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Ainsi, tout récemment, le secteur du commerce dans la capitale de l'Oriental vient de se consolider par l'ouverture d'une grande surface, relevant d'un groupe commercial connu à l'échelle national en matière de vente d'ameublement.
Cet événement, qui confirme une dynamique économique avérée au niveau de l'Oriental, reflète la confiance des investisseurs en les potentialités de cette partie du royaume et en sa capacité à jouer un rôle prééminent, après une époque où le phénomène de la contrebande dissuadait les promoteurs économiques de s'engager dans des projets dans la région.
Auparavant, un autre groupe commercial avait ouvert ses portes à Oujda avec un franc succès. L'afflux des habitants de la capitale de l'Oriental et des régions avoisinantes vers cette unité commerciale a montré que le secteur informel est manifestement en perte de vitesse, car les consommateurs préfèrent désormais une marchandise respectant les normes fiables de qualité et d'hygiène.
Les potentialités de la région de l'Oriental ne se limitent pas seulement au potentiel de consommation mais couvrent également tout un éventail de secteurs qui se prêtent à la valorisation à travers des projets porteurs notamment dans le secteur des services.
L'ouverture dans la ville d'Oujda, il y a quelques semaines, du premier centre d'appel, le premier dans la région répondant aux normes internationales, témoigne de l'intérêt que portent les investisseurs au développement et à la promotion de ce secteur, à l'avenir prometteur pour l'Oriental.
Ce projet mis en place sur une superficie de près de 900 m2, avec un coût de 18 millions de DH, constitue une vraie opportunité pour répondre aux besoins que connaît la région en matière de services de télécommunications.
Ce centre qui prévoit l'embauche de 300 télévendeurs à la fin 2009, 500 à fin 2010 pour arriver à 700 salariés à la fin de l'année 2011, est de nature à consolider le secteur de l'offshoring dans cette région du Royaume qui commence à engendrer d'importants investissements dans des secteurs comme le tourisme ou l'agroalimentaire.
Aussi, ces projets réalisés dans la région de l'Oriental constituent les signes patents de la relance économique que connait la région ces dernières années et ce, dans la foulée du discours de S.M. le Roi Mohammed VI le 18 mars à Oujda, discours qui a donné un nouvel élan aux projets structurants et aux imposants investissements dans la capitale de l'Oriental et sa banlieue.
Durant ces dernières années, la ville d'Oujda a bénéficié à elle seule d'importants crédits s'élevant à 5 milliards de DH, destinés au financement de plusieurs projets et chantiers ayant notamment trait à la réhabilitation et la modernisation de la capitale de l'Oriental et des villes qui l'entourent.
Ces projets structurants sont de nature à renforcer la compétitivité de l'économie régionale et nationale et assurer de meilleures conditions de vie aux habitants de la région de l'Oriental, dont le nombre dépasse 1 918 000 âmes, dont 57% âgés de moins de 25 ans.
D'autre part, la dynamique économique régionale est tirée par les infrastructures de base induites par les projets en cours de réalisation et la création de l'autoroute reliant Oujda et Fès, longue de 328 km et qui a mobilisé des crédits de l'ordre de 9,12 milliards de DH. Ce tronçon autoroutier, dont les travaux prendront fin en 2011 permettra une grande fluidité du trafic et, partant, l'essor des activités économiques, outre le désenclavement de plusieurs localités de la région de l'Oriental.
Les projets structurants concernent aussi le dédoublement de la route reliant Oujda et Nador (434 millions de DH), la mise en service de la liaison ferroviaire Nador-Taourirt (2,8 milliards de DH) et l'élargissement de la route nationale N 17 reliant Oujda et Figuig (250 millions de DH).
Dans le domaine industriel, la région de l'Oriental connaîtra la réalisation d'une technopole permettant la création de structures d'accueil des investissements industriels à l'instar du projet Tanger-Med. Ce technopole nécessite des crédits de l'ordre de 28,7 milliards de DH et permettra de générer quelque 71 000 emplois stables.
Au plan touristique, la région de l'Oriental regorge de potentialités étant donné qu'elle dispose de pas moins de 32 sites touristiques, le plus emblématique étant la station balnéaire de Saidia qui couvre une superficie de 713 ha et nécessite des investissements de 12 milliards de DH.
Ces énormes investissements se déclineront en unités hôtelières avec une capacité d'accueil de 30 000 lits et la création de 50 000 postes d'emploi, dont 8 000 emplois directs et 42 000 emplois indirects.
La région de l'Oriental dispose d'autre part de potentialités dans le domaine agricole avec des milliers d'hectares de terres arables, consacrées aux légumineuses et l'arboriculture (olives à Taourirt et agrumes à Berkane), élevage (hauts plateaux).
D'autre part, pour booster davantage les secteurs économiques de la région, il a été procédé au cours de cette année à la création d'un fonds d'investissement de la région de l'Oriental avec des crédits de l'ordre de 300 millions de DH destinés au financement des projets programmés par les entreprises ainsi qu'à la dotation de la région en infrastructures de base et l'encouragement des grands projets économiques.
