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«Le taux de participation élevé dans les provinces du Sud lors des échéances électorales de juin 2009 est un message clair adressé aux adversaires de l'intégrité territoriale du Maroc et une réponse sans équivoque à l'appel du boycott lancé par les séparatistes», a dit Mme Boussoula devant la 4e commission de l'Assemblée générale de l'Onu.
En effet, a-t-elle rappelé, les provinces du Sud ont enregistré le taux le plus élevé de participation avec 78,52% à Aousserd, 68,58% à Smara et 60,62% à Laâyoune, alors que la moyenne nationale a avoisiné les 52,4%.
Pour les seules provinces du Sud, le nombre des membres élus au sein des conseils communaux municipaux et ruraux a atteint 443 membres, en plus de 90 membres au sein des conseils régionaux.
Au plan national, les provinces sahariennes sont représentées aux seins des Chambres des Conseillers et des représentants par respectivement 31 conseillers et 16 députés.
«Ceci pour vous dire que les Fils de la région sont fortement impliqués dans le développement de leur région, et à l'échelle nationale, ignorant les basses manoeuvres des adversaires de l'intégrité territoriale et les allégations véhiculées par certaines parties en vue de faire échouer cette dynamique», a martelé Mme Boussoula.
En tant que citoyenne sahraouie originaire de la ville de Laâyoune au coeur du Sahara, «permettez-moi de réaffirmer devant vous mon profond attachement à mon identité marocaine et ma fierté de ma Marocanité, et ma détermination à la défendre quel qu'en soit le prix», a souligné la parlementaire à l'adresse des représentants des Etats membres.
De plus, a indiqué l'oratrice, l'ensemble des conseils élus dans les provinces sahariennes sont dirigés par les Fils du Sahara qui ont été élus démocratiquement et dans la transparence, et ce, avec le témoignage de nombre d'observateurs, notamment internationaux qui ont supervisé l'opération électorale.
Le citoyen marocain sahraoui contribue largement à ces efforts, à travers, ses institutions élues, la société civile, les initiatives individuelles et collectives, a-t-elle fait observer, précisant que la femme sahraouie, n'est pas en reste, puisqu'elle joue un rôle d'avant-garde dans la dynamique de développement en occupant des postes de responsabilité dans les divers centres de décision, en plus de sa forte présence active dans tous les secteurs productifs».
Ceci est une consécration des efforts déployés par le Maroc en vue d'octroyer à la femme marocaine la place qui lui revient en vue de participer à la gestion de la chose locale et dans les centres de décision, a-t-elle dit.
En effet, a-t-elle poursuivi, le taux de participation des femmes lors de cette opération électorale, qui a atteint 47% de l'ensemble du corps élus dans cette région, confirme, si besoin est, le poids de la femme sahraouie dans la vie politique marocaine de manière générale, et au Sahara en particulier.
Cela est une vérité soulignée par tous les observateurs et toutes les associations nationales et internationales des droits de l'Homme à travers les rapports présentés à cet égard, notamment par Amnesty International, Human Right Watch (HRW) ainsi que par les associations parlementaires féminines européennes et américaines, a-t-elle tenu à rappeler.
«La grande majorité des populations du Sahara vit en paix et dans la sécurité dans son Sahara et au sein de sa patrie, le Maroc, et contribue aux efforts de développement déployés par les autorités au plus haut niveau en vue de la promotion de cette région et de sa prospérité à même de répondre aux aspirations de ses fils», a-t-elle précisé.
Pour Mme Boussoula, la seule solution à ce conflit artificiel passe par l'initiative d'autonomie afin de sortir de l'impasse ce dossier et mettre fin à ce conflit créé de toute pièce et qui n'a que trop duré.
En tant que citoyenne sahraouie, je vous confirme que les citoyens qui ont voté pour moi et dont j'ai l'honneur de représenter ne pourront jamais accepter de vivre à l'ombre d'une autre souveraineté que marocaine, car ils sont Marocains de père en fils.
C'est pourquoi, elle saisit cette occasion pour lancer un «appel fraternel aux autres parties afin qu'elles révisent leur jugement à l'abri de tout calcul politicien étroit, pour que, main dans la main, nous puissions réfléchir ensemble à la solution la plus adéquate garantissant l'intérêt des Fils du Sahara où qu'ils se trouvent et à une sortie honorable pour l'ensemble, sans ni vainqueur, ni vaincu».
