Moulay Ahmed Mghizlate et Mostafa Bouh, la délégation des provinces du sud à la neuvième session du CDH, était composée de Sidati El Ghallaoui, ex-représentant du polisario en Italie et Mme Saadani Maoulainine, ex-déporté du polisario à Cuba.
"Nous avons aussi mis en relief, a-t-il poursuivi, le développement économique et social que connaissent les provinces du Sud, car, a-t-il ajouté, on ne parle que du volet politique de la question du Sahara, alors que ces provinces bénéficient d'un développement soutenu et d'un climat de démocratie à travers la participation des élus à la gestion de la chose publique". "Nous avons également souligné que l'autonomie proposée par le Maroc est la seule solution qui permettrait de mettre fin au conflit du Sahara et signalé que le polisario n'a rien proposé et que l'Algérie est partie prenante au conflit", a-t-il dit.
M. Bouh a, en outre, indiqué que la participation de la délégation des provinces de sud aux travaux du CDH était importante par le nombre et la qualité des interventions faites lors de cette session. "Nous avons présenté trois interventions lors de la plénière en plus de celle du secrétaire général de l'ONG internationale Interfaith Interational, qui a désigné l'Algérie comme étant une partie prenante au conflit et montré que c'est sur le territoire de ce pays que des crimes ont été commis contre les populations sahraouies", a-t-il précisé dans ce sens.
Il a également cité la conférence débat organisée par la délégation dans le cadre de cette session et à laquelle ont participé des ONG de différentes sensibilités.
L'ancien dirigeant du polisario a affirmé que le Maroc se trouve aujourd'hui dans une position très confortable, puisque le Royaume est le seul à prendre l'initiative au plan international, évoquant dans ce même ordre d'idées le retrait par plusieurs pays de leur reconnaissance de la pseudo Rasd.
Il a en outre dénoncé le drame humain qu'endurent les populations des camps de Tindouf, appelant à la levée du blocus imposé à ces camps afin de permettre à ces populations de regagner la mère patrie.
Moulay Ahmed Mghizlate, membre du Conseil royal consultatif pour les Affaires sahariennes (Corcas), a pour sa part, indiqué avoir évoqué lors des travaux du CDH les trois missions fondamentales dont le Conseil a été chargé, à savoir la réconciliation, le développement et la préparation du plan d'autonomie, soulignant que le plan d'autonomie avait été élaboré avec la contribution des instances représentatives des régions, des notables. Il a, à cet égard, rappelé la vaste campagne de consultations menée à cet effet par le Corcas en avril 2006 auprès des citoyens sahraouis favorisant, ainsi une réflexion collective, qui est, a-t-il dit, à la base de toute démocratie de proximité.
"Nous avons aussi mis en relief l'effort de développement que connaissent les provinces du Sud où l'on assiste depuis leur récupération à des mutations radicales dans tous les domaines et à tous les niveaux, précisant que la ville de Laayoune a été déclarée ville sans bidonvilles".
Outre Moulay Ahmed Mghizlate et Mostafa Bouh, la délégation des provinces du sud à la neuvième session du CDH, était composée de Sidati El Ghallaoui, ex-représentant du polisario en Italie et Mme Saadani Maoulainine, ex-déporté du polisario à Cuba.
