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Le Royaume a été représenté à ces réunions, marquées par la présence du président de cette institution, Robert Zoellick, par une délégation conduite par le directeur du Trésor et des Finances extérieures au ministère de l'Economie et des Finances, Zouhair Chorfi, et comprenant des responsables du ministère délégué chargé des Affaires économiques et générales et de Bank Al-Maghrib.
Lors de la réunion du groupe des Gouverneurs arabes, les discussions ont porté sur les aspects relatifs à la nécessité de la poursuite des réformes notamment pour l'amélioration du climat des affaires et la libéralisation du commerce afin de promouvoir la croissance et la création de l'emploi dans le monde arabe.
Les discussions ont, également, concerné le renforcement des ressources de la Banque Mondiale et la prise des mesures nécessaires pour appuyer le développement et la lutte contre la pauvreté.
Le renforcement de la participation des pays en développement (PED) dans le processus de prise de décision à la BM et au FMI a aussi été évoqué en vue de parvenir à une répartition équitable des pouvoirs de vote entre les PED et les pays développés, ainsi que de promouvoir les recrutements des candidats arabes notamment dans des postes supérieurs au sein des ces deux institutions.
Au cours de la réunion du groupe des Gouverneurs africains, les questions relatives aux réponses et initiatives de la Banque mondiale dans le cadre de sa mission de lutte contre la pauvreté, particulièrement envers l'Afrique subsaharienne, ont été notamment soulevées.
Cette réunion a été, également, l'occasion pour les Gouverneurs africains d'exprimer leurs attentes en matière de renforcement des financements de l'infrastructure, du développement du secteur privé, d'accompagnement dans la lutte contre les effets du changement climatique, de l'intégration régionale et de la prise en compte des besoins de la région.
Par ailleurs, la délégation marocaine a pris part à un déjeuner de travail sur la conférence de «Bali et les changements climatiques», qui a été l'occasion de poursuivre les débats sur les questions relatives aux changements climatiques et la stratégie de financement liée à cette problématique au lendemain de la Conférence de Copenhague.
L'accent a été mis lors de cette rencontre sur l'importance des ressources devant être mobilisées pour développer des actions tant d'adaptation que d'atténuation des effets des changements climatiques. Il a ainsi été souligné que ces ressources doivent être additionnelles et ne doivent pas venir en substitution des financements accordés dans le cadre de l'aide publique au développement.
D'autre part, et sur le plan des entretiens bilatéraux, Zouhair Chorfi a eu une entrevue avec le vice-président de la Banque européenne d'investissement (BEI), M. Philippe De Fontaine Vive, au cours de laquelle les deux responsables ont passé en revue les relations du Maroc avec la BEI et l'état d'avancement des projets soumis au financement de cette institution.
La délégation marocaine s'est également entretenue avec Justin Lin, économiste en chef de la Banque mondiale. Cette rencontre a été l'occasion pour la délégation de présenter le cadre macroéconomique marocain en mettant l'accent sur le fait que malgré un contexte international défavorable marqué par la crise économique et financière mondiale, l'économie marocaine a montré sa résilience à la crise globale et maintenu de bons fondamentaux économiques.
Lors de la réunion du groupe des Gouverneurs arabes, les discussions ont porté sur les aspects relatifs à la nécessité de la poursuite des réformes notamment pour l'amélioration du climat des affaires et la libéralisation du commerce afin de promouvoir la croissance et la création de l'emploi dans le monde arabe.
Les discussions ont, également, concerné le renforcement des ressources de la Banque Mondiale et la prise des mesures nécessaires pour appuyer le développement et la lutte contre la pauvreté.
Le renforcement de la participation des pays en développement (PED) dans le processus de prise de décision à la BM et au FMI a aussi été évoqué en vue de parvenir à une répartition équitable des pouvoirs de vote entre les PED et les pays développés, ainsi que de promouvoir les recrutements des candidats arabes notamment dans des postes supérieurs au sein des ces deux institutions.
Au cours de la réunion du groupe des Gouverneurs africains, les questions relatives aux réponses et initiatives de la Banque mondiale dans le cadre de sa mission de lutte contre la pauvreté, particulièrement envers l'Afrique subsaharienne, ont été notamment soulevées.
Cette réunion a été, également, l'occasion pour les Gouverneurs africains d'exprimer leurs attentes en matière de renforcement des financements de l'infrastructure, du développement du secteur privé, d'accompagnement dans la lutte contre les effets du changement climatique, de l'intégration régionale et de la prise en compte des besoins de la région.
Par ailleurs, la délégation marocaine a pris part à un déjeuner de travail sur la conférence de «Bali et les changements climatiques», qui a été l'occasion de poursuivre les débats sur les questions relatives aux changements climatiques et la stratégie de financement liée à cette problématique au lendemain de la Conférence de Copenhague.
L'accent a été mis lors de cette rencontre sur l'importance des ressources devant être mobilisées pour développer des actions tant d'adaptation que d'atténuation des effets des changements climatiques. Il a ainsi été souligné que ces ressources doivent être additionnelles et ne doivent pas venir en substitution des financements accordés dans le cadre de l'aide publique au développement.
D'autre part, et sur le plan des entretiens bilatéraux, Zouhair Chorfi a eu une entrevue avec le vice-président de la Banque européenne d'investissement (BEI), M. Philippe De Fontaine Vive, au cours de laquelle les deux responsables ont passé en revue les relations du Maroc avec la BEI et l'état d'avancement des projets soumis au financement de cette institution.
La délégation marocaine s'est également entretenue avec Justin Lin, économiste en chef de la Banque mondiale. Cette rencontre a été l'occasion pour la délégation de présenter le cadre macroéconomique marocain en mettant l'accent sur le fait que malgré un contexte international défavorable marqué par la crise économique et financière mondiale, l'économie marocaine a montré sa résilience à la crise globale et maintenu de bons fondamentaux économiques.