En attendant, «la caravane du développement se poursuivra et nous sommes déterminés à faire face à quiconque tenterait de porter atteinte à notre unité nationale et à notre intégrité territoriale», a-t-elle conclu.
En effet, a-t-elle rappelé, les provinces du Sud ont enregistré le taux le plus élevé de participation avec 78,52% à Aousserd, 68,58% à Smara et 60,62% à Laâyoune, alors que la moyenne nationale a avoisiné les 52,4%.
Pour les seules provinces du Sud, le nombre des membres élus au sein des conseils communaux municipaux et ruraux a atteint 443 membres, en plus de 90 membres au sein des conseils régionaux.
Au plan national, les provinces sahariennes sont représentées aux seins des Chambres des Conseillers et des représentants par respectivement 31 conseillers et 16 députés.
«Ceci pour vous dire que les Fils de la région sont fortement impliqués dans le développement de leur région, et à l'échelle nationale, ignorant les basses manoeuvres des adversaires de l'intégrité territoriale et les allégations véhiculées par certaines parties en vue de faire échouer cette dynamique», a martelé Mme Boussoula.
En tant que citoyenne sahraouie originaire de la ville de Laâyoune au coeur du Sahara, «permettez-moi de réaffirmer devant vous mon profond attachement à mon identité marocaine et ma fierté de ma Marocanité, et ma détermination à la défendre quel qu'en soit le prix», a souligné la parlementaire à l'adresse des représentants des Etats membres.
De plus, a indiqué l'oratrice, l'ensemble des conseils élus dans les provinces sahariennes sont dirigés par les Fils du Sahara qui ont été élus démocratiquement et dans la transparence, et ce, avec le témoignage de nombre d'observateurs, notamment internationaux qui ont supervisé l'opération électorale.
Le citoyen marocain sahraoui contribue largement à ces efforts, à travers, ses institutions élues, la société civile, les initiatives individuelles et collectives, a-t-elle fait observer, précisant que la femme sahraouie, n'est pas en reste, puisqu'elle joue un rôle d'avant-garde dans la dynamique de développement en occupant des postes de responsabilité dans les divers centres de décision, en plus de sa forte présence active dans tous les secteurs productifs».
Ceci est une consécration des efforts déployés par le Maroc en vue d'octroyer à la femme marocaine la place qui lui revient en vue de participer à la gestion de la chose locale et dans les centres de décision, a-t-elle dit.
En effet, a-t-elle poursuivi, le taux de participation des femmes lors de cette opération électorale, qui a atteint 47% de l'ensemble du corps élus dans cette région, confirme, si besoin est, le poids de la femme sahraouie dans la vie politique marocaine de manière générale, et au Sahara en particulier.
Cela est une vérité soulignée par tous les observateurs et toutes les associations nationales et internationales des droits de l'Homme à travers les rapports présentés à cet égard, notamment par Amnesty International, Human Right Watch (HRW) ainsi que par les associations parlementaires féminines européennes et américaines, a-t-elle tenu à rappeler.
«La grande majorité des populations du Sahara vit en paix et dans la sécurité dans son Sahara et au sein de sa patrie, le Maroc, et contribue aux efforts de développement déployés par les autorités au plus haut niveau en vue de la promotion de cette région et de sa prospérité à même de répondre aux aspirations de ses fils», a-t-elle précisé.
Pour Mme Boussoula, la seule solution à ce conflit artificiel passe par l'initiative d'autonomie afin de sortir de l'impasse ce dossier et mettre fin à ce conflit créé de toute pièce et qui n'a que trop duré.
En tant que citoyenne sahraouie, je vous confirme que les citoyens qui ont voté pour moi et dont j'ai l'honneur de représenter ne pourront jamais accepter de vivre à l'ombre d'une autre souveraineté que marocaine, car ils sont Marocains de père en fils.
C'est pourquoi, elle saisit cette occasion pour lancer un «appel fraternel aux autres parties afin qu'elles révisent leur jugement à l'abri de tout calcul politicien étroit, pour que, main dans la main, nous puissions réfléchir ensemble à la solution la plus adéquate garantissant l'intérêt des Fils du Sahara où qu'ils se trouvent et à une sortie honorable pour l'ensemble, sans ni vainqueur, ni vaincu».
En attendant, «la caravane du développement se poursuivra et nous sommes déterminés à faire face à quiconque tenterait de porter atteinte à notre unité nationale et à notre intégrité territoriale», a-t-elle conclu.
