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Vers 09h15 GMT (11h15 à Paris), l'euro valait 1,4226 dollar, contre 1,4127 dollar mardi vers 21h00 GMT.
L'euro progressait également face au yen, à 150,02 yens contre 149,27 yens mardi soir.
Le dollar gagnait du terrain face au yen, à 105,73 yens contre 105,62 yens la veille.
Le dollar perdait du terrain, suite à la décision de la Fed du maintien de son taux directeur à 2%. "Pour une fois, la Fed n'a pas suivi les attentes de baisses des taux des marchés" soulignaient les analystes de Commerzbank, notant que la devise américaine avait été pénalisée par les perspectives présentées dans le communiqué correspondant à la décision.
"Les tensions des marchés financiers et les risques sur la croissance ont été revus à la hausse tandis que les pressions inflationnistes ont, elles, été revues à la baisse" ajoutaient les analystes.
Ces inquiétudes restent décisives pour les investisseurs et sont renforcées dans le contexte de crise financière qui semble se généraliser depuis plusieurs jours. La banque HBOS, dont le cours de Bourse s'est effondré depuis le début de la semaine, est en discussions avancées avec sa concurrente Lloyds TSB en vue d'une fusion, rapportait mercredi matin la BBC.
Les inquiétudes agitant sur les marchés font augmenter la volatilité sur les changes et avaient, paradoxalement, soutenu le dollar depuis vendredi, en raison de son rôle de valeur-refuge et des rapatriements de capitaux.
Mais les investisseurs restent sur la réserve et le dollar pourrait s'effriter davantage, selon des analystes.
"Le plan de la Fed sur AIG pourrait faire revenir temporairement le goût du risque sur les marchés mais la nécésssité de faire intervenir la Fed en dernier ressort met en lumière les menaces de crise systémique, gardant les investisseurs inquiets pour un moment", commentaient les analystes de BNP-Paribas.
La Fed a opéré un virage à 180 degrés, en annonçant mardi soir qu'elle allait consentir à AIG un prêt pouvant aller jusqu'à 85 milliards de dollars, qu'elle a justifié par les dangers que pourrait faire courir une faillite de l'assureur à des marchés financiers fragilisés. En contrepartie, l'Etat américain va recevoir une participation de 79,9% dans le capital de l'assureur.
En outre, les doutes continuent à planer sur la santé du marché de l'immobilier américain, déprimé en raison de la crise des crédits hypothécaires à risque ("subprime"), selon les analystes.
Les chiffres des mises en chantier et des permis de construire pour août sont attendus mercredi après-midi.
La devise britannique baissait face à la monnaie européenne qui cotait 79,72 pence, mais grimpait face au billet vert à 1,7851 dollar.
La monnaie helvétique reculait face à l'euro à 1,5915 franc suisse, mais augmentait face au dollar à 1,1199 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or cotait 785,25 dollars contre 779,50 dollars la veille au fixing du soir.
L'euro progressait également face au yen, à 150,02 yens contre 149,27 yens mardi soir.
Le dollar gagnait du terrain face au yen, à 105,73 yens contre 105,62 yens la veille.
Le dollar perdait du terrain, suite à la décision de la Fed du maintien de son taux directeur à 2%. "Pour une fois, la Fed n'a pas suivi les attentes de baisses des taux des marchés" soulignaient les analystes de Commerzbank, notant que la devise américaine avait été pénalisée par les perspectives présentées dans le communiqué correspondant à la décision.
"Les tensions des marchés financiers et les risques sur la croissance ont été revus à la hausse tandis que les pressions inflationnistes ont, elles, été revues à la baisse" ajoutaient les analystes.
Ces inquiétudes restent décisives pour les investisseurs et sont renforcées dans le contexte de crise financière qui semble se généraliser depuis plusieurs jours. La banque HBOS, dont le cours de Bourse s'est effondré depuis le début de la semaine, est en discussions avancées avec sa concurrente Lloyds TSB en vue d'une fusion, rapportait mercredi matin la BBC.
Les inquiétudes agitant sur les marchés font augmenter la volatilité sur les changes et avaient, paradoxalement, soutenu le dollar depuis vendredi, en raison de son rôle de valeur-refuge et des rapatriements de capitaux.
Mais les investisseurs restent sur la réserve et le dollar pourrait s'effriter davantage, selon des analystes.
"Le plan de la Fed sur AIG pourrait faire revenir temporairement le goût du risque sur les marchés mais la nécésssité de faire intervenir la Fed en dernier ressort met en lumière les menaces de crise systémique, gardant les investisseurs inquiets pour un moment", commentaient les analystes de BNP-Paribas.
La Fed a opéré un virage à 180 degrés, en annonçant mardi soir qu'elle allait consentir à AIG un prêt pouvant aller jusqu'à 85 milliards de dollars, qu'elle a justifié par les dangers que pourrait faire courir une faillite de l'assureur à des marchés financiers fragilisés. En contrepartie, l'Etat américain va recevoir une participation de 79,9% dans le capital de l'assureur.
En outre, les doutes continuent à planer sur la santé du marché de l'immobilier américain, déprimé en raison de la crise des crédits hypothécaires à risque ("subprime"), selon les analystes.
Les chiffres des mises en chantier et des permis de construire pour août sont attendus mercredi après-midi.
La devise britannique baissait face à la monnaie européenne qui cotait 79,72 pence, mais grimpait face au billet vert à 1,7851 dollar.
La monnaie helvétique reculait face à l'euro à 1,5915 franc suisse, mais augmentait face au dollar à 1,1199 franc suisse pour un dollar.
L'once d'or cotait 785,25 dollars contre 779,50 dollars la veille au fixing du soir.
