La Cour a, ainsi, décidé de porter de 15 à 20 ans la peine d'emprisonnement prononcée à l'encontre de Saad Al Husseini, accusé principal dans ce dossier, pour "atteinte à la sécurité intérieure de l'Etat et constitution d'une bande criminelle pour préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter un grave préjudice à l'ordre public".
Al Husseini a été également inculpé pour "collecte et gestion de fonds, incitation d'autrui à perpétrer des actes terroristes et organisation de réunions publiques sans autorisation".
La Chambre criminelle a, également, décidé de porter de 8 à 10 ans de prison ferme la peine prononcée contre cinq autres accusés pour "constitution d'une bande criminelle pour préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter un grave préjudice à l'ordre public, falsification de document administratif et organisation de réunions publiques sans autorisation".
La cour a confirmé les autres peines prononcées en première instance, à savoir une condamnation à cinq ans de prison contre un seul accusé et à 3 ans contre 11 autres individus.
La Brigade nationale de police judiciaire (BNPJ) avait arrêté, en mars 2007, Saad Al Husseini qui était recherché depuis 2002.
Diplômé en chimie, Al Husseini a fait des entraînements en Afghanistan sur l'utilisation des armes automatiques, la fabrication d'explosifs et les techniques de la guérilla et des combats de rue.
Depuis son retour au Maroc en 2002, il a travaillé à l'activation des cellules du Groupe islamique marocain combattant (GICM), l'encadrement d'entraînements militaires dans les montagnes du Rif et de l'Atlas et l'établissement de bases pour la fabrication des explosifs.
Dans le cadre d'une commission rogatoire, Al Husseini avait été auditionné, en décembre dernier, par le magistrat espagnol en charge de l'enquête sur les attentats du 11 mars 2004 à Madrid, où il est suspecté d'être l'artificier qui a fabriqué les explosifs ayant servi dans les attaques contre le réseau ferroviaire de la capitale espagnole.
Al Husseini a été également inculpé pour "collecte et gestion de fonds, incitation d'autrui à perpétrer des actes terroristes et organisation de réunions publiques sans autorisation".
La Chambre criminelle a, également, décidé de porter de 8 à 10 ans de prison ferme la peine prononcée contre cinq autres accusés pour "constitution d'une bande criminelle pour préparer et commettre des actes terroristes dans le cadre d'un projet collectif visant à porter un grave préjudice à l'ordre public, falsification de document administratif et organisation de réunions publiques sans autorisation".
La cour a confirmé les autres peines prononcées en première instance, à savoir une condamnation à cinq ans de prison contre un seul accusé et à 3 ans contre 11 autres individus.
La Brigade nationale de police judiciaire (BNPJ) avait arrêté, en mars 2007, Saad Al Husseini qui était recherché depuis 2002.
Diplômé en chimie, Al Husseini a fait des entraînements en Afghanistan sur l'utilisation des armes automatiques, la fabrication d'explosifs et les techniques de la guérilla et des combats de rue.
Depuis son retour au Maroc en 2002, il a travaillé à l'activation des cellules du Groupe islamique marocain combattant (GICM), l'encadrement d'entraînements militaires dans les montagnes du Rif et de l'Atlas et l'établissement de bases pour la fabrication des explosifs.
Dans le cadre d'une commission rogatoire, Al Husseini avait été auditionné, en décembre dernier, par le magistrat espagnol en charge de l'enquête sur les attentats du 11 mars 2004 à Madrid, où il est suspecté d'être l'artificier qui a fabriqué les explosifs ayant servi dans les attaques contre le réseau ferroviaire de la capitale espagnole.