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Ces récits sont contenus dans un livre intitulé "Elles ont brisé le mur du silence : récits des femmes des années de plomb", publié par le CCDH en partenariat avec le Fonds des Nations unies pour le développement de la femme (Unifem).
A l'ouverture de cette rencontre, à laquelle ont pris part des juristes, des représentants de la société civile et des parents de victimes, Mme Latifa Bouazza responsable du bureau administratif régional du CCDH a indiqué que cette manifestation s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de l'Instance équité et réconciliation (IER) relatives à la préservation de la mémoire et à la réconciliation pour que les violations des droits de l'homme perpétrés dans le passé ne se reproduisent plus.
Ce livre, a-t-elle dit, comporte des témoignages de cinq femmes qui ont souffert des violations passées des droits de l'homme.
Pour sa part, Mme Saâdia Slaili a souligné, dans une déclaration à la MAP qu'elle a pu, à travers cette lecture, relevé le caractère profond des souffrances des femmes.
Le livre "Elles ont brisé le mur du silence : récits des femmes des années de plomb", qui se veut une contribution du CCDH pour faire connaître la violence et l'exclusion endurées par les femmes, comporte des récits des femmes qui ne parviennent pas à écrire mais qui ont un courage inouï de faire le récit de ce qu'elles avaient vécu.
La lecture de ce livre, qui s'inscrit dans le cadre de l'intégration de l'approche genre dans le processus de justice transitionnelle, notamment le programme de réparation communautaire, vise à mettre en exergue les souffrances de ces femmes qui ont contribué au processus de démocratisation du Maroc.
Le CCDH, en partenariat avec l'Unifem, avait organisé des rencontres similaires à Azilal et Agadir et prévoit d'autres rencontres dans plusieurs autres villes du Royaume.
Outre la lecture des récits de femmes victimes des violations des droits de l'Homme perpétrées dans le passé, la rencontre de Figuig a été maquée également par la projection d'un court métrage sur les séances d'auditions publiques organisées par l'IER, les interventions des participants ainsi que par l'écoute du témoignage de Khadija Sefouane, une des femmes victimes des violations passées des droits de l'Homme, décédée en mars dernier.
A l'ouverture de cette rencontre, à laquelle ont pris part des juristes, des représentants de la société civile et des parents de victimes, Mme Latifa Bouazza responsable du bureau administratif régional du CCDH a indiqué que cette manifestation s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de l'Instance équité et réconciliation (IER) relatives à la préservation de la mémoire et à la réconciliation pour que les violations des droits de l'homme perpétrés dans le passé ne se reproduisent plus.
Ce livre, a-t-elle dit, comporte des témoignages de cinq femmes qui ont souffert des violations passées des droits de l'homme.
Pour sa part, Mme Saâdia Slaili a souligné, dans une déclaration à la MAP qu'elle a pu, à travers cette lecture, relevé le caractère profond des souffrances des femmes.
Le livre "Elles ont brisé le mur du silence : récits des femmes des années de plomb", qui se veut une contribution du CCDH pour faire connaître la violence et l'exclusion endurées par les femmes, comporte des récits des femmes qui ne parviennent pas à écrire mais qui ont un courage inouï de faire le récit de ce qu'elles avaient vécu.
La lecture de ce livre, qui s'inscrit dans le cadre de l'intégration de l'approche genre dans le processus de justice transitionnelle, notamment le programme de réparation communautaire, vise à mettre en exergue les souffrances de ces femmes qui ont contribué au processus de démocratisation du Maroc.
Le CCDH, en partenariat avec l'Unifem, avait organisé des rencontres similaires à Azilal et Agadir et prévoit d'autres rencontres dans plusieurs autres villes du Royaume.
Outre la lecture des récits de femmes victimes des violations des droits de l'Homme perpétrées dans le passé, la rencontre de Figuig a été maquée également par la projection d'un court métrage sur les séances d'auditions publiques organisées par l'IER, les interventions des participants ainsi que par l'écoute du témoignage de Khadija Sefouane, une des femmes victimes des violations passées des droits de l'Homme, décédée en mars dernier.
