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Cette ville, dont atouts ont forcé l'admiration d'une délégation d'ambassadeurs accrédités à Rabat lors d'une visite effectuée du 24 au 27 juillet pour s'enquérir des réalisations socioéconomiques dans la région, est devenue le nouvel Eldorado des windsurfeurs et kite-surfeurs du monde. L'un des beaux sites ayant aussi séduit les ambassadeurs étrangers est la fameuse dune blanche. Une dune qui se détache du décor sabloneux du desert en bordure de mer, et qui a la particularité d'avoir été sculptée par le vent, avec une coupe majestueuse à l'arrière.
Haute d'une cinquantaine de mètres, elle trône au milieu du rivage mouillé lorsque la marée est basse. A marée haute, l'eau l'encercle de toutes parts, laissant émerger sa forme massive d'une blancheur éclatante. Même s'il leur faut parcourir 6 kilomètres de piste pour l'atteindre, les touristes et vacanciers n'hésitent pas à mettre les pieds dans l'eau et avancer prudemment jusqu'à cette imposante dune œuvre de la nature.
Ce caprice de la nature n'est qu'un échantillon de ce qu'attend le touriste avide de pittoresque. Avec sa position géographique exceptionnelle, ses 40 Km de dunes de 3 à 6 km de large et une température oscillant entre 17 et 28 , la lagune de Dakhla dispose de toutes les conditions nécessaires (vent, vagues etc.) favorisant la pratique des sports de glisse.
Chaque année, les plus grands windsurfers s'y rendent pour s'entraîner et améliorer leurs techniques en prévision des compétitions internationales programmées dans plusieurs régions du monde. Les surfeurs viennent en masse pour y passer les trois mois d'hiver au moment où l'Europe porte son manteau blanc de neige.
Grâce à sa réputation de cité «du vent et d'ensoleillement», Dakhla a acquis une renommée internationale où les sports écologiques, la découverte et les grands espaces constituent une tentation irrésistible.
Historiquement ville de pêche, principalement artisanale, son économie gravitait autour de ce seul secteur. Durant chaque repos biologique, Dakhla entrait alors dans une sorte d'hibernation. Plus maintenant. Elle capitalise, désormais judicieusement ses potentialités touristiques.
Situés en ville ou en fond de baie, dédiés au kitesurf, au balnéaire ou à la randonnée, les projets touristiques essaiment et fleurissent.
Ainsi, aux hôtels de Dakhla et aux cinq structures existantes dans la baie s'ajoute une dizaine d'unités en cours d'achèvement ou de réalisation. Dakhla est devenue une pépinière de chantiers touristiques, adossée à sa vocation première, celle de port de pêche florissant. Son port est le 2e plus productif du Maroc, juste derrière celui d'Agadir.
Selon les responsables de la région de Oued Eddahab-Lagouira, le développement de la pêche maritime a permis l'implantation de 77 unités industrielles dans la région, réparties entre 29 unités de traitement et conditionnement des petits pélagiques et de 48 pour la congélation des céphalopodes. Ces sociétés assurent l'emploi permanent à 850 personnes et 4.000 saisonniers, précise la délégation des pêches maritimes.
La ville de Dakhla dispose aussi de zones industrielles aménagées pour accueillir des projets viables et intégrés au service de la population locale et du développement durable.
En vue d'attirer davantage d'investissements nationaux et étrangers dans le cadre d'une vision stratégique de développement intégré, les autorités de la région ont mis en place des mesures incitatives et un guichet unique pour faciliter les procédures administratives aux hommes d'affaires désirant lancer des projets à forte valeur ajoutée.
Les autorités locales et élus œuvrent également sans relâche en vue de faire de cette région une plate-forme attractive d'investissements et de relever les défis du développement et de la concurrence mondialisée. Cette région, jadis simple étendue désertique inhospitalière, sans eau, ni électricité, est dotée aujourd'hui de toutes les infrastructures nécessaires permettant d'améliorer les conditions de vie des habitants.
