A Athènes ils avaient pris la 10e place au tableau des médailles. A Pékin ils sont quatrièmes, derrière la Chine écrasante, les Etats-Unis et la Russie.
Avec ses 47 médailles, dont 19 en or, la Grande-Bretagne bat son record du meilleur résultat qui datait de 1908.
La récolte est cependant assez inégale entre les sports puisque la grande majorité a été rapportée par les cyclistes: 12 médailles dont 7 en or. Mais l'athlétisme, avec 4 médailles, la natation et l'aviron avec 6 chacun, et la voile avec six dont quatre titres, ont bien contribué au résultat final.
En un seul week-end, ils ont raflé huit médailles d'or et 17 médailles au total.
La reine Elizabeth II elle-même a fait savoir par son porte-parole qu'elle suivait ces performances avec un "réel intérêt" et que toute la délégation olympique serait invitée à Buckingham Palace le 16 octobre.
L'objectif du Comité olympique britannique (BOA) avant les JO était pourtant modestement de prendre une 8e place, soit deux de mieux qu'à Athènes.
L'explication du succès réside dans la préparation et le financement en amont.
Pour le seul cyclisme, en intégrant les disciplines annexes (BMX, VTT), le budget dépasse les 8 millions d'euros, très loin devant celui des pays concurrents.
L'argent est apporté depuis 1999 par la "National Lottery".
Cette année-là, le sport britannique a vécu un tournant. Devant l'impossibilité pour l'Etat de financer à la hauteur souhaitée le sport et les arts, la Loterie a accepté de reverser une partie des sommes récoltées (28% contre 50% reversés aux joueurs et 12% à l'Etat) à un fonds spécial en ces deux domaines. Le sport bénéficie à hauteur de 16% des ressources de ce fonds.
Si nombre de sports bénéficient de cette manne, le cyclisme et plus encore la natation sont les mieux dotés. Huit ans plus tard, les médailles tombent. Sur la piste et dans les bassins.
Avec ses 47 médailles, dont 19 en or, la Grande-Bretagne bat son record du meilleur résultat qui datait de 1908.
La récolte est cependant assez inégale entre les sports puisque la grande majorité a été rapportée par les cyclistes: 12 médailles dont 7 en or. Mais l'athlétisme, avec 4 médailles, la natation et l'aviron avec 6 chacun, et la voile avec six dont quatre titres, ont bien contribué au résultat final.
En un seul week-end, ils ont raflé huit médailles d'or et 17 médailles au total.
La reine Elizabeth II elle-même a fait savoir par son porte-parole qu'elle suivait ces performances avec un "réel intérêt" et que toute la délégation olympique serait invitée à Buckingham Palace le 16 octobre.
L'objectif du Comité olympique britannique (BOA) avant les JO était pourtant modestement de prendre une 8e place, soit deux de mieux qu'à Athènes.
L'explication du succès réside dans la préparation et le financement en amont.
Pour le seul cyclisme, en intégrant les disciplines annexes (BMX, VTT), le budget dépasse les 8 millions d'euros, très loin devant celui des pays concurrents.
L'argent est apporté depuis 1999 par la "National Lottery".
Cette année-là, le sport britannique a vécu un tournant. Devant l'impossibilité pour l'Etat de financer à la hauteur souhaitée le sport et les arts, la Loterie a accepté de reverser une partie des sommes récoltées (28% contre 50% reversés aux joueurs et 12% à l'Etat) à un fonds spécial en ces deux domaines. Le sport bénéficie à hauteur de 16% des ressources de ce fonds.
Si nombre de sports bénéficient de cette manne, le cyclisme et plus encore la natation sont les mieux dotés. Huit ans plus tard, les médailles tombent. Sur la piste et dans les bassins.