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Dans une présentation devant le premier forum industriel euro-méditerranéen qui a ouvert ses travaux mercredi au Caire, le responsable a expliqué que cette politique a permis au Maroc d'attirer d'importants investissements dans une conjoncture où la majorité des hommes d'affaires se sont retirés en raison de la crise.
A un moment où différents secteurs ont subi de pertes financières importantes, le secteur des énergies renouvelables a pu résister à la crise, a dit Saint-Laurent, soulignant que le Maroc a été parmi les pays qui ont choisi d'investir dans ce «secteur prometteur».
«Grâce à cette vision, le Maroc est devenu un marché prometteur pour les investisseurs du monde entier», a-t-il ajouté.
Le Maroc est représenté à cet événement, qui rassemble environ 250 responsables d'associations de l'industrie méditerranéenne, par Hamad Kassal, vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc.
Initiée par le consortium MEDAlliance, cette rencontre débattra notamment des moyens de façonner un centre d'arbitrage acceptable pour les entreprises européennes et méditerranéennes, et pour les pays associés, et des mécanismes pour pérenniser les coopérations entre «organisations business pour préparer l'intégration économique de la région».
Cette réunion sera marquée aussi par des sessions publiques et une réunion privée du «board du programme Investi in Med», ainsi que des rendez-vous d'affaires individuels.
Le programme Invest in Med vise à développer durablement les relations d'affaires, les investissements et les partenariats d'entreprises entre les deux rives de la Méditerranée.
Financé à hauteur de 75% par l'Union européenne sur 2008-2011, il est piloté par le consortium MedAlliance, mené par» Anima Investment Network».
MedAlliance réunit des agences de développement économique, des chambres de commerce et d'industries et des fédérations d'entreprises.
Avec les membres de ces réseaux et leurs partenaires associés (Onudi, GTZ, EPA Euro-méditerranéen, Banque mondiale), un millier d'acteurs économiques sont ainsi mobilisés au travers d'initiatives pilotes centrées sur des filières méditerranéennes d'avenir.
A un moment où différents secteurs ont subi de pertes financières importantes, le secteur des énergies renouvelables a pu résister à la crise, a dit Saint-Laurent, soulignant que le Maroc a été parmi les pays qui ont choisi d'investir dans ce «secteur prometteur».
«Grâce à cette vision, le Maroc est devenu un marché prometteur pour les investisseurs du monde entier», a-t-il ajouté.
Le Maroc est représenté à cet événement, qui rassemble environ 250 responsables d'associations de l'industrie méditerranéenne, par Hamad Kassal, vice-président de la Confédération générale des entreprises du Maroc.
Initiée par le consortium MEDAlliance, cette rencontre débattra notamment des moyens de façonner un centre d'arbitrage acceptable pour les entreprises européennes et méditerranéennes, et pour les pays associés, et des mécanismes pour pérenniser les coopérations entre «organisations business pour préparer l'intégration économique de la région».
Cette réunion sera marquée aussi par des sessions publiques et une réunion privée du «board du programme Investi in Med», ainsi que des rendez-vous d'affaires individuels.
Le programme Invest in Med vise à développer durablement les relations d'affaires, les investissements et les partenariats d'entreprises entre les deux rives de la Méditerranée.
Financé à hauteur de 75% par l'Union européenne sur 2008-2011, il est piloté par le consortium MedAlliance, mené par» Anima Investment Network».
MedAlliance réunit des agences de développement économique, des chambres de commerce et d'industries et des fédérations d'entreprises.
Avec les membres de ces réseaux et leurs partenaires associés (Onudi, GTZ, EPA Euro-méditerranéen, Banque mondiale), un millier d'acteurs économiques sont ainsi mobilisés au travers d'initiatives pilotes centrées sur des filières méditerranéennes d'avenir.