Parée de ses plus beaux atours et couleurs à l'occasion du 10e anniversaire de l'accession de S.M. le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres, cette région conforte sa réputation de terre accueillante disposant de tous les atouts nécessaires pour amorcer un décollage socio-économique, porté une croissance soutenue.
Haute d'une cinquantaine de mètres, elle trône au milieu du rivage mouillé lorsque la marée est basse. A marée haute, l'eau l'encercle de toutes parts, laissant émerger sa forme massive d'une blancheur éclatante. Même s'il leur faut parcourir 6 kilomètres de piste pour l'atteindre, les touristes et vacanciers n'hésitent pas à mettre les pieds dans l'eau et avancer prudemment jusqu'à cette imposante dune œuvre de la nature.
Ce caprice de la nature n'est qu'un échantillon de ce qu'attend le touriste avide de pittoresque. Avec sa position géographique exceptionnelle, ses 40 Km de dunes de 3 à 6 km de large et une température oscillant entre 17 et 28 , la lagune de Dakhla dispose de toutes les conditions nécessaires (vent, vagues etc.) favorisant la pratique des sports de glisse.
Chaque année, les plus grands windsurfers s'y rendent pour s'entraîner et améliorer leurs techniques en prévision des compétitions internationales programmées dans plusieurs régions du monde. Les surfeurs viennent en masse pour y passer les trois mois d'hiver au moment où l'Europe porte son manteau blanc de neige.
Grâce à sa réputation de cité «du vent et d'ensoleillement», Dakhla a acquis une renommée internationale où les sports écologiques, la découverte et les grands espaces constituent une tentation irrésistible.
Historiquement ville de pêche, principalement artisanale, son économie gravitait autour de ce seul secteur. Durant chaque repos biologique, Dakhla entrait alors dans une sorte d'hibernation. Plus maintenant. Elle capitalise, désormais judicieusement ses potentialités touristiques.
Situés en ville ou en fond de baie, dédiés au kitesurf, au balnéaire ou à la randonnée, les projets touristiques essaiment et fleurissent.
Ainsi, aux hôtels de Dakhla et aux cinq structures existantes dans la baie s'ajoute une dizaine d'unités en cours d'achèvement ou de réalisation. Dakhla est devenue une pépinière de chantiers touristiques, adossée à sa vocation première, celle de port de pêche florissant. Son port est le 2e plus productif du Maroc, juste derrière celui d'Agadir.
Selon les responsables de la région de Oued Eddahab-Lagouira, le développement de la pêche maritime a permis l'implantation de 77 unités industrielles dans la région, réparties entre 29 unités de traitement et conditionnement des petits pélagiques et de 48 pour la congélation des céphalopodes. Ces sociétés assurent l'emploi permanent à 850 personnes et 4.000 saisonniers, précise la délégation des pêches maritimes.
La ville de Dakhla dispose aussi de zones industrielles aménagées pour accueillir des projets viables et intégrés au service de la population locale et du développement durable.
En vue d'attirer davantage d'investissements nationaux et étrangers dans le cadre d'une vision stratégique de développement intégré, les autorités de la région ont mis en place des mesures incitatives et un guichet unique pour faciliter les procédures administratives aux hommes d'affaires désirant lancer des projets à forte valeur ajoutée.
Les autorités locales et élus œuvrent également sans relâche en vue de faire de cette région une plate-forme attractive d'investissements et de relever les défis du développement et de la concurrence mondialisée. Cette région, jadis simple étendue désertique inhospitalière, sans eau, ni électricité, est dotée aujourd'hui de toutes les infrastructures nécessaires permettant d'améliorer les conditions de vie des habitants.
Parée de ses plus beaux atours et couleurs à l'occasion du 10e anniversaire de l'accession de S.M. le Roi Mohammed VI au Trône de Ses glorieux ancêtres, cette région conforte sa réputation de terre accueillante disposant de tous les atouts nécessaires pour amorcer un décollage socio-économique, porté une croissance soutenue.
