S'expirmant à la clôture de ces concertations (16-18 mars), la ministre a relevé que les conclusions des participants reflétent leur engagement à contribuer efficacement à l'élaboration de cette Charte, en prenant en considération les spécificités et les défis de ce grand pôle urbanistique.
Les recommandations issues des différents ateliers insistent sur la nécessité de la réhabilitation des zones industrielles et leur classement selon le type d'activités, la lutte contre le secteur informel et l'application du principe pollueur payeur, ainsi que l'encouragement et le soutien aux PME, a-t-elle dit.
Le contrôle de la pollution sur l'axe Casablanca-Mohammédia, le renforcement de la surveillance et l'adoption de mesures dissuasives pour sauvegarder le patrimoine écologique, outre la promotion des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, figurent également parmi les recommandations, a-t-elle relevé.
«Santé et environnement», «Préservation durable des milieux naturels», «Le développement durable au Maroc», «Le rôle des acteurs locaux dans la préservation de l'environnement», «La protection de la qualité de l'air» et «La protection de l'environnement en milieu industriel» sont les principaux thèmes débattus lors de cette rencontre, dernière étape dans le processus de concertations sur ce projet.
Evoquant, par ailleurs, le bilan du processus de concertation au niveau national, Mme Skalli a fait savoir que le nombre des participants a dépassé la moyenne de 600 personnes, soulignant que plus de 3.000 recommandations ont été adoptées par ces rencontres de même que 60.000 internautes ont consulté le portail électronique de la Charte et remplis plus de 6.000 sondages comportant des propositions et des recommandations.
Les travaux sont actuellement en cours pour mettre en oeuvre ces recommandations et élaborer une étude d'un projet de Charte intégrée qui traduit les spécificités «de notre environnement, de notre culture et de notre civilisation», a-t-elle indiqué.
Les recommandations issues des différents ateliers insistent sur la nécessité de la réhabilitation des zones industrielles et leur classement selon le type d'activités, la lutte contre le secteur informel et l'application du principe pollueur payeur, ainsi que l'encouragement et le soutien aux PME, a-t-elle dit.
Le contrôle de la pollution sur l'axe Casablanca-Mohammédia, le renforcement de la surveillance et l'adoption de mesures dissuasives pour sauvegarder le patrimoine écologique, outre la promotion des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, figurent également parmi les recommandations, a-t-elle relevé.
«Santé et environnement», «Préservation durable des milieux naturels», «Le développement durable au Maroc», «Le rôle des acteurs locaux dans la préservation de l'environnement», «La protection de la qualité de l'air» et «La protection de l'environnement en milieu industriel» sont les principaux thèmes débattus lors de cette rencontre, dernière étape dans le processus de concertations sur ce projet.
Evoquant, par ailleurs, le bilan du processus de concertation au niveau national, Mme Skalli a fait savoir que le nombre des participants a dépassé la moyenne de 600 personnes, soulignant que plus de 3.000 recommandations ont été adoptées par ces rencontres de même que 60.000 internautes ont consulté le portail électronique de la Charte et remplis plus de 6.000 sondages comportant des propositions et des recommandations.
Les travaux sont actuellement en cours pour mettre en oeuvre ces recommandations et élaborer une étude d'un projet de Charte intégrée qui traduit les spécificités «de notre environnement, de notre culture et de notre civilisation», a-t-elle indiqué.
