Des dizaines des membres de la sécurité égyptienne se sont déployés à la frontière dans le secteur de la "porte de Salahedine" par laquelle passent la plupart des Palestiniens se rendant en Egypte depuis la destruction partielle à l'explosif de la clôture frontalière mercredi.
Ils empêchent, sans recourir à la force, l'entrée de nouveaux Palestiniens en territoire égyptien alors que des milliers d'autres regagnent la bande de Gaza dans le sens inverse, la plupart avec des marchandises achetées dans la partie égyptienne de la ville de Rafah, à cheval sur la frontière, où à El-Arich, plus à l'ouest.
Mais d'autres Palestiniens continuaient toutefois à passer en nombre en territoire égyptien, par d'autres brèches opérées dans la clôture frontalière, sans être inquiétés.
Des témoins et des sources de la police du Hamas ont affirmé que les autorités égyptiennes ont dressé des barrages qui empêchent désormais les Palestiniens de gagner El-Arich depuis la partie égyptienne de Rafah.
Les mesures de sécurité égyptiennes devraient être graduellement renforcées et la frontière devrait être totalement fermée aux Palestiniens "peut être dès demain", a indiqué une source policière du Hamas, le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis juin.
Ils empêchent, sans recourir à la force, l'entrée de nouveaux Palestiniens en territoire égyptien alors que des milliers d'autres regagnent la bande de Gaza dans le sens inverse, la plupart avec des marchandises achetées dans la partie égyptienne de la ville de Rafah, à cheval sur la frontière, où à El-Arich, plus à l'ouest.
Mais d'autres Palestiniens continuaient toutefois à passer en nombre en territoire égyptien, par d'autres brèches opérées dans la clôture frontalière, sans être inquiétés.
Des témoins et des sources de la police du Hamas ont affirmé que les autorités égyptiennes ont dressé des barrages qui empêchent désormais les Palestiniens de gagner El-Arich depuis la partie égyptienne de Rafah.
Les mesures de sécurité égyptiennes devraient être graduellement renforcées et la frontière devrait être totalement fermée aux Palestiniens "peut être dès demain", a indiqué une source policière du Hamas, le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis juin.