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Cette évaluation porte sur la réhabilitation et le renforcement du réseau existant (29 millions de DH), l'extension du réseau (64,7 MDH), l'interception des eaux usées (27,6 MDH), l'amenée des eaux usées (46,8 MDH) et la construction de la future station d'épuration (100 MDH).
Selon la RADEETA, le ministère de l'intérieur a alloué une subvention de 67 MDH pour le financement du programme précité à condition que la commune urbaine de Taza transfère la gestion du service d'assainissement liquide à la régie.
La commune urbaine de Taza, qui assure actuellement la gestion du service d'assainissement liquide de la ville, tarde à prendre une décision unanime pour confier la gestion de ce secteur à la régie, estimant que ce transfert engendrera de nouveaux frais à la charge des citoyens. Elle a toutefois délégué en 2004 à la régie la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation de l'étude du schéma directeur d'assainissement liquide dans la perspective de transférer la gestion de ce service à la régie.
Depuis cette date, la régie s'est déployée à réaliser cette étude avec un montant global de 4,5 millions Dh alloué par le ministère de l'intérieur.
Selon la régie, les eaux usées sont actuellement déversées à l'état brut moyennant une trentaine de rejets dans des oueds traversant la ville contribuant ainsi à la dégradation environnementale de ces milieux et constituent par conséquent, une non conformité aux lois sur l'eau et l'environnement.
Ces eaux usées déversées sont réutilisées en agriculture, constituant un risque potentiel sur la santé des populations comme l'indiquent les statistiques des maladies hydriques dans la région. L'étude relève qu'il est impératif et urgent de procéder à la mise à niveau technique et environnementale du secteur d'assainissement de la ville de Taza en remédiant à tous les problèmes de pollution.
Lors de la tenue du dernier conseil d'administration de la régie, le Conseil de la commune urbaine de Taza a été invité à trancher dans la question du transfert de la gestion du secteur d'assainissement à la RADEETA avant que les conclusions de l'étude ne soient dépassées.
Selon la RADEETA, le ministère de l'intérieur a alloué une subvention de 67 MDH pour le financement du programme précité à condition que la commune urbaine de Taza transfère la gestion du service d'assainissement liquide à la régie.
La commune urbaine de Taza, qui assure actuellement la gestion du service d'assainissement liquide de la ville, tarde à prendre une décision unanime pour confier la gestion de ce secteur à la régie, estimant que ce transfert engendrera de nouveaux frais à la charge des citoyens. Elle a toutefois délégué en 2004 à la régie la maîtrise d'ouvrage pour la réalisation de l'étude du schéma directeur d'assainissement liquide dans la perspective de transférer la gestion de ce service à la régie.
Depuis cette date, la régie s'est déployée à réaliser cette étude avec un montant global de 4,5 millions Dh alloué par le ministère de l'intérieur.
Selon la régie, les eaux usées sont actuellement déversées à l'état brut moyennant une trentaine de rejets dans des oueds traversant la ville contribuant ainsi à la dégradation environnementale de ces milieux et constituent par conséquent, une non conformité aux lois sur l'eau et l'environnement.
Ces eaux usées déversées sont réutilisées en agriculture, constituant un risque potentiel sur la santé des populations comme l'indiquent les statistiques des maladies hydriques dans la région. L'étude relève qu'il est impératif et urgent de procéder à la mise à niveau technique et environnementale du secteur d'assainissement de la ville de Taza en remédiant à tous les problèmes de pollution.
Lors de la tenue du dernier conseil d'administration de la régie, le Conseil de la commune urbaine de Taza a été invité à trancher dans la question du transfert de la gestion du secteur d'assainissement à la RADEETA avant que les conclusions de l'étude ne soient dépassées.
