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L'organisation autonome, créée en 1977 sous l'égide de la Commission Economique des Nations unies et l'Organisation de l'unité africaine (Oua), a pour mission d'offrir aux pays membres un instrument d'impulsion des capacités et stratégies technologiques, tant au niveau national que régional, afin de promouvoir un développement intégré et durable au niveau du continent africain.
Pour ce faire, le Crat bénéficie de l'appui de plusieurs états membres et de divers partenaires au développement intervenant au niveau financier, comme le Pnud, le Fonds de l'Opep pour le développement, la Fondation ‘Carnegie' de New York, la Dadea. Au niveau technique, le Centre compte plusieurs partenaires de grande notoriété, comme la Cea, l'Onudi, l'Unesco ou encore la FAO.
Après études et évaluation des besoins technologiques, le Crat a réalisé plusieurs unités pilotes et mis en œuvre divers programmes opérationnels. Des programmes essentiellement axés sur les domaines prioritaires de l'alimentation, des énergies renouvelables (solaire, biogaz, éolienne) et des biens d'équipements, indiquent les responsables du Centre.
Les actions du Centre portent essentiellement sur l'information et la documentation technologique, la recherche-développement, la vulgarisation technologique, la formation et le renforcement des compétences des ressources humaines, en plus de services et conseils consultatifs.
L'organisation dispose d'un centre de documentation d'un système d'information (Arctis) doté de plusieurs bases de données qui permettent la mise en œuvre d'un service de veille technologique et la publication de bulletins, brochures et lettres d'information sur les technologies de pointe appropriés pour le développement économique et social durable en Afrique.
Le Centre dispose aussi de répertoires à jour sur le potentiel scientifique et technique du continent (institutions, experts, sociétés savantes, etc.).
Outre ces actions, le Crat s'oriente actuellement vers l'installation de ses unités pilotes et de démonstration en incubateurs de techno-entreprises, à petite et à moyenne échelle. De telles unités sont destinées à promouvoir la création de valeur ajoutée locale par la mise en rapport recherche-développement et l'adéquation formation-emploi.
Dans ce domaine, le Centre a aidé à la création de plusieurs PME-PMI, notamment dans les secteurs de la fabrication des farines de manioc et du gari (Ghana et Bénin), l'égrenage et la mouture du maïs (Kenya, Zambie), la transformation du poisson (Nigéria et Sénégal), et l'extraction d'huile de palme (Sénégal).
Parmi les plus récentes initiatives du Crat, la mise au point, en collaboration avec l'Onudi, d'un logiciel «3Bkit» (Better Building Business) destiné à améliorer la performance de gestion des PME.
Le nouveau directeur exécutif du Crat a suivi une formation dans le domaine des techniques d'ingénieries au Maroc, aux Etats Unies et au Japon où il a obtenu son PhD à l'Institut japonais des sciences et technologies de l'Université de Chiba.
M. Doumar est un professeur émérite qui a exercé le métier d'enseignant chercheur en science et technologie pendant deux décennies à travers plusieurs pays du sud et du nord.
Il a exercé la fonction de professeur des sciences et technologies à hauts niveaux de responsabilité comme à l'université de Cambridge en Angleterre, l'Université de Glasgow en écosse, l'Université de Lancaster en Angleterre, l'uUniversité Al Akhawayn au Maroc, l'Université Mohammed VI au Maroc et l'Université de technologie de Troyes en France.
Il est aussi expert en science et technologie auprès de l'Université de Chiba au Japon, l'Université de Massey à la nouvelle Zélande, l'université de Montana aux Etats-Unis et à l'agence spatiale américaine (Nasa).
En 2006, le Pr. Doumar a coordonné le projet de la création du centre des technologies de l'information pour le développement humain à l'Université Al Akhawayn (CITI), en partenariat avec le ministère de l'éducation et l'agence coréenne de développement.
Le Pr. Doumar a reçu plusieurs prix et distinctions au niveau international. En effet, il a reçu le premier prix de collaboration entre université et industrie lors des intégrales de l'investissement en 2006 pour la conception de la première caméra à haute vitesse commercialisé par Thomson.
Il est également lauréat du Grand Prix de l'invention en sciences et technologie de SM le Roi Mohammed VI, pour la conception du «premier instrument non invasive de détection du glucose à distance».
