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Cette confiance s'est traduite par l'affluence massive des agriculteurs pour l'achat des semences et engrais et a favorisé l'exploitation de la totalité des superficies programmées, notamment pour la céréaliculture (plus de 310.000 hectares), les légumineuses (20.000 ha) et les cultures maraîchères (plus de 16.000 ha).
Tout au long du littoral de Safi, des plaines de Abda et de la zone d'Ahmar et Chemaia, comme dans les autres localités, la terre a revêtu son manteau de verdure grâce à des précipitations généralisées et bien réparties, augurant d'une bonne campagne agricole, tant attendue.
Selon la direction provinciale de l'agriculture à Safi, le cumul des précipitations a atteint, au 4 février courant, une moyenne de 343 mm, contre 130 mm durant la même période de l'année dernière, soit une hausse de 14 pc par rapport à la moyenne annuelle (300 mm).
Notant que des précipitations sont attendues dans la région durant les prochains jours, la même source fait remarquer que la bonne répartition des pluies, aussi bien dans le temps que dans l'espace, a eu un impact très positif sur les différentes cultures qui sont en «bon état».
Pour ce qui est de la saison agricole, le directeur provincial de l'agriculture, Hmida Harhouri, a expliqué à la MAP que les indicateurs météorologiques et les efforts déployés par les agriculteurs depuis le début de la campagne agricole, ainsi que par l'Etat en matière d'approvisionnement en semences et produits nécessaires augurent d'une bonne campagne agricole et d'une production beaucoup plus importante que celle des années précédentes, notamment la saison 2006 avec une production de 5 millions de quintaux.
L'utilisation des engrais phosphatés, de l'ammonitrate et des pesticides par les agriculteurs a eu un impact positif sur la croissance des cultures, a-t-il ajouté, précisant «qu'aucun manque en engrais n'a été enregistré lors de cette saison surtout que l'Office Chérifien des Phosphates subventionne les prix des engrais phosphatés et eu égard aux baisses consécutives du prix de l'ammonitrate qui reste dépendant des fluctuations du marché des produits pétroliers».
Les cultures céréalières, les légumineuses et les maraîchères ont bénéficié le plus de ces précipitations qui ont eu également un impact sur la régénération et l'amélioration du couvert végétal, et partant sur le cheptel, a ajouté M. Harhouri.
Les pluies abondantes, qui ont ravivé l'espoir chez les agriculteurs, constituent aussi un bon présage pour la nouvelle stratégie dite «Plan Maroc vert» qui est une approche novatrice pour la réforme et la modernisation du secteur agricole.
M. Harhouri a précisé à cet égard qu'il a été procédé, dans le cadre de cette vaste stratégie, à la mise en place d'un plan régional de l'agriculture, élaboré sur la base d'une radioscopie des potentialités et des contraintes du secteur, permettant ainsi de définir une feuille de route pour une implication des différents intervenants dans un cadre conventionnel, transparent et structuré.
Pour la province de Safi, le plan s'articule autour de quatre filières prioritaires, à savoir «le sahel» dédié à la mise à niveau des secteurs des primeurs et de l'aviculture, «la plaine de Abda» réservée aux cultures céréalières, «la zone d'Ahmar» pour la production des viandes rouges et enfin «la filière laitière».
Tout au long du littoral de Safi, des plaines de Abda et de la zone d'Ahmar et Chemaia, comme dans les autres localités, la terre a revêtu son manteau de verdure grâce à des précipitations généralisées et bien réparties, augurant d'une bonne campagne agricole, tant attendue.
Selon la direction provinciale de l'agriculture à Safi, le cumul des précipitations a atteint, au 4 février courant, une moyenne de 343 mm, contre 130 mm durant la même période de l'année dernière, soit une hausse de 14 pc par rapport à la moyenne annuelle (300 mm).
Notant que des précipitations sont attendues dans la région durant les prochains jours, la même source fait remarquer que la bonne répartition des pluies, aussi bien dans le temps que dans l'espace, a eu un impact très positif sur les différentes cultures qui sont en «bon état».
Pour ce qui est de la saison agricole, le directeur provincial de l'agriculture, Hmida Harhouri, a expliqué à la MAP que les indicateurs météorologiques et les efforts déployés par les agriculteurs depuis le début de la campagne agricole, ainsi que par l'Etat en matière d'approvisionnement en semences et produits nécessaires augurent d'une bonne campagne agricole et d'une production beaucoup plus importante que celle des années précédentes, notamment la saison 2006 avec une production de 5 millions de quintaux.
L'utilisation des engrais phosphatés, de l'ammonitrate et des pesticides par les agriculteurs a eu un impact positif sur la croissance des cultures, a-t-il ajouté, précisant «qu'aucun manque en engrais n'a été enregistré lors de cette saison surtout que l'Office Chérifien des Phosphates subventionne les prix des engrais phosphatés et eu égard aux baisses consécutives du prix de l'ammonitrate qui reste dépendant des fluctuations du marché des produits pétroliers».
Les cultures céréalières, les légumineuses et les maraîchères ont bénéficié le plus de ces précipitations qui ont eu également un impact sur la régénération et l'amélioration du couvert végétal, et partant sur le cheptel, a ajouté M. Harhouri.
Les pluies abondantes, qui ont ravivé l'espoir chez les agriculteurs, constituent aussi un bon présage pour la nouvelle stratégie dite «Plan Maroc vert» qui est une approche novatrice pour la réforme et la modernisation du secteur agricole.
M. Harhouri a précisé à cet égard qu'il a été procédé, dans le cadre de cette vaste stratégie, à la mise en place d'un plan régional de l'agriculture, élaboré sur la base d'une radioscopie des potentialités et des contraintes du secteur, permettant ainsi de définir une feuille de route pour une implication des différents intervenants dans un cadre conventionnel, transparent et structuré.
Pour la province de Safi, le plan s'articule autour de quatre filières prioritaires, à savoir «le sahel» dédié à la mise à niveau des secteurs des primeurs et de l'aviculture, «la plaine de Abda» réservée aux cultures céréalières, «la zone d'Ahmar» pour la production des viandes rouges et enfin «la filière laitière».
