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Saluant l'apport précieux des RME au progrès réalisé dans le Royaume, M. Ameur a souligné que la démarche adoptée par le gouvernement en direction des MRE procède d'un état des lieux prenant en compte les problèmes qu'ils rencontrent, leurs attentes et les changements qui ont marqué l'évolution de cette communauté au fil des ans.
Le ministre a rappelé, à cet égard, la création par S.M. le Roi Mohammed VI du Conseil marocain des ouléma pour l'Europe qui jouera un rôle important dans l'accompagnement et l'encadrement religieux de la communauté marocaine, en vue de prémunir les Marocains à l'étranger contre certaines dérives et préserver l'unicité du rite malékite.
Il a également rappelé l'intérêt accordé à la gestion du culte musulman et à la formation des imams.
Soulignant l'importance de maintenir des liens culturels étroits avec le pays d'origine, M. Ameur a annoncé la création de 15 centres culturels d'ici 2013, exprimant la disposition de son département à organiser, avec la participation de la communauté marocaine, une semaine culturelle à Marseille.
Au titre des mesures prises au bénéfice des personnes nécessiteuses, M. Ameur a évoqué l'exonération de 85 pc des taxes douanières sur l'importation des voitures par les retraités, la prise en charge par l'Etat des frais de rapatriement de la dépouille mortelle des personnes indigentes, ainsi que l'allocation d'un quota de logements sociaux aux MRE à revenu limité.
Saluant la nouvelle dynamique qui marque les investissements entrepris par les Marocains vivant à l'étranger qui s'orientent de plus en plus vers les secteurs des NTIC, de l'offshoring et du développement durable, le ministre a indiqué qu'une étude est en cours en partenariat avec l'organisation mondiale des migrations (OMI) pour étudier le dispositif à mettre en place pour promouvoir la contribution des MRE au développement socio-économique du pays.
Les membres de la communauté marocaine ont, par la suite, exposé au ministre leurs préoccupations et problèmes liés, notamment, aux formalités administratives, aux questions judiciaires, aux coûts des transferts d'argent vers le Maroc et à l'apprentissage de la langue arabe aux jeunes générations.
Les conditions de séjour des MRE et le plan d'action du gouvernement ont été au centre des entretiens que M. Ameur, en visite dans plusieurs villes françaises, a eus avec des élus et responsables locaux de la ville de Marseille et de la région Paca (Provence-Alpes-Côte d'Azur), ainsi qu'avec des élus d'origine marocaine.
Le ministre a rappelé, à cet égard, la création par S.M. le Roi Mohammed VI du Conseil marocain des ouléma pour l'Europe qui jouera un rôle important dans l'accompagnement et l'encadrement religieux de la communauté marocaine, en vue de prémunir les Marocains à l'étranger contre certaines dérives et préserver l'unicité du rite malékite.
Il a également rappelé l'intérêt accordé à la gestion du culte musulman et à la formation des imams.
Soulignant l'importance de maintenir des liens culturels étroits avec le pays d'origine, M. Ameur a annoncé la création de 15 centres culturels d'ici 2013, exprimant la disposition de son département à organiser, avec la participation de la communauté marocaine, une semaine culturelle à Marseille.
Au titre des mesures prises au bénéfice des personnes nécessiteuses, M. Ameur a évoqué l'exonération de 85 pc des taxes douanières sur l'importation des voitures par les retraités, la prise en charge par l'Etat des frais de rapatriement de la dépouille mortelle des personnes indigentes, ainsi que l'allocation d'un quota de logements sociaux aux MRE à revenu limité.
Saluant la nouvelle dynamique qui marque les investissements entrepris par les Marocains vivant à l'étranger qui s'orientent de plus en plus vers les secteurs des NTIC, de l'offshoring et du développement durable, le ministre a indiqué qu'une étude est en cours en partenariat avec l'organisation mondiale des migrations (OMI) pour étudier le dispositif à mettre en place pour promouvoir la contribution des MRE au développement socio-économique du pays.
Les membres de la communauté marocaine ont, par la suite, exposé au ministre leurs préoccupations et problèmes liés, notamment, aux formalités administratives, aux questions judiciaires, aux coûts des transferts d'argent vers le Maroc et à l'apprentissage de la langue arabe aux jeunes générations.
Les conditions de séjour des MRE et le plan d'action du gouvernement ont été au centre des entretiens que M. Ameur, en visite dans plusieurs villes françaises, a eus avec des élus et responsables locaux de la ville de Marseille et de la région Paca (Provence-Alpes-Côte d'Azur), ainsi qu'avec des élus d'origine marocaine.
