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Dans une déclaration à l'agence MAP à la veille du lancement de la Semaine culturelle du Maroc qu'il coprésidera avec son homologue qatari dans le cadre de «Doha capitale 2010 de la culture arabe», le ministre a ajouté que si ce rapprochement culturel est bien entretenu au niveau des principes, «beaucoup reste cependant à faire concernant leur suivi».
Estimant qu'il s'agit là d'une «certaine paresse», il en a voulu pour preuve, entre autre, l'absence du livre marocain des manifestations et librairies des pays du Golfe malgré les sollicitations qu'ils ne cessent d'adresser à nos éditeurs.
Le ministre s'est félicité de l'adoption par le monde arabe de cette nouvelle tradition de «capitale de la culture», jugeant qu'elle servira considérablement la culture arabe qui «dispose de solides fondements». Il a évoqué à ce sujet les célébrations qu'a connues la ville d'Al-Qods comme Capitale 2009 de la culture arabe, estimant que c'était un signal fort pour affirmer et protéger son identité.
Parlant de la préparation des activités de la Semaine marocaine, dont les manifestations sont prévues de lundi à vendredi au Théâtre national du Qatar et au célèbre quartier touristique de Souq Waqif de Doha, M. Himmich a souligné que son département y a d'abord privilégié l'innovation.
«Nous avons bien tiré les leçons des expériences précédentes et cherché à compenser les insuffisances», a-t-il dit, insistant sur l'esprit de concertation qui a imprégné ces préparatifs tant au niveau des différentes directions concernées à Rabat qu'avec l'ambassade du Royaume au Qatar.
Le ministre a énuméré les nombreux domaines (musique, arts populaires, poésie, artisanat, cinéma, etc.) qui seront couverts par la manifestation, affirmant que le souci des organisateurs a été «d'améliorer les prestations en y apportant autant qu'on puisse faire de valeur ajoutée».
M. Himmich a, particulièrement, signalé la participation à cette manifestation de trois poétesses marocaines (Tourya Majdouline, Rajaa Talbi et Amina Mrini), relevant que c'est une manière de rendre hommage à la femme à l'occasion de la Journée du 8 mars.
Estimant qu'il s'agit là d'une «certaine paresse», il en a voulu pour preuve, entre autre, l'absence du livre marocain des manifestations et librairies des pays du Golfe malgré les sollicitations qu'ils ne cessent d'adresser à nos éditeurs.
Le ministre s'est félicité de l'adoption par le monde arabe de cette nouvelle tradition de «capitale de la culture», jugeant qu'elle servira considérablement la culture arabe qui «dispose de solides fondements». Il a évoqué à ce sujet les célébrations qu'a connues la ville d'Al-Qods comme Capitale 2009 de la culture arabe, estimant que c'était un signal fort pour affirmer et protéger son identité.
Parlant de la préparation des activités de la Semaine marocaine, dont les manifestations sont prévues de lundi à vendredi au Théâtre national du Qatar et au célèbre quartier touristique de Souq Waqif de Doha, M. Himmich a souligné que son département y a d'abord privilégié l'innovation.
«Nous avons bien tiré les leçons des expériences précédentes et cherché à compenser les insuffisances», a-t-il dit, insistant sur l'esprit de concertation qui a imprégné ces préparatifs tant au niveau des différentes directions concernées à Rabat qu'avec l'ambassade du Royaume au Qatar.
Le ministre a énuméré les nombreux domaines (musique, arts populaires, poésie, artisanat, cinéma, etc.) qui seront couverts par la manifestation, affirmant que le souci des organisateurs a été «d'améliorer les prestations en y apportant autant qu'on puisse faire de valeur ajoutée».
M. Himmich a, particulièrement, signalé la participation à cette manifestation de trois poétesses marocaines (Tourya Majdouline, Rajaa Talbi et Amina Mrini), relevant que c'est une manière de rendre hommage à la femme à l'occasion de la Journée du 8 mars.