Cet événement, qui confirme une dynamique économique avérée au niveau de l'Oriental, reflète la confiance des investisseurs en les potentialités de cette partie du royaume et en sa capacité à jouer un rôle prééminent, après une époque où le phénomène de la contrebande dissuadait les promoteurs économiques de s'engager dans des projets dans la région.
Auparavant, un autre groupe commercial avait ouvert ses portes à Oujda avec un franc succès. L'afflux des habitants de la capitale de l'Oriental et des régions avoisinantes vers cette unité commerciale a montré que le secteur informel est manifestement en perte de vitesse, car les consommateurs préfèrent désormais une marchandise respectant les normes fiables de qualité et d'hygiène.
Les potentialités de la région de l'Oriental ne se limitent pas seulement au potentiel de consommation mais couvrent également tout un éventail de secteurs qui se prêtent à la valorisation à travers des projets porteurs notamment dans le secteur des services.
L'ouverture dans la ville d'Oujda, il y a quelques semaines, du premier centre d'appel, le premier dans la région répondant aux normes internationales, témoigne de l'intérêt que portent les investisseurs au développement et à la promotion de ce secteur, à l'avenir prometteur pour l'Oriental.
Ce projet mis en place sur une superficie de près de 900 m2, avec un coût de 18 millions de DH, constitue une vraie opportunité pour répondre aux besoins que connaît la région en matière de services de télécommunications.
Ce centre qui prévoit l'embauche de 300 télévendeurs à la fin 2009, 500 à fin 2010 pour arriver à 700 salariés à la fin de l'année 2011, est de nature à consolider le secteur de l'offshoring dans cette région du Royaume qui commence à engendrer d'importants investissements dans des secteurs comme le tourisme ou l'agroalimentaire.
Aussi, ces projets réalisés dans la région de l'Oriental constituent les signes patents de la relance économique que connait la région ces dernières années et ce, dans la foulée du discours de S.M. le Roi Mohammed VI le 18 mars à Oujda, discours qui a donné un nouvel élan aux projets structurants et aux imposants investissements dans la capitale de l'Oriental et sa banlieue.
Durant ces dernières années, la ville d'Oujda a bénéficié à elle seule d'importants crédits s'élevant à 5 milliards de DH, destinés au financement de plusieurs projets et chantiers ayant notamment trait à la réhabilitation et la modernisation de la capitale de l'Oriental et des villes qui l'entourent.
Ces projets structurants sont de nature à renforcer la compétitivité de l'économie régionale et nationale et assurer de meilleures conditions de vie aux habitants de la région de l'Oriental, dont le nombre dépasse 1 918 000 âmes, dont 57% âgés de moins de 25 ans.
D'autre part, la dynamique économique régionale est tirée par les infrastructures de base induites par les projets en cours de réalisation et la création de l'autoroute reliant Oujda et Fès, longue de 328 km et qui a mobilisé des crédits de l'ordre de 9,12 milliards de DH. Ce tronçon autoroutier, dont les travaux prendront fin en 2011 permettra une grande fluidité du trafic et, partant, l'essor des activités économiques, outre le désenclavement de plusieurs localités de la région de l'Oriental.
Les projets structurants concernent aussi le dédoublement de la route reliant Oujda et Nador (434 millions de DH), la mise en service de la liaison ferroviaire Nador-Taourirt (2,8 milliards de DH) et l'élargissement de la route nationale N 17 reliant Oujda et Figuig (250 millions de DH).
Dans le domaine industriel, la région de l'Oriental connaîtra la réalisation d'une technopole permettant la création de structures d'accueil des investissements industriels à l'instar du projet Tanger-Med. Ce technopole nécessite des crédits de l'ordre de 28,7 milliards de DH et permettra de générer quelque 71 000 emplois stables.
Au plan touristique, la région de l'Oriental regorge de potentialités étant donné qu'elle dispose de pas moins de 32 sites touristiques, le plus emblématique étant la station balnéaire de Saidia qui couvre une superficie de 713 ha et nécessite des investissements de 12 milliards de DH.
Ces énormes investissements se déclineront en unités hôtelières avec une capacité d'accueil de 30 000 lits et la création de 50 000 postes d'emploi, dont 8 000 emplois directs et 42 000 emplois indirects.
La région de l'Oriental dispose d'autre part de potentialités dans le domaine agricole avec des milliers d'hectares de terres arables, consacrées aux légumineuses et l'arboriculture (olives à Taourirt et agrumes à Berkane), élevage (hauts plateaux).
D'autre part, pour booster davantage les secteurs économiques de la région, il a été procédé au cours de cette année à la création d'un fonds d'investissement de la région de l'Oriental avec des crédits de l'ordre de 300 millions de DH destinés au financement des projets programmés par les entreprises ainsi qu'à la dotation de la région en infrastructures de base et l'encouragement des grands projets économiques.
