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Ouverte sous la présidence du prince héritier du Qatar Cheikh Tamim bin Hamad Al-Thani, l'assemblée réunit quelque 1.000 responsables sécuritaires et plusieurs ministres de l'Intérieur venus du monde entier, à un moment où la sécurité et la lutte contre diverses formes de criminalité domine l'actualité.
Parmi les sujets qui feront l'objet de discussions, figure la facilitation de la circulation pour les agents et responsables sécuritaires qui exercent au nom d'Interpol, avec en particulier un vote devant leur octroyer un passeport spécial comme celui que portent les fonctionnaires des Nations unies.
Ces discussions devraient amener un maximum de pays à emboîter le pas à ceux qui soutiennent cette initiative, et dont certains ont déjà fait part de leur intention d'exonérer un tel document de l'obligation de visa.
L'élection du secrétaire général de l'organisation est également à l'ordre du jour, avec la reconduction annoncée de l'Américain Ronald Noble, seul candidat à sa propre succession qui a été présenté par le Comité exécutif au terme d'une réunion précédant l'assemblée.
Dans son discours de bienvenue, le ministre d'Etat qatari de l'Intérieur, Abdullah bin Nasser Bin Khalifa Al-Thani, a notamment annoncé que son pays fera don à Interpol de deux millions de dollars pour la construction à Singapour d'un nouveau Centre de lutte contre la criminalité transfrontalière.
Outre l'ambassadeur du Maroc à Doha, Abedlaadim Tber, qui a assisté à l'ouverture officielle de la rencontre, la délégation marocaine qui prend part aux trois jours de travaux de cette assemblée comprend Mostapha Mouzouni, préfet de police de Casablanca, Brahim Ben Sami, Contrôleur général à la DGSN et directeur adjoint de la police judiciaire, et Tarek Tomi, commissaire de police en charge de la coordination avec Interpol.
Fondée en 1923, Interpol est basée à Lyon, en France, et a pour but de promouvoir la coopération policière internationale.
Parmi les sujets qui feront l'objet de discussions, figure la facilitation de la circulation pour les agents et responsables sécuritaires qui exercent au nom d'Interpol, avec en particulier un vote devant leur octroyer un passeport spécial comme celui que portent les fonctionnaires des Nations unies.
Ces discussions devraient amener un maximum de pays à emboîter le pas à ceux qui soutiennent cette initiative, et dont certains ont déjà fait part de leur intention d'exonérer un tel document de l'obligation de visa.
L'élection du secrétaire général de l'organisation est également à l'ordre du jour, avec la reconduction annoncée de l'Américain Ronald Noble, seul candidat à sa propre succession qui a été présenté par le Comité exécutif au terme d'une réunion précédant l'assemblée.
Dans son discours de bienvenue, le ministre d'Etat qatari de l'Intérieur, Abdullah bin Nasser Bin Khalifa Al-Thani, a notamment annoncé que son pays fera don à Interpol de deux millions de dollars pour la construction à Singapour d'un nouveau Centre de lutte contre la criminalité transfrontalière.
Outre l'ambassadeur du Maroc à Doha, Abedlaadim Tber, qui a assisté à l'ouverture officielle de la rencontre, la délégation marocaine qui prend part aux trois jours de travaux de cette assemblée comprend Mostapha Mouzouni, préfet de police de Casablanca, Brahim Ben Sami, Contrôleur général à la DGSN et directeur adjoint de la police judiciaire, et Tarek Tomi, commissaire de police en charge de la coordination avec Interpol.
Fondée en 1923, Interpol est basée à Lyon, en France, et a pour but de promouvoir la coopération policière internationale.
