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Cette structure aura pour mission la mise en œuvre du programme national de fortification des aliments de large consommation, notamment la promotion de la production et de la commercialisation de la farine du blé tendre et de l'huile de table enrichis.
Elle se chargera aussi d'identifier les problèmes de la malnutrition au niveau de la région de Tadla-Azilal et de proposer le plan d'action pour la mise en œuvre de la stratégie de fortification. Elle œuvrera également pour le suivi et l'évaluation des activités inscrites et la vulgarisation des textes législatifs et réglementaires, ainsi que la conception de projets de recherche en matière de nutrition et de carences nutritionnelles.
L'alliance s'est fixée comme objectifs la réduction du tiers de l'anémie ferriprive par rapport à son niveau de 1995, l'élimination de l'avitaminose A et ses effets, ainsi que des troubles dus à la carence en iode chez les futures naissances et le maintien d'une couverture nationale par la vitamine D supérieure à 80%.
Ouvrant cette réunion constitutive, le responsable du programme national au ministère de la santé, M. Mustapha Mahfoudi, a souligné que ces objectifs ne peuvent être atteints qu'à travers des actions de supplémentation, d'éducation nutritionnelle, de fortification et des mesures de santé publiques.
"Les carences en fer restent un problème de santé majeur qui hypothèque la productivité des générations futures et freine le développement du Maroc", a-t-il dit, indiquant que pour pallier au manque de sensibilisation de la population aux conséquences des carences et à l'importance d'adopter un régime alimentaire riche en micronutriments, la fortification de la farine, du sel, des produits laitiers, de l'huile de table et du sucre s'avère le moyen le plus efficace pour lutter de manière durable contre les carences en micronutriments.
Selon M. Mahfoudi, le programme national de lutte contre les troubles dus aux carences en micronutriments traduit l'engagement du Royaume dans le respect des droits de l'homme, notamment le droit à la sécurité alimentaire et à la santé.
En injectant 0,3 % du Produit intérieur brut dans ce programme, le Maroc peut non seulement éradiquer les carences en micronutriments et réduire ses coûts de santé, mais assurer la productivité des générations futures et contribuer de manière durable au développement du pays, s'est-il réjoui.
Il a, également, insisté sur le rôle des minotiers et des professionnels dans la réussite du programme.
L'alliance de Tadla-Azilal est la neuvième du genre, créée au niveau national.
Par ailleurs, une campagne de sensibilisation régionale de promotion de la consommation des aliments enrichis sera lancée prochainement.
Elle se chargera aussi d'identifier les problèmes de la malnutrition au niveau de la région de Tadla-Azilal et de proposer le plan d'action pour la mise en œuvre de la stratégie de fortification. Elle œuvrera également pour le suivi et l'évaluation des activités inscrites et la vulgarisation des textes législatifs et réglementaires, ainsi que la conception de projets de recherche en matière de nutrition et de carences nutritionnelles.
L'alliance s'est fixée comme objectifs la réduction du tiers de l'anémie ferriprive par rapport à son niveau de 1995, l'élimination de l'avitaminose A et ses effets, ainsi que des troubles dus à la carence en iode chez les futures naissances et le maintien d'une couverture nationale par la vitamine D supérieure à 80%.
Ouvrant cette réunion constitutive, le responsable du programme national au ministère de la santé, M. Mustapha Mahfoudi, a souligné que ces objectifs ne peuvent être atteints qu'à travers des actions de supplémentation, d'éducation nutritionnelle, de fortification et des mesures de santé publiques.
"Les carences en fer restent un problème de santé majeur qui hypothèque la productivité des générations futures et freine le développement du Maroc", a-t-il dit, indiquant que pour pallier au manque de sensibilisation de la population aux conséquences des carences et à l'importance d'adopter un régime alimentaire riche en micronutriments, la fortification de la farine, du sel, des produits laitiers, de l'huile de table et du sucre s'avère le moyen le plus efficace pour lutter de manière durable contre les carences en micronutriments.
Selon M. Mahfoudi, le programme national de lutte contre les troubles dus aux carences en micronutriments traduit l'engagement du Royaume dans le respect des droits de l'homme, notamment le droit à la sécurité alimentaire et à la santé.
En injectant 0,3 % du Produit intérieur brut dans ce programme, le Maroc peut non seulement éradiquer les carences en micronutriments et réduire ses coûts de santé, mais assurer la productivité des générations futures et contribuer de manière durable au développement du pays, s'est-il réjoui.
Il a, également, insisté sur le rôle des minotiers et des professionnels dans la réussite du programme.
L'alliance de Tadla-Azilal est la neuvième du genre, créée au niveau national.
Par ailleurs, une campagne de sensibilisation régionale de promotion de la consommation des aliments enrichis sera lancée prochainement.