Le nouveau directeur exécutif du CRAT détient aussi quatre brevets d'inventions dans le domaine des sciences et technologie.
Pour ce faire, le Crat bénéficie de l'appui de plusieurs états membres et de divers partenaires au développement intervenant au niveau financier, comme le Pnud, le Fonds de l'Opep pour le développement, la Fondation ‘Carnegie' de New York, la Dadea. Au niveau technique, le Centre compte plusieurs partenaires de grande notoriété, comme la Cea, l'Onudi, l'Unesco ou encore la FAO.
Après études et évaluation des besoins technologiques, le Crat a réalisé plusieurs unités pilotes et mis en œuvre divers programmes opérationnels. Des programmes essentiellement axés sur les domaines prioritaires de l'alimentation, des énergies renouvelables (solaire, biogaz, éolienne) et des biens d'équipements, indiquent les responsables du Centre.
Les actions du Centre portent essentiellement sur l'information et la documentation technologique, la recherche-développement, la vulgarisation technologique, la formation et le renforcement des compétences des ressources humaines, en plus de services et conseils consultatifs.
L'organisation dispose d'un centre de documentation d'un système d'information (Arctis) doté de plusieurs bases de données qui permettent la mise en œuvre d'un service de veille technologique et la publication de bulletins, brochures et lettres d'information sur les technologies de pointe appropriés pour le développement économique et social durable en Afrique.
Le Centre dispose aussi de répertoires à jour sur le potentiel scientifique et technique du continent (institutions, experts, sociétés savantes, etc.).
Outre ces actions, le Crat s'oriente actuellement vers l'installation de ses unités pilotes et de démonstration en incubateurs de techno-entreprises, à petite et à moyenne échelle. De telles unités sont destinées à promouvoir la création de valeur ajoutée locale par la mise en rapport recherche-développement et l'adéquation formation-emploi.
Dans ce domaine, le Centre a aidé à la création de plusieurs PME-PMI, notamment dans les secteurs de la fabrication des farines de manioc et du gari (Ghana et Bénin), l'égrenage et la mouture du maïs (Kenya, Zambie), la transformation du poisson (Nigéria et Sénégal), et l'extraction d'huile de palme (Sénégal).
Parmi les plus récentes initiatives du Crat, la mise au point, en collaboration avec l'Onudi, d'un logiciel «3Bkit» (Better Building Business) destiné à améliorer la performance de gestion des PME.
Le nouveau directeur exécutif du Crat a suivi une formation dans le domaine des techniques d'ingénieries au Maroc, aux Etats Unies et au Japon où il a obtenu son PhD à l'Institut japonais des sciences et technologies de l'Université de Chiba.
M. Doumar est un professeur émérite qui a exercé le métier d'enseignant chercheur en science et technologie pendant deux décennies à travers plusieurs pays du sud et du nord.
Il a exercé la fonction de professeur des sciences et technologies à hauts niveaux de responsabilité comme à l'université de Cambridge en Angleterre, l'Université de Glasgow en écosse, l'Université de Lancaster en Angleterre, l'uUniversité Al Akhawayn au Maroc, l'Université Mohammed VI au Maroc et l'Université de technologie de Troyes en France.
Il est aussi expert en science et technologie auprès de l'Université de Chiba au Japon, l'Université de Massey à la nouvelle Zélande, l'université de Montana aux Etats-Unis et à l'agence spatiale américaine (Nasa).
En 2006, le Pr. Doumar a coordonné le projet de la création du centre des technologies de l'information pour le développement humain à l'Université Al Akhawayn (CITI), en partenariat avec le ministère de l'éducation et l'agence coréenne de développement.
Le Pr. Doumar a reçu plusieurs prix et distinctions au niveau international. En effet, il a reçu le premier prix de collaboration entre université et industrie lors des intégrales de l'investissement en 2006 pour la conception de la première caméra à haute vitesse commercialisé par Thomson.
Il est également lauréat du Grand Prix de l'invention en sciences et technologie de SM le Roi Mohammed VI, pour la conception du «premier instrument non invasive de détection du glucose à distance».
Le nouveau directeur exécutif du CRAT détient aussi quatre brevets d'inventions dans le domaine des sciences et technologie.
