"Le gouvernement a décidé d'autoriser des dépenses allant jusqu'à 200 milliards de roupies pour l'année budgétaire en cours", qui s'achève fin mars 2009, indique un communiqué des services du Premier ministre Manmohan Singh.
L'Inde "surveille étroitement l'évolution de la situation économique et n'hésitera pas à prendre d'autres mesures si nécessaire pour combattre les risques de récession et maintenir le rythme de l'activité", ajoute le communiqué.
Dans les faits, la TVA sur un certain nombre de biens connaîtra une baisse de 4 points afin de doper la consommation, le moteur de la croissance indienne, et des dépenses publiques vont être allouées pour les infrastructures, les PME et les secteurs exportateurs comme l'artisanat et le textile.
Pour tenter de relancer la croissance de la 10e puissance économique du monde, malmenée par la crise financière mondiale et secouée par les attentats de Bombay fin novembre, la banque centrale a une nouvelle fois abaissé samedi ses principaux taux d'intérêt.
M. Singh, qui vient de reprendre le poste de ministre des Finances, table sur une croissance du PIB de 7,5 pc pour l'année budgétaire 2008-2009, mais certains économistes ne s'attendent qu'à un taux de 6,8% et de 5,5% l'année suivante.
L'Inde "surveille étroitement l'évolution de la situation économique et n'hésitera pas à prendre d'autres mesures si nécessaire pour combattre les risques de récession et maintenir le rythme de l'activité", ajoute le communiqué.
Dans les faits, la TVA sur un certain nombre de biens connaîtra une baisse de 4 points afin de doper la consommation, le moteur de la croissance indienne, et des dépenses publiques vont être allouées pour les infrastructures, les PME et les secteurs exportateurs comme l'artisanat et le textile.
Pour tenter de relancer la croissance de la 10e puissance économique du monde, malmenée par la crise financière mondiale et secouée par les attentats de Bombay fin novembre, la banque centrale a une nouvelle fois abaissé samedi ses principaux taux d'intérêt.
M. Singh, qui vient de reprendre le poste de ministre des Finances, table sur une croissance du PIB de 7,5 pc pour l'année budgétaire 2008-2009, mais certains économistes ne s'attendent qu'à un taux de 6,8% et de 5,5% l'année suivante.