Juste un an après son arrivée au pouvoir, le chef du gouvernement travailliste (centre gauche) a annoncé les objectifs chiffrés de sa politique en matière de pollution atmosphérique, qui fut l'un des thèmes majeurs de sa campagne.
Kevin Rudd a déclaré que l'Australie, en tant que continent le plus sec et le plus chaud du monde, ne pouvait pas rester en marge du combat contre le réchauffement global.
"D'ici fin 2020, nous allons réduire les pollutions au carbone entre 5 et 15%, en deçà de notre niveau de 2000", a-t-il déclaré à Canberra au National Press Club.
"Une réduction de 5% est notre engagement minimum et inconditionnel, quelles que soient les actions des autres pays de la planète", a-t-il également indiqué.
Une réduction de "15% en dessous du niveau de 2000 sera notre objectif si il y a un accord global où toutes les grandes puissances économiques s'engagent à réduire de manière substantielle leurs émissions de CO2 et qu'elles s'engagent sur des réductions comparables à celles de l'Australie", a poursuivi le chef du gouvernement australien.
Il a souligné qu'il s'agissait de décisions fortes dans la mesure où une augmentation des émissions de gaz à effet de serre de 20% entre 2000 et 2020 était programmée en Australie, si aucune action n'était prise.
Le premier acte officiel de Kevin Rudd, après sa prise de fonction fin 2007, avait été la ratification du protocole de Kyoto, accord international des Nations unies sur la réduction des émissions de carbone.
Kevin Rudd a déclaré que l'Australie, en tant que continent le plus sec et le plus chaud du monde, ne pouvait pas rester en marge du combat contre le réchauffement global.
"D'ici fin 2020, nous allons réduire les pollutions au carbone entre 5 et 15%, en deçà de notre niveau de 2000", a-t-il déclaré à Canberra au National Press Club.
"Une réduction de 5% est notre engagement minimum et inconditionnel, quelles que soient les actions des autres pays de la planète", a-t-il également indiqué.
Une réduction de "15% en dessous du niveau de 2000 sera notre objectif si il y a un accord global où toutes les grandes puissances économiques s'engagent à réduire de manière substantielle leurs émissions de CO2 et qu'elles s'engagent sur des réductions comparables à celles de l'Australie", a poursuivi le chef du gouvernement australien.
Il a souligné qu'il s'agissait de décisions fortes dans la mesure où une augmentation des émissions de gaz à effet de serre de 20% entre 2000 et 2020 était programmée en Australie, si aucune action n'était prise.
Le premier acte officiel de Kevin Rudd, après sa prise de fonction fin 2007, avait été la ratification du protocole de Kyoto, accord international des Nations unies sur la réduction des émissions de carbone.